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    Sans arme, ni haine, ni violence
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    NeoLain
    NeoLain

    5 068 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mars 2014
    Jean-Paul Rouve acteur et réalisateur pour un film qui parle de l'affaire Albert Spaggiari. Un homme assez excentrique, parfois agaçant mais tellement innocent. Qui n'a jamais entendu parler du fameux et célèbre casse de la Société Générale à Nice. Il à su par un esprit de génie repartir avec un magot. Sujet intéressent qui malheureusement Rouve n'en utilise pas tous les recoins, il survole rien de plus. Par exemple, on apprend par les paroles de Julia, la femme de Spaggiari que joue l'actrice Alice Taglioni, que sa longue cavale avec lui coûta une bonne fortune, d'ailleurs jusqu'à la fin de sa vie. Un creusement sur ce coté là est pas un refus mais ce n'est pas le cas. Durant une bonne heure le film est un peu vide, alors on attend le casse qui relèvera un peu le niveau, même pas. Honnêtement le plus beau moment se trouve sur les dernières minutes de la fin. Et Alice Taglioni est le bijoux incontestable qui fait que l'on reste devant l'écran.
    Caine78
    Caine78

    6 810 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2012
    Pour son premier essai derrière la caméra, Jean-Paul Rouve ne démérite pas. L'idée est originale, et sa mise en scène vintage n'est pas désagréable. Celui-ci a surtout le mérite de nous présenter Albert Spaggiari comme un personnage complexe, à la fois terriblement attachant et agaçant, généreux tout en étant profondément raciste... Mais ça se traîne quand même un peu. Cela a beau être divertissant et plutôt sympathique, Rouve a quand même du mal à donner du corps à tout cela, d'autant que si Spaggiari s'avère être un héros très intéressant, c'est moins le cas de Julia et Vincent, même si Alice Taglioni et surtout Gilles Lellouche ne déméritent par ailleurs pas. Je garde en conséquent un souvenir assez vague, pas antipathique non plus, de ce « Sans arme, ni haine, ni violence », qui a au moins le mérite de présenter un point de vue original sur une des grandes figures du banditisme des années 70, mais qui hélas, peut-être par manque d'ambition ou de brio, reste quelque peu anecdotique.
    Redzing
    Redzing

    1 149 abonnés 4 499 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 avril 2012
    "Sans arme, ni haine, ni violence" revient sur le célèbre Albert Spaggiari, responsable de l'audacieux casse de Nice en 1976. Au lieu de proposer un biopic conventionnel, Rouve met en scène une interview fictive où le criminel évoque son passé par bribes, tout en se prenant d'amitié pour un faux journaliste. L'intérêt principal du film est la personnalité complexe du braqueur, à la fois mégalo et pathétique, looser en manque de reconnaissance, généreux et xénophobe. L'acteur réalisateur s'est bien imprégné du personnage, et a fidèlement reproduit une ambiance 70's. Mais au final, cela manque un peu d'impact et d'intensité, il y aurait sans doute eu moyen de creuser davantage.
    Acidus
    Acidus

    736 abonnés 3 723 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 décembre 2013
    "Sans saveur, ni rythme, ni inspiration" collerait mieux à ce premier film, en tant que réalisateur, de Jean-Paul Rouve. Le biopic du malfaiteur Albert Spaggiari ne passionne guère même si l'on sent bien l'application et l'implication de l'acteur/réalisateur dans ce projet.
    Sylvain P
    Sylvain P

    341 abonnés 1 358 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2010
    Jean-Paul Rouve signe ici un divertissement classieux de dimanche soir pluvieux avec ce qu'il faut de glamour-chic et d'action avec en prime un bouquet d'humour. Si on peut largement s'en passer, le voyage n'est pas déplaisant.
    dougray
    dougray

    243 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juillet 2010
    Un film sympathique sur Albert Spaggiari, le cerveau du casse de Nice, qui prend le parti de ne pas le présenter comme un bandit magnifique mais comme un homme un peu minable et avide de célébrité. Flambeur, arrogant, mytho, Spaggiari est surtout un homme capable du meilleur (l’élaboration du casse, les cadeaux faits à Vincent...) comme du pire (les allusions racistes, l’infidélité...) pour arriver à ses fins : être une star. L’interprétation de Jean-Paul Rouve est d’ailleurs impeccable tout comme celles d’Alice Taglioni (le trophée de Spaggiari) et de l’indispensable Gilles Lellouche (le journaliste de Paris-Match). Néanmoins, on est loin du chef d’œuvre. La faute à une mise en scène pas trop mal mais qui accumule les effets tocs et à une fin prévisible. Et puis, le caméo de Depardieu est un peu bizarre. Dommage car le scénario (qui tient plus de la fiction que de la biographie) était plutôt pas mal... Reste un bon petit film mais qui s’intéresse davantage aux affres de la célébrité qu’à Spaggiari et son casse.
    MaxPierrette
    MaxPierrette

