Comme le dit si bien Ismahan, "Don't think, feel". Quand la musique est bonne, les images superbes et la danse sensuelle, on se laisse emporté et le film parait trop court.
Whatever Lola wants est un film plaisant, enchanteur où les charmes du cinéma rencontrent l'adresse de Nabil Ayouche. Intelligente, fouineuse et fragile à la fois; Laura Ramsey est un cadeau offert au cinéma grace à ce film.
Whatever Lola Wants ne révolutionne pas le 7ème Art mais nous fait passer un bon moment. Mention spéciale à une Laura Ramsey magnifique. Allez le voir entre filles!
Nunuchement tendre ou tendrement nunuche? Un roman à l'eau de rose? Vous avez quoi contre le rose? Ce film a l'avantage de nous mettre de bonne humeur, c'est déjà pas mal... il permet aussi ed comprendre ce qu'est le choc des cultures sans pour autant tomber dans la thèse sociologique... Alors oui c'est un peu fleur bleue (c'est bien aussi le bleu non?), mais on en sort heureuse...
Ce film a tout du cliché des Occidentaus sur le monde arabe et en particulier l'Egypte. What ever Lola Wants se regarde de la même manière qu'on certains touristes de découvrir l'Egypte enfermé dans leur club-resort, on y sert que ce qu'ils peuvent apprécier. En tant que ce film est bien loin de la réalité égyptienne et aussi de la danse orientale en Egypte, le scène de la jeune fille blonde qui se rends dans un cabaret en Egypte toute seule est totalement impropable, en fait tou dans ce film est le reflet d'une Egypte fantsamée par l'Occident. En fait, c'est un peu un loukoum périmé et éventé ce film même la danseuse malgré une certain technique est bien fade comparée à de "vraie" danseuse. La danse orientale c'est Dina, Samia Gamal, Nagwa Fouad, taheya Carioca. la c'est un peu bellydance à l'américaine. aucune saveur...
4 étoiles pour "Whatever Lola wants", et pourtant ce film enchaîne les clichés, les situations effarantes, et au final n'est pas très bien réalisé. L'idée de base, pourtant, était excellente, une Occidentale doit s'intégrer en Orient, on a plus pour habitude de voir le contraire. Seulement voilà, je veux bien que Lola soit une jeune femme tellement gentille qu'elle s'attire immédiatement la sympathie de tout le monde, je veux bien qu'elle ne soit même pas effrayée dans ce pays qu'elle découvre face à certaines agressions qu'elle peut subir en tant que femme et dont elle se tire toujours haut la main d'ailleurs, par deux fois deux hommes différents qu'elle ne connait absolument pas viennent la tirer des griffes de deux autres qui eux ne lui veulent pas que du bien, je veux encore bien que comme par hasard son meilleur ami soit égyptien, l'homme dont elle tombe follement amoureuse soit égyptien également et tout ça au beau milieu de New York!!!!, et à la limite, je veux bien qu'elle ne connaisse absolument rien de l'Egypte et de ses coutumes alors qu'elle passe ses journées avec son ami Youssef qui ne serait pas égyptien???!! Mais tout ça en même temps, je ne veux plus... Alors je ne saurais dire pourquoi, et ça m'arrive rarement, mais "Whatever Lola wants" est un film à ne pas manquer. Ca m'a touché comme peu de films me touchent, je l'ai vu hier après-midi, et nous sommes aujourd'hui dans la soirée et j'y ai pensé toute la journée!! Rien que ça. Peut-être la beauté incroyable de la comédienne incarnant Ismahan, peut-être le rythme infernal et insoutenable de lascivité et de sensualité de la danse orientale, ou peut-être que de la naîveté naissent les plus jolies histoires.
Dans cette période de morosité ambiante où toutes les peurs stigmatisent les peuples le cinéma offre une échappatoire. Le récent succès de la chtite comédie de Dany Boon en est une preuve. Le spectateur aujourd’hui a besoin de se libérer l’esprit, rire ou s’émouvoir de choses simples. C’est un cinéma de crise. A l’image de ce que nous proposaient les grands maîtres américains ou français de l’entre deux guerres. Une toile sociale de fond, juste pour situer l’action à laquelle on vient coller une histoire romanesque qui a pour seule justification la détente, le dépaysement. Nabil Ayouch, dans son combat militant s’inscrit dans cette veine. Ses productions à faibles budgets et destinées au grand public en sont une preuve. Il laisse la réalité sociale à d’autres, son objectif étant de toucher le spectateur et de mettre en relief de jeunes réalisateurs. Le plus beau fleuron qu’il offre est donc ce troisième film. Calqué sur les comédies américaines des années 30/40 qui ont fait et font encore le bonheur des cinéphiles, il nous propose une belle histoire édulcorée de tout pensum militant. Il s’inspire de notre vécu ou ressenti (clivage de perceptions entre occidentaux et orientaux) pour ne laisser la place qu’à une jolie émotion brute. Lola symbole d’optimisme et de volonté délivre un message universel qui est tout sauf simpliste : la peur de l’autre vient de la méconnaissance. Le film est sans prétention, parfois même maladroit, mais sa force réside dans le bonheur jouissif qu’il procure. On se laisse piéger, on rit, on s’émeut, on trépigne au rythme d’une bande originale bien balancée. Laura Ramsey et Carmen Lebbos sont coupable aussi de cet emportement. Elles amènent dans leur relation élève/professeur une vraie intimité empreinte de regrets, de méfiance et d’amour universel. « Whatever lola wants » sur les traces d’un Cukor, ou d’un Wellman, belle référence pour un beau film.
Cette production française au casting internationale tournée en anglais, semblait sur le papier une bluette à l'eau de rose et sans doute dégoulinante. C'est vrai que c'est une bluette mais pas trop de guimauve dégoulinante. Le récit est cousu de fil blanc et l'on devine l'histoire et le dénouement sans problème, c'est un brin trop facile et idyllique, tout tombe pratiquement tout cru dans la bouche de l'héroïne. Mais il y a malgré tout un petit charme qui opère tout au long du film (qui m'a fait un peu penser à Waitress sorti l'an passé). Cela est du à plusieurs facteurs qui réunis tous ensembles donnent un sentiment de légèreté et l'on sort de la projection heureux avec de la musique dans la tête (même si le tout s'oublie très vite !). La mise en scène est honnête sans être percutante mais c'est bien suffisant pour ce genre de film. Les images sont très belles, tout comme les décors et les costumes, et la musique est entrainante. Mais l'atout principal est l'interprétation. Le charme de Laura Ramsey y est pour beaucoup (pas autant que Keri Russell tout de même), tout comme le jeu de la belle Carmen Lebbos. Au final un petit moment de détente qui ne restera pas dans les annales mais qui fait passer un bon moment. On peut tout de même s'en passer.
Ce film est un gros loukoum, on aime ou non, moi j'ai beaucoup aimé, j'adore la musique arabe et les danses orientales, les acteurs sont super, la fin fleur bleue un vrai conte de fée.......que du bonheur
MAGNIFIQUE! Franchement j'ai adoré! un super beau film, rempli d'émotions, simple et tout simplement beau! Je conseille vivement, les acteurs sont superbes, la musique du film envoutante. A voir absolument !!!