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    Cléo De 5 À 7
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 mars 2014
    Un classique du cinéma que l'on redécouvre avec grand plaisir en salle.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mars 2014
    (...

    Une déclaration d'amour à Paris et un film sensible sur notre condition de mortels.

    ...)
    pierrre s.
    pierrre s.

    426 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2016
    Une bonne idée de départ, et quelques très belles scènes. Voilà ce que l'on retient de ce film poétique et réussi, malgré quelques trous d'air.
    nielrowbooks
    nielrowbooks

    24 abonnés 669 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 février 2014
    Un film qui a bien vieilli tout simplement parce que la poésie brute qu'il distillait en 1962 s'est bonifiée en nostalgie poétique aujourd'hui. La caméra qui scrute Paris tout au long de cette oeuvre y est pour quelque chose, à tel point qu'on se demande si Agnès Varda n'a pas fait la promotion de la ville. Car finalement le scénario est ultra plat, mais évidemment voulu, et les personnages secondaires. Il s'agissait surtout pour la réalisatrice de création. Nouvelle vague alors, vieille rengaine aujourd'hui ? Non. Il y a eu maturation, contrairement à d'autres oeuvres qui ont sombré dans le ringard. On se laissera donc bercer encore longtemps au fil des rues parisiennes en regardant ce film qui n'a pas eu le succès qu'il méritait, bien qu'il ne fût, à l'époque, pas non plus absolument boudé. Corinne Marchand est magnifique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 décembre 2013
    Second long-métrage réalisé par Agnès Varda si je ne me trompe pas, "Cléo de 5 à 7" est typiquement synonyme de la Nouvelle Vague française tant les idées de cinéma fusent dans ce film. Du générique de début mêlant la photographie couleur au noir et blanc, dans l'idée d'être au plus proche de la réalité en filmant en temps réel, de cinq à sept heures (du moins 18h30), les événements qui interfèrent la vie de notre héroïne, Agnès Varda signe un film précurseur, une sorte d'OVNI qui innove dans sa matière à chaque seconde du film. "Cléo de 5 à 7" suit, pendant une heure et demi, le quotidien d'une jeune chanteuse, effrayée à l'idée d'avoir un cancer. Ainsi, au fil du temps et des rencontres qu'elle fait durant le film, ses états d'âme changent, passant du désespoir à la joie, émotions que Varda tente de partager à ses spectateurs. Si l'histoire du film est relativement simple, il s'agit avant tout d'une oeuvre poétique, que ce soit dans les images, très belles, jusque dans les dialogues des personnages, dans les chansons chantées par Corinne Marchand, etc... Toutefois, cette poésie, ce film cache un double discours. D'un côté, l'on suit le parcours qu'effectue Cléo dans Paris, mais d'un autre côté, Agnès Varda traite de la peur de l'Homme en général sur la mort, ici représentée par la crainte du cancer. Sans pour autant être négatif dans son ensemble, loin de là, "Cléo de 5 à 7" est une belle oeuvre, originale dans sa réalisation, qui, malgré les thèmes abordés, et d'un étonnant optimisme. Première fois que je regarde un film signé Agnès Varda et je n'en suis point déçu, même si, je dois l'admettre, le film est agrémenté par de courtes longueurs. Mais bon, pas de quoi en faire un drame non plus, ça n'est pas négatif par rapport au film, bien au contraire. Cela permet de ressentir l'ennui dont est atteint Cléo et d'être immergé de plus belle manière dans la vie de cette chanteuse. Hâte de voir le reste de la filmographie de la réalisatrice.
    Lotorski
    Lotorski

    17 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2013
    Agnès Varda a signé là une oeuvre extrêmement intéressante. 40 ans avant 24 heures chrono, elle fait le choix de filmer les événements en temps réel. 40 à 50 ans avant Terrence Malick, elle traite à merveille le thème de l'éveil spirituel. Bref, à voir !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 août 2013
    Petit conte émouvant, qui, malgré ses maladresses, parvient à éviter nombre de clichés. Le portrait de la femme est touchant, métaphorique, et surtout, il sonne vrai (13/20).
    PMarino
    PMarino

    1 abonné 108 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juillet 2013
    on suit une jeune femme, extrêmement belle, un peu femme blessée ou gâtée? A un peu vieillit, mais les images du quotidien des années 60 associées au rythme rapide du montage et des rencontres nous rendent le film agréable.
     Kurosawa
    Kurosawa

