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JeremGar
93 abonnés
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4,0
Publiée le 24 mars 2008
Jusqu'où l'amour peut mener? C'est ce qui est mis en scène dans ce fabuleux film. Un couple psychologiquement au bord du gouffre, un Sean Penn enfermé pendant 10 ans dans un asile pour acte passionnel..Le jeu des acteurs est formidable, et que dire de celui de Sean Penn qui est remarquable. un film sans grande prétention mais qui réussit si bien à nous capter..on ne s'ennuit pas une seconde!
A sa sortie, "She's so lovely" a avant tout fait parler de lui car il s'agissait d'un scénario écrit par le grand John Cassavetes et mis en scène dix ans après la mort de celui-ci par son fils, Nick Cassavetes. Et le problème majeur vient justement du scénario. Cassavetes père avait pour habitude d'écrire les rôles pour des acteurs précis et de faire de nombreuses répétitions avec ses comédiens pour adapter ses dialogues à leur personnalité. Le scénario était donc en constante évolution jusqu'au moment du tournage même. Or, étant donné la façon de travailler de Cassavetes, force est de constater que se "She's so lovely" ressemble plus à une ébauche de scénario qu'à un scénario définitif. Tout est trop superficiel, à commencer par les personnages. Ils sont assez pauvres et ne se définissent que par une seule chose : leur amour pour quelqu'un. Eddie (Sean Penn) et son amour fou, c'est le cas de le dire, pour Maureen. Maureen (Robin Wright) et son amour passionnel pour Eddie. Joey (John Travolta) et son amour possessif pour Maureen. Et c'est tout, le film n'allant pas plus loin dans la psychologie des personnages. Les personnages secondaires sont quand à eux à peine esquissés et n'ont aucune existence propre, ce qui est dommage quand on a des acteurs de la trempe de Harry Dean Stanton. S'il était très prometteur, "She's so lovely" déçoit par son manque de profondeur. Et on se prête à rêver à se que John Cassavetes en aurait fait...
Dés les premieres minutes,ce drame romantique se veut vaseux,on sent déja l'ennui qui va arriver la scéne suivante,puis curieusement avec son scénario complétement décalé et son traitement visuel interessant le film devient super envoutant.Et ce grace aux performances d'acteur éblouissantes trés ambigues qui fait osciller le film entre mélodrame sérieux mais qui part parfois en sucette tout en nous titillant quelques les zygomatiques.
Grosse déception pour ce deuxième film du fils Cassavetes. Le scénario, pourtant écrit par feu le père, semble capillotracté comme c'est pas possible... à l'image des différentes coiffures de Sean Penn (les cheveux tantôt courts, longs, décolorés en blond platine) ! La fin du film frise le ridicule. Robin Wright cabotine trop. N'est pas Cassavetes qui veut, hélas, même son propre fils ! Une étoile pour Gena Rowlands, qui hérite ici d'une unique scène, trop courte.
Un amour fou et dévorant qui va conduire au drame. Après 10 ans de prison, l'homme du couple va rechercher sa femme qui a refait sa vie avec un autre. Sans morale aucune, un scénario écrit par John Cassavetes, réalisé sans complaisance par son fils épaulé par un couple d'acteurs incroyable. Prix d'interprétation masculine pour Sean Penn à Cannes. Excellent.
Un scénario signé John Cassavetes et réalisé par son fils Nick suite à la disparition (en 1989) du patriarche. She's so Lovely (1997) est une comédie romantique (et sentimentale) délurée, dramatique et finalement très portée sur la comédie. Elle fait l’éloge de la passion amoureuse, une passion déchirante et forte, comme celle que son entrain de vivrent Eddie & Maureen. Remarquablement interprétés par Sean Penn & Robin Wright (couple à l’écran et à la ville !!). Deux personnages fort en gueule mais très sympathiques et attendrissants aux côté de Harry Dean Stanton, Gena Rowlands et surtout John Travolta (qui, malgré son arrivée tardive au sein du film, ne passe pas inaperçu). Une comédie hilarante et guignolesque, certes sérieuse dans son traitement, mais tellement drôle grâce aux péripéties désastreuses que vivent les protagonistes. A noter aussi que Sean Penn a reçu le Prix d’Interprétation lors du 50ème Festival de Cannes en 1997 et que les producteurs exécutifs ne sont autres que John Travolta & Gérard Depardieu !
