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Un visiteur
5,0
Publiée le 28 février 2007
Tu veux mettre un peu de couleur dans ta journée, du soleil, de la bonne humeur ? vas voir AZUL ! c'est vraiment la couleur, pardon le film de la semaine. franchement ravie d'avoir rencontré cette petite bande (Jose, Paola, Antonio, Natalia et "sean pen") fort sympatique. j'ai passé un excellent moment, c'est frais, charmant. a voir absolument !!
J'ai vu AZUL lundi dernier en avant-première. Et bien, je le conseille à tout le monde !!! Le film est frais (on ressort avec un grand sourire sur le visage) et il a en plus un côté loufoque vraiment sympathique. Les personnages sont super attachants et les acteurs sont parfaits. A NE PAS RATER.
Quelle merveille ! Ce film espagnol est tout simplement unique.... un de mes gros coups de coeur de ce début d'année. Les acteurs sont tous très touchants et donnent au film une justesse incomparable. On passe par toutes les émotions entre joie et peine, gravité et humour... Avec Daniel Sanchez Arevalo, le cinéma espagnol a de beau jours devant lui ! Recolorez tous votre vie en AZUL (=bleu) !
Azul n'est pas seulement une oeuvre originale, mélant humour et sujets plus graves, c'est aussi la découverte d'un réalisateur incroyablement doué, qui sait diriger ses acteurs, filmer des plans avec brio, le tout servi par un montage audacieux. Un régal.
Cest certainement la plus belle surprise de ce début dannée, et elle nous vient tout droit dEspagne. Azul, comédie dramatique drôle et touchante au titre original poétique (Azul Oscuro Casi Negro, soit Bleu nuit presque noir) révèle le talent de Daniel Sànchez Arévalo, que certains nhésitent déjà pas à comparer à Almodovar. Ce qui en dit long sur la réussite de son premier film, qui suit litinéraire professionnel et sentimental de Jorge (Quim Gutiérez), et brasse des thèmes tels que la jeunesse, le chômage, lemprisonnement, lamour, la maternité ou lhomosexualité, avec beaucoup dhumour et de finesse. Servi par des comédiens attachants, Azul fait donc incontestablement partie des films à ne pas rater ce mois-ci.
Une jolie réussite. A l’image de son héros Jorge, Daniel Sanchez Arevalo ramasse les poubelles de ses personnages et farfouille pour voir ce qu’il y a dedans. Rapport complexe à la figure du père – grabataire ou homosexuel non assumé –, difficulté à tourner la page d’une passion d’enfance condamnée par la différence de positions sociales, soif d’amour dans un univers carcéral impitoyable... Pas mal d’humour aussi, des situations rigolotes bien menées, des dialogues piquants, des personnages sympathiques à l’image d’Antonio, le grand frère taulard et immature. De ce kaléidoscope de tranches de vie émerge petit à petit le portrait d’individus qui se cherchent et tentent de scier les barreaux plus ou moins visibles de la prison où ils sont enfermés. Par des montages astucieux, le réalisateur entremêle habilement les scènes, crée des effets de miroir et des télescopages souvent efficaces, parfois un peu forcés. Jusqu’à ce que Jorge et Paula finissent par trouver la sortie du labyrinthe. Pas nécessairement un film de grande envergure – l’écriture scénaristique sent un peu l’effort, l’émotion n’est pas toujours là – mais une première œuvre attachante et prometteuse.