AlloCiné
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Votre avis sur Moonwalker ?
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Rien que pour Smooth Criminal qui est énorme, ça
vaut le coup d'oeil! Un film avant tout pour les fans d'MJ.
vaut le coup d'oeil! Un film avant tout pour les fans d'MJ.
Michael dans toute sa splendeur... Apres les effets spéciaux sont pas superbe mais en meme temps ca date des années 80 et ils n'ont pas misez sur les moyens non plus mais l'histoire reste très mignone sans parler du chant et de la danse de Michael Jackson qui nous envoute... C'est sa biographie version "fantastique" :)
Yetcha
Je n'avais pas revu le film depis sa sortie cinéma (22 ans déjà!) et le bilan est plutôt mitigé. Les effets spéciaux sont mauvais et l'histoire quasi inexistante dans les 2/3 du film. Il s'agit là d'un enchainement de chansons de l'album "Bad". Bref, un semi-déception seulement car on retrouve le King of pop dans une forme éblouissante et tout jeune et on se rend compte aussi de l'impact qu'il a eu sur la danse au travers des choré. Un clip géant qui devient de fait une relique historique. A revoir mais à réserver aux fans dont je suis!!!
Roub E.
Ce n’est pas vraiment un film, plus une succession de parties musicales, loin d’être toutes du même intérêt. Après une intro qui est un pot pourri des hits du roi de la pop on a le droit à Bad dansé par des enfants (aucun intérêt), puis un ou deux clips franchement moyens avant d’arriver enfin au seul moment digne d’intérêt le clip de Smooth Criminal extrêmement soigné et qui donne une bonne idée du talent qu’avait Bambi (bien supérieur à ceux d’acteur qui sont risibles). Il aurait fallu plus de passages comme celui ci pour que Moonwalker soit digne d’intérêt car honnêtement a par les fans je ne vois pas qui pourrait s’extasier devant un objet marketing qui est le plus souvent laid et ridicule.
🎬 RENGER 📼
Après seulement trois courts-métrages à son actif, Michael Jackson passe à la vitesse supérieure en s’attaquant au 7ème Art avec Moonwalker (1988), une oeuvre musicale très particulière puisque le film en lui-même ne démarre qu’au bout d’une vingtaine de minutes, après qu’il ait passé en revue tous les plus gros succès de Michael Jackson. Après ce déferlement de clips, le film peut commencer ! Une oeuvre très originale, où l’action se mêle à l’aventure, l’ensemble est très enfantin voir niais et où les SFX en pagaille s’accumulent au gré de quelques séquences en stop-motion (on appréciera grandement la parodie de Bad - 1987, intitulée « Badder » avec des enfants). Si le scénario laisse à désirer, fort heureusement, le film vaut le détour pour les nombreuses chorégraphies du "Roi de la pop" et ses magnifiques clips indémodables. Mais à côté de cela, le film nous laisse tout de même un arrière goût, l’impression de s’être fait berner par un bon gros coup marketing de 90 minutes pour le compte de Michael Jackson qui, on l’imagine, ravira ses plus grands fans.
Shawn777
Bien étrange que ce film, réalisé par Jerry Kramer et Colin Chilvers et sorti en 1988, qui est très moyen. Enfin, très moyen à mon sens car c'est clairement le genre de film qui divise les spectateurs. Effectivement, tout d'abord nous n'avons pas vraiment affaire à un film mais plutôt à trois parties, l'une étant tournée vers le documentaire, la deuxième vers les clips musicaux et la troisième vers un moyen métrage d'une cinquantaine de minutes. Nous sommes ici complètement plongé dans l'univers fantasmagorique de Michael Jackson et bien que j'apprécie énormément l'artiste, je dois dire que je n'ai absolument pas adhérer à la dernière partie que je voulais pourtant voir depuis bien longtemps. Quelle joie de voir que ce film est enfin disponible quelque part en VO (une nouvelle fois merci Prime Video pour la mise en service de nombreux OVNI cinématographiques) et que je vais enfin pouvoir le voir, lui qui m'a pendant si longtemps intrigué. J'avais donc énormément d'attentes et je dois dire que le résultat n'en a pas du tout été à la hauteur. La première partie est sympathique mais sans plus, le côté documentaire est à peine présent et le film ne se contente que de passer très rapidement en revue la carrière de Michael Jackson. La seconde en revanche est plus intéressante, nous avons en effet une série de clips vidéos (et notamment une très bonne parodie de "Bad") tous plus originaux et étranges les uns que les autres mais en tout cas très recherchés artistiquement. Et puis, comment ne pas succomber au charme de l'excellent travail musical de Michael Jackson. Ces deux parties sont de plus orientées vers la folie des fans et les médias qui y sont décris comme bêtes et cruels (et c'est vrai que la chanteur n'a jamais vraiment eu de répit à ce niveau-là). Et voilà enfin le court-métrage que j'attendais tant, une sorte de version longue du clip "Smooth Criminal" mais qui part très vite dans du grand n'importe quoi. On passe en gros de "La Mélodie du bonheur" a un espèce de "Transformers" plutôt dégueulasse tout en y mêlant une ambiance de film à la Spielberg, ce qui rend le tout presque indigeste. Néanmoins, même en l'absence évidente de scénario, nous pourrons noter que la créativité est là et que la réalisation, en tout cas en ce qui concerne la première partie, n'est franchement pas mal du tout ! Et puis, nous avons avons évidemment le clip "Smooth Criminal", ce qui vaut toujours le coup d’œil. En ce qui concerne les acteurs, nous avons donc bien-sûr Michael Jackson qui occupe forcément tout le film, même si nous retiendrons également Joe Pesci dont on ne sait pas s'il se prend au sérieux ou non et puis Brandon Quintin Adams qui joue (et surtout danse) très bien. "Moonwalker" est donc une sorte de film bizarre, inclassable mais qui met en tout cas bien en avant les talents, toujours inégalés, de l'inoubliable Michael Jackson.