    582 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2013
    "Cléo de 5 à 7" voit la vie d'une jeune femme basculer, car cette dernière attend ses résultats médicaux, avec la possible annonce d'un cancer. A partir de cette idée dramatique, Agnès Varda filme donc l'attente de la protagoniste avec beaucoup de platitude. En effet, on suit ce personnage de Cléo (très bien interprété par Corinne Marchand), avec un sentiment le plus souvent proche de l'indifférence. Pourtant, Varda ne ménage pas ses efforts. Elle multiplie les effets originaux de mise en scène, mais en vain. Ils n'apportent absolument rien au récit, qui ne gagne presque jamais en intensité. Si la dernière rencontre effectuée par la jeune femme est intéressante par ses dialogues et donc, par son dynamisme, elle a du mal à effacer un bilan général qui reste plus que mitigé. Dans le style de la "Nouvelle Vague", un film loin de marquer les esprits.
    BURIDAN
    BURIDAN

    21 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juillet 2013
    « Cléo de 5 à 7 », le film majeur d’Agnes Varda…
    Avec « Sans toi ni loi » …
    « Cléo de 5 à 7 », film sur la mort, la vie, la maladie… Film que j’ai visionné il y a déjà bien (trop) longtemps et qui me laisse, paradoxalement, une impression de bonheur...

    Quelle maîtrise : scénario, mise en scène, montage…
    Et ce beau noir et blanc pour servir l’animation de la ville « lumière »…
    Et ces seules couleurs du générique qui accompagnent les cartes expression du destin (de la « vraie » vie ?) au son grinçant de la Pythie…
    Et ces images répétées pour accompagner la belle musique de Michel Legrand (quel acteur !)…
    Et ce petit film burlesque inscrit dans le film d’où jaillissent les figures de proue de la nouvelle manière d’écrire le cinéma (Godard-Karina, vedettes de la Nouvelle Vague…

    On va ainsi de minute en minutes (le temps, l...e temps !) et de surprise en surprise.
    D’autant plus que cette aventure de vie se déroule en temps réel… Ou presque : deux heures du basculement d’une vie résumée en quatre vingt minutes…
    Un drame ?

    Oui mais…
    Paris était si beau et le parc Montsouris aussi !!!
    Paris qui bouge, qui braille, qui vit dans l’action récurrente, l’indifférence collective à la terrasse d'un café, au son d’un radio annonçant des massacres lointains.
    Varda si près, si loin d’un Godard par exemple. Regardez « Vivre sa vie » tournée en même temps que « Cléo… », au thème si proche de Varda, si opposé aussi !

    Voici, ce qui fait la richesse de « Cléo de 5 à 7 » c’est qu’il s’agit de l’œuvre d'une FEMME…
    La SEULE femme actrice en idées et en réalisation de cette NOUVELLE VAGUE…
    Voyez…
    Les peurs, les pleurs, les rires et les confidences sont ceux d’une femme… Cette manière d’entendre les chiens japper sans se retourner… D’acheter un chapeau…
    Cette façon d’assurer un style vif et scintillant servi par une écriture si légère … Une hésitation, une envie qui s’assume comme telle…
    La maladie. La vie.
    L’épreuve comme une ouverture aux autres.
    Une ébauche de baiser amoureux…

    UN FILM !
    Un film sans zéfé spécios et qui n’a pas coûté 100 millions de dollars…
    Un film sans bagnole vrombissante, sans flingue, sans hémoglobine et sans débilité…
    Un film sans pub subliminale.
    Un film d’auteur, sans promo, qui passe en cachette (TV 5 monde)
    CONTOURNER, EVITER, EMPÊCHER L'INTELLIGENCE!
    L'INDÉCENCE ET L'IMBÉCILITÉ CIMENTENT LES ESPRITS AINSI !

    Regardez "Cléo de 5 à 7" !
    UN FILM QUI GUEULE L’AMOUR !
    Ce que devrait être d’abord le cinéma…
    Marc  Régis
    Marc Régis

    38 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mai 2013
    Un véritable bijou. Ce film n'a pas pris une ride. Un grand et émouvant moment de cinéma. Et puis on voit Paris, on découvre la ville, les Parisiens, de l'époque. C'est vraiment très beau. A voir et revoir.
    Sebmagic
    Sebmagic

