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    Antichrist
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    2,4
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    624 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 juin 2014
    c'est nul et crade , j'ai jeté le dvd à la poubelle , c'est le titre du film qui m'a donné envie de le voir , mais c'est antichrist et j'ai pensé à antéchrist comme dans la malédiction avec Damien le fils du diable , la ça n'a rien à voir avec le diable ! c'est un des films les plus nul qui m'est été donné de voir !
    tixou0
    tixou0

    698 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juin 2009
    La rumeur le réputant porno-horrifique, cet "Antichrist" ne m'attirait guère. J'en suis sortie éblouie : 5 étoiles méritées pour le film le plus abouti pour moi depuis des lustres (même les quelques pesanteurs sanglantes n'ayant rien de gratuit), et d'abord formellement : chaque plan est travaillé jusqu'à la minutie d'une enluminure. Un prologue et un épilogue, dans un somptueux noir et blanc, sur l'aria si sensuelle du "Plaisir" de Händel, encadrent trois actes en couleurs, comme les trois "mendiants" s'attachant à l'être humain : "chagrin", "douleur" et "désespoir".
    Une trame narrative limpide pour mettre en images un sujet ambitieux et nécessaire : "la nature est le jardin du Diable" dit l'homme à la femme (la confrontation est entre deux personnages volontairement innommés, pour mieux souligner l'universalité et l'intemporalité du propos), c'est-à-dire, au-delà de la nature, espace libre, vert et isolé, la nature humaine, avec ses noirceurs. Elle (Charlotte Gainsbourg, bien meilleure qu'à l'habitude dans ce rôle paroxystique) va essayer d'entraîner son mari (un grand Willem Dafoe, qui s'était illustré en 1988 dans... "La dernière tentation du Christ - un hasard ?) dans son enfer personnel, porte béante sur l'Enfer tout court. Universitaire préparant une thèse féministe sur le "gynécide", elle se sent délaissée par son psychothérapeute de mari. Un drame familial - la mort accidentelle (?) de leur petit garçon - devrait les rapprocher. Le praticien commet l'erreur d'essayer une thérapie sur sa femme dévastée, qui va les conduire dans leur chalet d'été, mal nommé "Eden". On comprend rapidement que la genèse de la tragédie s'y situe bien et la folie de la mère va alors prospérer sans limite dans cet océan de solitude verte. "Lui" saura pourtant remonter de ce "Jardin des Délices" boschien, où Lars von Trier, injustement couronné à Cannes sur la seule performance de son interprète féminine, a su nous faire pénétrer avec un talent exceptionnel.
    Thierry M
    Thierry M

    160 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juin 2009
    Ce film est le plus degeulasse que j'ai vu,massacre a la tronconeuse a coté c'est un conte de fées.Mediocre.
    RuleZzZ
    RuleZzZ

    13 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 janvier 2010
    Perversité, immondice, mutilations sexuelles, obscurantisme incompréhensible, juste envie de vomir. Les intellectualistes se satisferont d'avoir matière à y chercher une explication. Il n'y en a pas, ce film est juste une honteuse daube.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2019
    Antichrist n’est pas un film qui pense, c’est un film qui ressent. Un film qui préfère l’improvisation à l’application – d’une idée, d’une thèse. La quête de l’image et des moyens à déployer pour lui donner vie s’effectue sous nos yeux, avec comme seul travail préparatoire cette base qu’est le script. Car l’invention formelle est constante, le cinéaste ne s’interdisant rien, cultivant les zones d’ombre et les violences tant psychologiques que graphiques. Lars von Trier entend capter par sa caméra les textures du rêve qui, dès l’ouverture, vire au cauchemar : visions, fantasmes, réalisme brut, tout cela se conjugue, s’agresse et s’entre-dévore pour ne former, à terme, qu’une même substance, un flux visuel et sonore qui jaillit à la manière d’une éjaculation permanente. Jouir dans la douleur, atteindre l’extase alors qu’un enfant se défenestre dans la pièce voisine. Antichrist unit plaisir et souffrance, affirme que le désir est une pulsion de vie et de mort. Désirer c’est avoir besoin, désirer c’est être en manque, désirer c’est regretter. En résultent des explosions de sexe, de longs moments d’errance dans la forêt, une descente dans les tréfonds interdits de la conscience où les plaies ne trouvent pas les bandages aptes à les guérir. Voilà pourquoi Antichrist ne s’appelle pas « Antéchrist » : il n’est pas celui qui est venu avant, il incarne le refus du Christ, c’est-à-dire de la rédemption par la souffrance. Ici les personnages ne parviennent pas à convertir leur douleur en rachat de leurs peines ou de celles de l’humanité : l’arrière-plan satanique n’opère qu’en qualité de substrat, témoin de la propension de l’homme à engendrer des fictions pour se rassurer, pour se donner espoir. En s’emparant des codes du film d’épouvante, Lars van Trier désamorce non pas le surnaturel – qui est une construction humaine, de l’ordre de l’inconscient – mais la surnature tout entière. Son scalpel scrute le corps, l’ouvre et le découpe : en dehors du cinéma, rien de tel. En dehors du film, pas de message auquel se rattacher. Le geste du cinéaste rejoue avec une ironie mordante la psychothérapie, tente d’enfermer par des chapitres parfaitement inutiles une matière mouvante, cette matière qui échappe sans arrêt et que l’on appelle homme. Et il échoue, immanquablement. De cet échec, pourtant, naît une œuvre imparfaite et terriblement libre qui s’amuse des sévices endurés par les protagonistes ainsi que par les spectateurs. Une œuvre sans discours. Un geste artistique pur, ou du moins aux allures de pureté. Radical par nature.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 juin 2009
    Un délire totalement loufoque et vulgaire. Incompréhensible.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 juin 2009
    Quel navet. C'est une honte de tourner ce genre de film. Et en plus Charlotte Gainsbourg a eu la palme de la meilleure actrice. Peut etre le mérite t-elle, car certaines scènes très choquantes à la limite du soutenable ont du être très difficiles à jouer. Certaines scènes de sexe très osées, m'ont fait penser au film "l'empire des sens".
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    59 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2014
    Personnel, étrange, dur, beau, triste, médical, psychologique. Bizarre, franchement bizarre. A conseiller aux grands dépressifs et aux inconditionnels de Lars Von Trier pour les autres il vous faudra quelques substances pour supporter ce film. Par ailleurs les acteurs sont bons même si ce n'est franchement pas le meilleurs film de l'un ni de l'autre comme de Lars Von Trier. Quand un grand réalisateur se lance dans un pareil délire, le specateur a intéret à être dans un état d'esprit optimal au moment de lancer le film. Vous êtes prévenu.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 juin 2009
    Film d'un ennui mortel...
    On se demande ce qui se passe dans la tête de Ken Loach, mais surement pas que du bon!!!
    A éviter absolument.
    KE.ED
    KE.ED

