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Stéphane D.
4 abonnés
32 critiques
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3,5
Publiée le 30 avril 2013
Rien à faire, je reste nostalgique de ce cinéma des années 80 où même les comédies sans prétention comme celle-ci n'arrivaient jamais au niveau de médiocrité des navets du genre de nos jours... Avec des moyens infiniment plus modestes! Il y régnait une atmosphère "printanière" et une brise d'insouciance qui nous font bien défaut en cette triste période de crise. Pour revenir au film, un Guy Marchand égal à lui même dans cet exercice, et puis... Rien que pour revoir les débuts de poupon de Bruel...
pour moi, ce film est génial et si je trouvais à vendre je l'achèterais de suite!!!! c'est marrant, on oublie ses problème et c'est tipique de la crise de la quarantaine chez un homme!! je pense que ceeux qui ne l'ont pas compris, ne peuvent pas l'apprécier et c'est bien dommage!!!
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3,0
Publiée le 11 août 2013
Le marseillais Gèrard Lauzier transpose une fois de plus son univers dans une comèdie de moeurs ancrèe dans son temps, satire d'un certain milieu social et intellectuel qui n'a pas portè ses fruits, et qui semble avoir dèroutè le grand public en 84! En publicitaire fringuant bien dans sa peau, Guy Marchand est parfait et nous fait participer aux moments de crise de sa vie! Côtè actrice, beautè et èlègance: Marisa Berenson (il y a au dèbut du film un dîner à la bougie qui lui rappellera quelques souvenirs) nous gratifie d'une danse suave et sexy (bienheureux le Marchand) et Fanny Bastien (sa boisson favorite, c'est le champagne framboise), dont on a perdu de vue depuis un moment mais qui nous rappelle la très belle comèdienne qu'elle ètait, a du vague à l'âme et des problème de fric! Avec aussi la participation de Jacques François en doc, de la soularde Christiane Jean et du jeune loup très ambitieux Patrick Bruel! Guy Marchand chante aussi « Romantic Romance » avec toujours cette voix de crooner qu’on lui connaît...
Guy Marchand et Fanny Bastien sont les seuls atouts de cette petite comédie sans prétention. A voir uniquement les jours où l'on veut évacuer son spleen.
Une comédie de mœurs très typée 80´s, à la fois sympathique et pleine de cynisme sur les déboires sentimentaux d’un quinquagénaire divorcé interprété par un Guy Marchand dans un rôle taillé pour lui.
Guy Marchand rempile avec le réalisateur Gérard Lauzier. La tête dans le sac ou j'ai envie de dire la tête dans le je-m'en-foutisme dans toute sa splendeur avec un zest quand cela lui prend d'june bonne intention, Marchand y joue un personnage qui après trois divorces reste pas son aisance financière un homme qui continue sa vie en gardant la tête haute et ne veux plus se préoccuper ou avoir des ennuies futiles avec les femmes. Tout les soirs il aime dormir comme un bébé tout en se disant j'ai cinquante ans mais je vais bien. Seulement il à ses faiblesses comme nous tous et il lui arrive encore de tomber sur des situations folle, on rigole, on écoute ses mésaventures avec attention.
"La tête dans le sac" ou le portrait d'un cinquantenaire sûr de lui, égoiste et macho. Mais, entiché d'une trop jeune maîtresse qui se dérobe sans cesse, Romain (Guy Marchand) voit son assurance de séducteur se fissurer. Le film de Lauzier est l'histoire classique de l'homme mûr qui finit par découvrir la désillusion. Confronté à l'insolente jeunesse, Romain ne fait plus figure que de has been. Hormis quelques formules de dépit de Guy Marchand, le film est fort médiocre. La platitude de la mise en scène de Lauzier le prédispose déjà à l'inefficacité. Mais c'est surtout l'univers branché et la vulgarité des personnnages qui nous détournent de cette comédie de moeurs caricaturale et volontiers méchante, insignifiante telle quelle. Le film tourne au mauvais vaudeville, fortement axé sur l'homosexualitéspoiler: (Jacques François est parfaitement grotesque en vieille tante) et ponctué de formules toute faites qui tombent à plat, faute de sens. Entouré de seconds rôles superficiels, Marchand fait ce qu'il peut dans un emploi uniforme et sans matière qui n'ajoutera rien à l'étude du syndrome de la cinquantaine difficile.
C'est vulgaire, à peine joué, truffé de caricatures, à moins que le film soit lui-même à prendre au second degré? Le personnage que joue Marchand pense que tout s'achète, tout se négocie. Tellement homophobe et outré qu'on ne pourrait plus, j'espère, faire un tel "film" aujourd'hui. Du coup on n'y croit jamais. Même Marchand (n'a jamais mieux porté son nom que dans ce film) finit par nous gaver. Bruel jeune? Il joue comme Bruel vieux. Le seul film plus mauvais que celui-ci dont je me souvienne est un autre Lauzier dont j'ai oublié le titre. Un massacre absolu.
La Tête dans le Sac est un film de Gérard Lauzier sorti en 1984. Cette comédie sans prétention, taillée sur mesure pour Guy Marchand, ne fonctionne pas vraiment. Malgré deux ou trois répliques bien senties et des seconds rôles qui lui font la passe plus ou moins efficacement (notamment Marisa Berenson et Patrick Bruel dans un de ses premiers rôles), le film ne convint pas en raison d'une réalisation plate, digne d'un téléfilm, et datée, de réflexions (elles aussi datées) récurrentes sur l'homosexualité, d'un scénario vaudevillesque qui finit par tourner en rond même si la réflexion relative au passage du cap des 50 ans était intéressante (elle aurait pu être mieux traitée). Une petite comédie typique des années 1980, inoffensive et donc loin d'être mémorable.