Le moonwalk, c'est probablement le pas de danse le plus imité dans le monde mais également le moins égalé. On trouve souvent des vidéos drôles sur internet dans lesquelles des fans tentent d'imiter leur idole. C'est aussi de là que vient le titre du film, qui signifie "le danseur de moonwalk". En effet, Moonwalker est un film entièrement consacré à ce cher Michael Jackson. Remarquez, ça aurait pu être intéressant vu les qualités de ses clips, qui rendent parfois hommage au cinéma (c'est aussi en partie grâce aux réalisateurs qui ont bossé dessus). Mais malheureusement, c'est un demi-pétard mouillé... Moonwalker est l'exemple parfait du film pour lequel l'expression "fuck me I'm famous" prend tout son sens. Michael Jackson est une superstar mondiale, et il le sait. Il est donc le personnage principal de ce film assez WTF, totalement barré qui est une succession de segments aussi différents les uns des autres. Le film s'ouvre sur une sorte de medley des plus grand succès de MJ, ce qui nous plonge immédiatement dans le bain. Ensuite vient une parodie fort réussie du clip de Bad, mais dansée par des enfants. La séquence d'après est encore totalement différente puisqu'elle est réalisée en stop motion à partir de pâte à modeler. Premier ratage du film, car l'animation est tout simplement laide... Enfin en passant plusieurs segments anecdotiques, on se retrouve face à une sorte de long court-métrage d'aventures dans lequel Michael se retrouve confronté à un salaud qui veut dominer le monde. Dans cette aventure, il est aidé par deux jeunes enfants. Le public visé est censé être les plus jeunes, mais même eux risquent de s'ennuyer vu la longueur de cette histoire peu intéressante. Bref, on dirait un trip expérimental qui pioche dans l'univers de Michael. Mais à force de trop mettre de WTF, ça devient vraiment n'importe quoi et puis ce qui est assez énervant est de MJ jouer le rôle de celui qui aime tout le monde et vice-versa... On peut dire ce qu'on veut, c'était un grand artiste et tout ça, mais il était quand même un peu sur un nuage.
Dik ap Prale
Seul le plaisir de revoir un ou deux clips sur grand écran peu demeurer, pourtant aujourd'hui Youtube a bien malgré tout tué le film. Une grosse, trop grosse première partie consacrée à des clips succès et puis de longues trop longue sans queue ni tête. Pour les grands grands fan de Michael.
Ceci n'est pas un film mais une série de clips et d'images d'archives à la gloire mégalomane de Michael. Alors pourquoi avoir sorti cet ovni un peu étrange et insipide au cinéma à l'époque ? C'est je pense un film exclusivement pour les fans mais même dans cet optique là on aurait pu être plus respectueux pour le public...
Moonwalker a visiblement été fait pour le dit de faire un film autour de Michael Jackson ; en fait, c'est une mosaïque incohérente et inintéressante. La première impression n'est pas mauvaise, on y fait défiler des morceaux de chansons des Jackson Five, puis de Jackson ; je dis morceaux car toutes les musiques sont coupées très vite, ce qui est quand mêmeétrange pour un film dit « musical ».
La seconde partie est la plus intéressante. On se demande combien de substances illicites ont été nécessaires à sa conception, mais le résultat est délicieusement perché, incroyablement créatif et très propre. Le personnage de Jackson n'est pas trop basé sur son charisme, il y a un bout d'histoire, et le tout est cocasse et fascinant. Il y est exprimée une critique de la célébrité – Leave Me Alone, chante-t-il – qui ne donne aucun élément de reportage sur le chanteur lui-même, ce qui est intelligent tout en préservant le mystère. Mais ça ne dure qu'un temps.