    178 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2008
    Même s’il prouve qu’il a bel et bien tourné la page “Robins des bois”, en passant pour la première fois derrière la caméra en solo, Jean-Paul Rouve n’en continue pas moins de détrousser les riches. Sauf que ce n’est pas pour donner aux pauvres, mais pour tout garder. Il faut dire que réussir un casse impressionnant comme celui de la Société Générale de Nice, ça donne peu envie de partager avec d’autres que ses complices, surtout lorsque l’on est narcissique comme pouvait l’être Albert Spaggiari, dont ce “Sans arme, ni haine, ni violence” (son tube à lui, un message à forte tendance provocatrice qu’il avait laissé sur les lieux de son forfait) imprime le destin sur pellicule, tout en s’inscrivant dans la mouvance française actuelle du film de gangsters. Un choix qui, s’il peut étonner, au premier abord, de la part de Rouve (nettement plus porté sur la comédie), prouve à quel point nous connaissons mal celui qu’il décrit. Car, plus proche du loser magnifique que du bandit de haut-vol, Spaggiari rend possible la présence d’un soupçon de légèreté au sein du portrait qu’en dresse l’acteur-réalisateur, moins intéressé par ses faits d’armes que sa personnalité, qu’il nous présente, via un procédé simple, mais efficace : introduire un personnage de journaliste qui découvre les choses en même temps que nous, de son extravagance à ses côtés sombres, sur lesquels Rouve ne fait pas l’impasse, en faisant parfois ressortir ses relents de colonialisme. Ce qui ne l’empêche cependant pas de donner un aspect globalement léger à une première réalisation où sa maîtrise impressionne, tant au niveau du scénario et de la mise en scène que du montage (pour les transitions entre les époques surtout) et de l’interprétation, qu’il mène de main de maître, aux côtés de Gilles Lellouche et Alice Taglioni. Un baptême du feu que Jean-Paul Rouve réussit donc sans arme, ni haine, ni violence, mais avec humour et panache.
    pfloyd1
    pfloyd1

    135 abonnés 2 115 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 décembre 2016
    Belle petite comédie, surtout pour les fans de Rouve qui semble s’éclater à interpréter le rôle du cerveau du plus grand casse de l'histoire. Entre mimiques, sourires narquois, Rouve s'amuse, il convainc dans ce rôle même s'il en fait un peu trop. On ressent un certain manque de sérieux dans la réalisation du film, transformant ainsi un sujet étonnant mais grave en pirouette rigolote. On passe donc un bon moment mais on s’éloigne certainement de la vérité de l'histoire...
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    124 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mars 2020
    Parmi les différents angles sous lesquels on peut aborder le film de Jean-Paul Rouve, il y a celui du biopic & celui de la comédie. Après tout, Rouve s’attaque à l’histoire d’Albert Spaggiari & pousse le geste jusqu’à l’interpréter lui-même ; les deux étaient d’égaux fanfarons & il ne semble pas y avoir de faux raccord.

    Sauf que cela rend tout à fait illusoire de satisfaire tout le monde sur la durée : Spaggiari était un criminel & l’on ne peut pas le tourner en dérision longtemps sans faire un paquet d’anicroches à l’histoire vraie. Rouve se rend coupable d’une forme de révisionnisme ni assez parodique ni assez détaché, même s’il faut reconnaître qu’il révisionne aussi le cinéma à l’occasion : son histoire de cavale, de police & de luxe sud-américain laisse difficilement croire que c’est son premier film dans la manière dont elle surgit du tous-les-jourisme qui lui sert d’introduction. Et on s’y croit ! À peu près.

    Sous ses airs de clown, qu’on soit d’accord ou non avec l’adaptation libre qu’il fait du “personnage réel”, il arrive à faire fonctionner énormément d’alchimies modestes contribuant à ce qu’on ne s’ennuie jamais : Alice Taglioni & Gilles Lellouche sont alors très joliment mis en valeur dans leurs seconds rôles.

    C’est le contexte qui manque : très peu linéaire & trop pointilleux quant à la décoction des scènes les plus croustillantes, le film s’interdit de faire le plein de cohérence en plein vol – c’est vrai que c’est risqué quand on jongle entre humour & faits divers, mais c’est tout juste si son ovni aterrit sans dommages après sa traversée de quelques turbulences : de la police aux mafieux, aucun “milieu” ne tient debout. Ce n’est pas par seule fantaisie que Depardieu est crédité “pour la première fois pas à l’écran” : l’apparition de sa bouche & de sa voix distrait des impairs qui font prendre l’eau au reste de l’œuvre.