C'est beau, c'est frais, c'est romantique, c'est mignon, c'est drôle, c'est délirant, c'est une passion dévorante, c'est Nick Cassavetes. Mais c'est aussi touchant, dramatique, perturbant, déroutant. Sean Penn nous livre une fois encore une prestation magistrale, ce type est tout simplement énormissime. Robin Wright est tout aussi excellente. Et John Travolta a des répliques cultissimes genre avec Jeanie: "Hey Daddy, what are you doing?" ---- Joey: "Shut up and drink your beer!". Enfin bref à voir, à revoir, encore et encore !!!
ça ne se prend pas au sérieux, c'est déjà ça de gagné. Cette comédie loufoque, déjantée, ne m'a pas du tout séduit. Le pire est qu'elle me parait très peu plausible. ça semble complètement abusé, incohérent. En gros le premier amour dure toujours, et demeure pour l'éternité dans nos mémoires. Je mets une étoile mais je suis hésitant. Robin Wright Penn est agaçante, surjouant, en faisant toujours des tonnes. John Travolta était plutôt étonnant. Concernant les monologues sanglotants de Sean Penn, ils sont devenus des classiques. On peut dire que l'acteur porte le film sur ses épaules, il n'y a que lui et son jeu irréprochable que je retiendrai. Il faut le voir en blond platine (quelques passages amusants, tout au plus). Le scénario est sans intérêt, ou plutôt très mal abordé. On voit bien que personne n'y croit.
Je ne connaissais pas bien Robin Wright Penn et j'ai été assez surpris par son interprétation. Cette histoire d'amour est une chose que l'on a peu vu au cinéma et le scénario est excellent, les acteurs aussi. Un film que j'ai eu plaisir à découvrir.
Une étoile pour les acteurs. J'ai regardé le film de nick jusqu'à la fin pour faire plasir a ses parents. 1h30, c'est encore trop long.. cinema aseptisé. Vraiment décu. La canicule n'a rien pour nous emballer.
Je ne sais pas exactement combien de film j'ai pu voir au cours de ma modeste existence, mais cela reste un nombre important. Appelez çà comme vous voulez, mais moi j'appelle ça de l'expérience. J'ai tellement l'impression d'avoir perdu du temps à regarder des navets, qu'aujourd'hui, mon jugement est assez expéditif. Je tiens en général de 15 à 30 minutes minimum même si ca ne m'inspire pas. Pour she's so lovely j'ai tenu 20 minutes. Tout est dit.
Très bon film. Sean Penn joue formidablement bien dedans !! Surtout quand il sort de l'hopital...Et on lui demande combien de temps êtes-vous resté, et il répond : 3 mois...Ma femme m'a dit que je devais rester 3 mois... Scéne très émouvante du film !!
Si on devait trouver une influence au deuxième film de Nick Cassavetes, She's so lovely (1997, Cinéma), ce serait moins du côté de son père John qu'il faudrait chercher, bien que celui ci soit l'auteur du scénario, que de l'interprète principal Sean Penn. Ce dernier devait d'ailleurs dans un premier temps réaliser le film. Le sujet, qui accorde une grande importance à la famille et aux personnages un peu « border line », se rapproche des thèmes de ses deux premiers films (Indian runner et Crossing guard). Mais revenons à Nick : sa mise en scène, à la fois fluide et parsemée d'affêteries (ralentis, gros plans insistants, fondus enchaînés bizarres), souligne le caractère cahotique des relation humaines, ainsi que la fragilité de l'équilibre des personnages. Quant aux prestations de Sean Penn et de Robin Wright, elles sont tellement travaillées qu'elles en deviennent parfois outrées. Au total un premier film avec des défauts évidents mais aussi des idées.
Plus jamais de ma vie je n'écouterai les conseils d'autrui. C'est quoi ce film de merde, on dirait un court métrage roumains réaliser par des étudiants en réalisation. Il n'a ni queue, ni tête. Sean penn est aussi expressif qu'un plat de brocoli, quant à la fille aucune présence, on se demande ce que fait John Travolta dans cette fosse septique, il voulait sans doute arrondir ses fins de mois. Le pompom revient aux voix du doublage francais, non mais vraiment il faut les entendre, on dirait Donald et Mickey de l'époque.