La troisième partie commence déjà, on y aura droit à deux ou trois chansons entières avec une très bonne chorégraphie, mais le scénario n'a aucun sens (l'idée originale était de Jackson lui-même) et il est musicalement insatisfaisant. La créativité demeure qui n'est pas desservie par les effets spéciaux, mais ça devient un peu n'importe quoi. Le scénario bondit spasmodiquement sans ne plus parvenir à impressionner, et finit par tomber à plat, toutes ses tentatives de faire du sens ayant échoué. Apparemment, le jeu vidéo tiré du film était meilleur que le film lui-même, et ça se comprend. On finit en se disant que le film était à la fois à côté de la plaque et trop court, et surtout on remarque qu'on n'est absolument pas attaché à Jackson dont on a pourtant insisté pour nous rappeler le monstrueux charisme...
septiemeartetdemi.com
La seconde partie est la plus intéressante. On se demande combien de substances illicites ont été nécessaires à sa conception, mais le résultat est délicieusement perché, incroyablement créatif et très propre. Le personnage de Jackson n'est pas trop basé sur son charisme, il y a un bout d'histoire, et le tout est cocasse et fascinant. Il y est exprimée une critique de la célébrité – Leave Me Alone, chante-t-il – qui ne donne aucun élément de reportage sur le chanteur lui-même, ce qui est intelligent tout en préservant le mystère. Mais ça ne dure qu'un temps.
La troisième partie commence déjà, on y aura droit à deux ou trois chansons entières avec une très bonne chorégraphie, mais le scénario n'a aucun sens (l'idée originale était de Jackson lui-même) et il est musicalement insatisfaisant. La créativité demeure qui n'est pas desservie par les effets spéciaux, mais ça devient un peu n'importe quoi. Le scénario bondit spasmodiquement sans ne plus parvenir à impressionner, et finit par tomber à plat, toutes ses tentatives de faire du sens ayant échoué. Apparemment, le jeu vidéo tiré du film était meilleur que le film lui-même, et ça se comprend. On finit en se disant que le film était à la fois à côté de la plaque et trop court, et surtout on remarque qu'on n'est absolument pas attaché à Jackson dont on a pourtant insisté pour nous rappeler le monstrueux charisme...
septiemeartetdemi.com
Les fans de MJ adoreront ce film et retomberont en enfance. Mention spéciale pour le clip Smooth Criminal !
Le roi de la pop dans un film assez... spécial. Le film en soit est sympa et essaie de coller une intrigue via les clips de certaines musiques (de l'album Bad).
Bon faut le dire tout de suite, le seul intérêt de ce "film" c'est bien sur Michael Jackson, une chose est sur, c'est qu'il y a du bon son, des morceaux de clips, quelques un de live et un sorte de court métrage pour conclure le tout. Mais c'est vraiment pas extra. Si je décide de mettre tout pile la moyenne c'est grâce a MJ, a ses chansons, car le reste est nul. Le jeu d'acteur, pendant le fameux court métrage, on va même pas en parler. A la longue, on s'ennuie et les effets spéciaux ont mal vieilli, mais le coté kitch a un certain charme, je dois bien l'avouer. Fan de MJ foncez, ça fait toujours plaisir de le voir. Les autres, passez votre chemin.
Pour l'histoire du film c loin d’être un chef d’œuvre (Films pour enfants)... Mais rien que pour les clips surtout Smooth Criminal ça mérite une bonne note.
Fêtons le cinéma
Moonwalker serait l’exemple par excellence de ce qui distingue la créativité du caprice, la démesure du gavage commercial, la vision d’artiste du gloubi-boulga infâme s’il ne réussissait à produire un puissant effet hallucinatoire, à l’image des drogues que veulent diffuser les antagonistes auprès des enfants. Pendant la première partie du film, interminable au demeurant, Jackson est là sans y être, se trémousse d’un téléviseur à l’autre, enchaîne ses succès sans pour autant offrir de prises sur sa personne ; la suite confirme cette présence vaporeuse de l’artiste qui n’apparaît que par jeux d’ombres ou séquences chorégraphiées. On croirait rêver. Le mystère est à son comble, l’atmosphère cartoon de l’échappée en moto mute en déambulation expressionniste à la Batman (Tim Burton, 1989). Pour autant, la déstructuration du film ne se justifie guère au sein d’une œuvre exclusivement commerciale, tel un agglomérat de publicités et de clips dont le seul lien est Jackson ; elle ne relève pas d’une volonté de repousser les limites du cinéma, d’inventer une forme innovante digne du génie de la musique qu’elle porte ; elle exhibe les rouages d’une mécanique d’emprise soucieuse de vampiriser un spectateur tout à la fois fasciné par un show dont il est censé être fan et désarçonné devant une fiction qui ne vient pas, qui échappe sans cesse. Moonwalker exploite sans vergogne les univers produits et détenus par la Warner, anticipant en cela un Space Jam: A New Legacy (Malcolm D. Lee, 2021) – mêmes placements de produits, même enchaînement d’extraits, même bêtise – mais parvient à atteindre un dérèglement plutôt grisant, quoique vain.
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