    Aucun génie donc, mais pour un semi-biopic naïf fourbi de rebondissements plus amusants que réfléchis, Rouve parvient à faire entrevoir un bout à peu près fidèle de la vie de cavale de Spaggiari tout en nous faisant vivre sa mignonne idylle de fin de vie avec la douce douleur d’un mal du pays. Ne nous laissons pas abuser par ses tâches multiples toutefois : Rouve n’est pas Spaggiari.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    gizmo129
    gizmo129

    99 abonnés 1 530 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 septembre 2015
    Si vous vous attendez à voir un biopic sur Spaggiari et en savoir davantage sur le casse du siècle, passez votre chemin. Ici, on a plutôt le droit à une histoire inventée mettant en scène le voleur avec un flic. pourquoi pas après tout ? Malheureusement, le film est réalisé et interprété par Jean Paul Rouve ce qui retire toute crédibilité au film. Ç est souvent mal joué, peu inspiré et à varier les styles entre comédie, film policier ou biopic, on finit par se lasser car le film ne possède pas les qualités de ces différentes catégories. La blague de générique montre l humour des robins des bois alors que celui n était pas nécessaire pour ce sujet...
    selenie
    selenie

    6 358 abonnés 6 212 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 avril 2008
    Grosse déception... Joli casting et bel enthousiasme de Jean-Paul Rouve mais le film pèche par un manque cruel de rythme et des personnages sans relief. Malgré une belle mise en scène l'absence de rebondissement et l'hésitation constante entre comédie pure et une fidèle adaptation de la vie de Spaggiairi se ressent tout le long du film. Malgré un indéniable talent Jean-Paul Rouve ne réalise qu'un film inabouti.
    Zoumir
    Zoumir

    68 abonnés 1 042 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2011
    Jean Paul Rouve est Albert Spaggiari, le cerveau du casse du Crédit Lyonnais. Pour son film, il s'entoure de la belle Alice Taglioni et de Gilles Lelouche et le trio fonctionne bien, Rouve en tête qui se régale et nous régale avec la mégalomanie du personnage. En effet, si Spaggiari était pourvu d'un égo démesuré, Rouve se l'accapare ici pleinement et s'en sert pour faire glisser son film dans un registre comique qui donne à l'oeuvre son charme. Côté récit, il s'intéresse à l'homme en exil, rattrapé par son passé, et développe ce personnage avec beaucoup de d'attachement. Si le casse en lui même n'est qu'une petite partie de cette histoire, Rouve n'oublie pas d'insister sur la prouesse réalisée et semble donner toute son admiration à cette "aventurier" aux deux facettes. Petite comédie sympathique et modeste sur fond de casse du siècle, "sans arme ni haine ni violence" résonne comme une espèce d'ode à un hors la loi à la personnalité intéressante.
    David GEORGES
    David GEORGES

    50 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mai 2009
    Utilisation du split screen lors du générique d’ouverture, description de figures notoires du banditisme français au passif quelque peu similaire: certains parallèles sont évidents entre le diptyque sur Jacques Mesrine et Sans arme, ni haine, ni violence, portrait light d’Albert Spaggiari, auteur du fameux "Casse de Nice" en 1976. Mais les points communs entre les deux films ne vont pas plus loin. Jean-Paul Rouve, ex-trublion de la troupe des Robins des Bois, de longtemps emballé par la personnalité et le parcours de Spaggiari (qui n’a finalement jamais été arrêté) tenait à l’incarner sur grand écran. Il en profite pour caricaturer joyeusement ce hors-la-loi égocentrique et insaisissable (déguisement, gros cigare, opulence). Egalement derrière la caméra, Rouve, de par ses affinités génétiques axées sur la dérision, ne pouvait accoucher d’autre chose qu’une comédie légère, presque drôle. Point de surprise donc. Son ambition n’étant pas de réaliser un strict biopic, il y intègre des ingrédients de fiction et insiste sur la relation entretenue par Spaggiari avec le reporter joué par Gilles Lellouche (qui n’a pas existé). C’est de bonne guerre. Toutefois, malgré un rebondissement intéressant dans la première partie du film, il est regrettable que l’intrigue, très linéaire, perde en épaisseur au gré du délitement du charisme d’un homme finalement très seul (en dépit de la présence protectrice de sa femme jouée par Alice Taglioni) voire pathétique. Surtout, le contre-pied final que l’on sent arriver gros comme une maison n’est franchement pas malin. Et il ne faut pas oublier que ce Spaggiari, que l’on pourrait presque entrevoir comme un bon samaritain, était quand même un ancien membre de l’OAS pro-Algérie française, puis partisan de l’extrême droite. De quoi relativiser le slogan qu’il laissa dans la salle des coffres de la Société Générale de Nice: "Ni armes, ni violence et sans haine".
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 098 abonnés 3 970 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mai 2008
    Pas terrible, JP Rouve n'arrive pas à donner de la profondeur au personnage et à le rendre plus attachant, à lui donner une certaine dimension… et la fin (bien qu'inspirée d'une histoire vraie) est un peu prévisible. Le film reste tout de même potable et à quelques scènes sympas mais sans plus.
    GodMonsters
    GodMonsters

    1 308 abonnés 2 645 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 novembre 2011
    Je n'ai pas vraiment pris du plaisir à regarder ce film, mais ça se laisse regarder car l'histoire se laisse facilement suivre (malgré un gros manque de suspens) ! Après je met seulement la moyenne car c'est assez ennuyeux, et prévisible (surtout à la fin)... et même si Gilles Lellouche et Alice Taglioni sont très bons également, c'est pas suffisant.
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