    37 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 décembre 2014
    "Antichrist". Long métrage réalisé par Lars Von Trier qui jouit d'une réputation de cinéaste torturé aux réalisations sujettes à questionnement. Antichrist c'est l'histoire d'un couple qui, suite à la mort de son enfant se retire dans une maison en foret. La femme (Charlotte Gainsbourg) fut profondément affectée par le décès de son fils et son compagnon (Willem Dafoe) qui est psychanalyste procède à sa thérapie. Un prologue, quatre chapitres et un épilogue qui mettent en exergue mort et religion, d'après ce que j'ai pu, ou du moins, essayé de comprendre. En effet, "elle" et "lui" séjourne dans le jardin d'Eden, jardin dans lequel la Genèse place l'histoire d'Adam et Eve. C'est ici le combat d'une femme contre elle même. Une femme en quête de rédemption qui va peu à peu sombrer dans la folie. Bouleversant, Antichrist est un film horrifique et érotique difficile à regarder. Lars Von Trier va cherché très loin sa source d'inspiration qu'est le péché originel et ne réussi pas du tout à capter l'attention du spectateur. Il nous mène par le bout du nez nous montrant la thérapie d'une femme et on passe à coté de l'essentiel du film. L'ambiance du film est lourde, pesante mais la photographie reste magnifique. On retient également la performance de ce couple formé par Charlotte Gainsbourg et Willem qui reste remarquable. Une quasi absence de bande son vient justifié l'aspect torturé du film et la technique de la caméra à l'épaule souvent utilisée par Lars donne du ton et du réalisme à ce long métrage. Elle souffre certes, mais nous spectateur on réussi difficilement à non seulement identifier mais aussi à comprendre la vraie cause de sa douleur. Un film qui pour moi manque de quelque chose, je ne sais pas quoi mais il y un élément manquant. En revanche c'est un film que je conseil aux cinéphiles courageux souhaitant porter une grande réflexion critique à ce lugubre Antichrist. Sceptique, bouleversé, confus, affecté mais aussi déconcerté. Tels sont ces mots qui résument bien notre état d'esprit à la fin de ce film qui mérite néanmoins la moyenne.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    42 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2015
    Lars von Trier a déclaré être en dépression lors de l'écriture du scénario d'Antichrist. On ne peut que se dire que cela devait être grave lorsqu'on voit le résultat final ! Parce que ce film relève d'un profond mal-être (celui du personnage de Gainsbourg) qui prend forme avec la violence psychologique habituelle du réalisateur mais aussi la violence physique, qui va très très loin sans jamais être gratuite car elle possède un sens qui sera dévoilé au fur et à mesure que l'histoire avance. On suit l'évolution d'un couple dont on ne connait pas le nom qui essaye de se reconstruire après la mort accidentelle de leur fils. La femme n'arrive pas à se sortir de sa peine et de sa culpabilité, si bien que son mari, psychologue, décide de prendre soin d'elle et prend l'initiative de l'emmener vivre quelques temps dans un chalet perdu dans les bois. Leur relation prend rapidement une tournure malsaine puisqu'Elle se réfugie dans un appétit sexuel grandissant tandis que Lui, d'abord réticent, finit par céder à ses pulsions alors que, comme il est précisé dans le film, il ne vaut mieux jamais coucher avec son psychanalyste. Les scènes de sexe (explicites) sont à l'image de leur relation, glauques, avec quelque chose de honteux mais elles sont véritablement libératrices pour les personnages. La mise en scène de Lars von Trier donne l'impression d'être dans un rêve de plus en plus étouffant jusqu'à devenir un véritable cauchemar. L'utilisation de la forêt, peur issue de l'enfance, s'accorde parfaitement avec le thème du Mal et de la souffrance. Le film possède un mysticisme fou, issu de l'esthétique du réalisateur, qui utilise les distorsions et les ralentis à merveille. J'avoue quand même que certains éléments sont assez obscurs et que j'ai du aller me renseigner un peu pour trouver une explication ou une interprétation (l'histoire des bottes par exemple). Certain(e)s ont vu dans l'histoire de la misogynie. Comme pour Gone Girl c'est quand même ne pas voir plus loin que le bout de son nez, vous auriez fait quoi à la fin du chapitre 3 à la place des personnages ? A la limite je veux bien voir un léger machisme dans l'épilogue, mais c'est complètement cohérent avec tout ce qui s'est passé auparavant. Et puis c'est tellement particulier et extrême comme histoire que j'ai du mal à concevoir que des gens aient pu se sentir visés. Antichrist est une oeuvre dérangeante qui ose beaucoup de choses. C'est sûr que ce n'est pas à mettre entre toutes les mains, mais c'est remarquablement filmé et interprété en plus d'avoir du fond.
    manoj94
    manoj94

