Une affaire de coeur : La tragédie d'une employée des P.T.T. : Critique presse
Une affaire de coeur : La tragédie d'une employée des P.T.T.
Note moyenne
4,0
5 titres de presse
Cahiers du Cinéma
L'Humanité
Le Figaro
Le Monde
Télérama
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5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jacques Aumont
Une telle diabolique perfection, une telle maîtrise de la forme et des formes créées, si elle coupe le souffle, court aussi le risque de n'apparaître que comme habileté, même si cette habileté est payante : émouvante et admirable.
L'Humanité
par Samuel Lachize
Dusan Makavejev a 35 ans et il représente cette génération de jeunes cinéastes qui fleurit depuis la guerre, un peu partout en Europe (...). En cherchant de nouvelles formes d'expression cinématographique, ils ont étonné leurs contemporains du monde entier.
Le Figaro
par Louis Chauvet
Je connais peu de grandes productions aussi recommandables que ce petit film traité sur le mode confidentiel et dolent, tantôt enjoué, tantôt mélancolique, toujours attachant...
Le Monde
par Yvonne Baby
Ce film évolue donc sur trois plans tout aussi tragiques et qui (...) accentuent l'étrangeté presque irréelle de la fiction et la vérité dramatique du constat.
Télérama
par Jacques Buthiers
Le film en arrive au point où le constat matérialiste suscite le désir d'un dépassement. Plus il s'attache au seul présent, plus il nous donne la nostalgie de l'éternité.
Cahiers du Cinéma
Une telle diabolique perfection, une telle maîtrise de la forme et des formes créées, si elle coupe le souffle, court aussi le risque de n'apparaître que comme habileté, même si cette habileté est payante : émouvante et admirable.
L'Humanité
Dusan Makavejev a 35 ans et il représente cette génération de jeunes cinéastes qui fleurit depuis la guerre, un peu partout en Europe (...). En cherchant de nouvelles formes d'expression cinématographique, ils ont étonné leurs contemporains du monde entier.
Le Figaro
Je connais peu de grandes productions aussi recommandables que ce petit film traité sur le mode confidentiel et dolent, tantôt enjoué, tantôt mélancolique, toujours attachant...
Le Monde
Ce film évolue donc sur trois plans tout aussi tragiques et qui (...) accentuent l'étrangeté presque irréelle de la fiction et la vérité dramatique du constat.
Télérama
Le film en arrive au point où le constat matérialiste suscite le désir d'un dépassement. Plus il s'attache au seul présent, plus il nous donne la nostalgie de l'éternité.