    172 abonnés 1 128 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2012
    Magnifique, cette histoire toute simple m'a captivé grâce à la réalisation maline et intéressante. La construction du film, séparé en petits chapitres, nous montre en temps réel l'angoisse d'une femme pendant 90 minutes, attendant avec stress et sans espoir des résultats médicaux. Pendant 90 minutes, aucune ellipse, ce qui permet d'alterner les moments forts et les moments futiles de la vie de Cléo. Le film regorge d'idées inventives, notamment sur les cadrages. On peut par exemple citer le moment où Cléo est perdue dans ses pensées dans un bar ; la caméra se trouve décalée par rapport à la scène globale, permettant ainsi de faire comprendre au spectateur avec facilité le fait que Cléo se sente seule et isolée. Le début du film m'a immédiatemment plu, les plans subissant une alternance couleur / noir et blanc, puis j'ai eu un large sourire lorsque j'ai vu s'afficher "Chapitre I : Cléo de 17h05 à 17h08", la perspective de voir un film découpé en plusieurs tranches de quelques minutes me ravissant. A partir de là, le film enchaîne les moments sublimes, accompagnés d'une excellente BO signée Michel Legrand. La scène la plus forte, peut-être, est certainement celle où Cléo chante "Sans toi", avec le regard caméra et l'émotion dégagée. Mais le film est parsemé de scènes magiques, pafois contemplatives, qui m'ont scotché la plupart du temps. Toute la fin du film, avec Antoine, est parfaitement géniale, les deux personnages étant attachants et les scènes pleines d'humour et de tragique à la fois. De manière générale, les personnages sont réussis, notamment Bob (joué par Michel Legrand lui-même) qui fait rire. Pendant toute la durée du film, on angoisse avec Cléo même si le film garde constamment un ton très léger, grâce à des scènes moins fortes et plus quotidiennes. Le seul hic, c'est que certaines de ces scènes sont parfois légèrement ennuyeuses, ce qui ne gâche pas pour autant le bon visionnage du film. La conclusion du film est excellente et on quitte le film encore dans l'ambiance. Un beau film au scénario très simple et à la réalisation impeccable.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 septembre 2012
    C'est insupportable ! Clairement on s'ennuie de bout en bout. L'intrigue fait du sur-place tout au long du film. Ca se répète, ça revient, c'est niais, c'est indigeste. Sans doute faut-il entrer dans l'histoire, ça n'a pas été mon cas. La Nouvelle Vague m'a noyé.
    zoncolan
    zoncolan

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 août 2012
    Le chef d'oeuvre d'Agnès Varda.Film d'une extrême légèreté et ce malgré les sujets graves qui sont abordés (maladie,angoisse,attende).Film qui a très bien résisté au temps.On prend plaisir à découvrir le Paris des années 60.Corinne Marchand est très juste dans le rôle de Cléo.Film représentatif de la Nouvelle Vague.Dommage qu'Agnès Varda aie été si peu productive.
    A voir ou revoir.
    Jipis
    Jipis

    38 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juin 2012
    Cléo dispose de cent vingt minutes de réflexions à l'air libre afin de se préparer à une sentence finale.

    Deux heures égrenées dans les rues d'un Paris scénarisé par des procédures quotidiennes distantes de rencontres spontanées entre projets des uns et desespoir des autres.

    Il faut tout se dire en quelques minutes avec en toile de fond une ville procéduriere dans des actions récurrentes, se prouver que l'on existe par la voix plus pour soi même que par l'apport des autres en testant courageusement une indifférence collective à la terrasse d'un café.

    Les contraintes et les vitalités rencontrées narguent une jeune femme ne pouvant construire qu'un relationnel limité dans le temps au contact d'une faune anonyme dans une mégapole structurée par le devoir de production.

    La dernièr quart d'heure sensible consacré au gentil militaire regagnant l'Algérie alors en guerre tout en laissant en apparence un infime espoir de construction sentimentale n'ôte pas le doute sur la difficulté d'élaborer une stabilité à long terme. La maladie scelle un avenir que Cléo doit assumer seule.

    Un esprit trituré par le potentiel d'un diagnostic à risque se lache dans une ville en pleine transpiration. Paris n'à jamais aussi beau, filmé par une cinéaste de l'errance la ville palpite en temps réel une technologie obsolète faite de plates formes de bus, de spragues et de machines à vapeurs.

    Ces deux heures distillées entre craintes et espérances dirige une entité momentanément récupérée par la thématique du vacarme urbain vers une conclusion ne laissant que peu de chances sur la possibilité d'offrir à une femme pleine de vie la possibilité de s'ébattre dans un élément souverain, le temps.

    Cléo de 5 à 7 œuvre de rues promotionne les rencontres improvisées stimulant colères, rires et larmes dans une procédure sensorielle frémissant en décor naturel.
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