    45 abonnés 642 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 octobre 2009
    Probablement un des pires films que je n'ai jamais vu ! Lars von Trier veut surtout choquer et dégouter le spectateur. Il réussit à merveille dans son objectif déluré : l'histoire est vraiment grotesque et pas du tout crédible (et c'est peu de le dire). A mon sens, le réalisateur abuse trop de scènes de mutilations exacerbées et de scènes aberrantes de sexe incontrôlable. Les deux acteurs, même s'ils rehaussent un peu le film par leurs performances crues, sont à fond dans le délire dingue de leur réalisateur.
    Je vous conseille d'éviter de perdre votre temps et de ne pas regarder ce navet.
    Ko_chang
    Ko_chang

    6 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mai 2014
    Long, très très long, puis cela devient un film d'épouvante-horreur, alors j'ai coupé le DVD !
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur

    17 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 septembre 2018
    Quel film ! C’est assez difficile de donner son ressenti sur Antichrist à peine sorti de la salle, quelques heures s’avèrent nécessaire pour digérer ce nouveau film (bientôt culte) de Lars Von Trier. Bien que ce ne soit, à mes yeux, pas son meilleur film, c’est encore et toujours une honte de voir la manière dont il a été accueilli à Cannes par de pseudos intellectuels s’autoproclamant cinéphiles mais s’offusquant devant tout ce qui sort de l’ordinaire et n’entre pas dans le petit carquois bien étroit du politiquement correct ou du programme familial bien sous tout rapport. Ce qui me choque le plus c’est que ces chers critiques se sont arrêtés au coté violent et insoutenable de certaines images du film sans même insister sur le scénario brillant, viscéral, prenant, sur la mise en scène à l’esthétisme irréprochable ou bien encore (et surtout) sur le jeu des deux acteurs. C’est vraiment trop facile de s’acharner sur un film pour de mauvaises raisons sans en reconnaitre les qualités…qui sont nombreuses et doivent être mises en valeur. D’une part, les images et la réalisation sont d’une beauté réelle, principalement le prologue ainsi que les premières hallucinations de l’héroïne et montrent une fois de plus tout le talent de LVT. Ensuite, ce film n’a pas pour seul atout d’être visuel, il s’appuie sur un bon scénario : le deuil d’une mère, les pseudo-thérapies, un couple qui se brise, la nature humaine…et nous laisse songeur lorsque les lumières se rallument (différentes interprétations). Enfin, Antichrist vaut la peine d’être vu pour le jeu de ses personnages principaux : Willem Defoe et Charlotte Gainsbourg, présents à chaque plan et qui nous livrent une véritable prouesse. Le prix d’interprétation féminine est d’ailleurs amplement mérité pour Charlotte Gainsbourg qui est vraiment allée au bout de ses limites avec ce rôle. En voyant les scènes défilées et la dureté de certaines, on comprend totalement son discours à Cannes lorsqu’elle a voulu partager ce prix avec son metteur en scène qui lui « a permis de vivre l'expérience la plus intense, la plus douloureuse et la plus excitante ».
    A voir absolument donc, en laissant ses préjugés de coté ou ce qui a pu être dit ou écrit dans la presse, mais tout en sachant que certaines scènes sont assez rudes.
    Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
    kristin75
    kristin75

    11 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juin 2009
    Prétentieux, misogyne, mais surtout creux. Choquer pour choquer, ça ne nous emmène pas bien loin. On se demande ce que Charlotte Gainsbourg (impeccable et qui mérite son prix d'interprétation) et Willem Dafoe (tout en retenue) sont venus faire dans cette galère.
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