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    Cléo De 5 À 7
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    95 critiques spectateurs

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    gerald_w-a
    gerald_w-a

    11 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 août 2019
    Si la promenade dans le Paris de 62 est intéressante, l'actrice ne semble préoccupée par son destin que lors de certaines scènes attribuées, y jouant plutôt mal son désespoir. D'autres scènes semblent remplir des trous. La réalisation est certes originale, mais ce personnage laisse indifférent, quand il ne n'agace pas !
    war m
    war m

    29 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 juillet 2019
    Un petit chef-d'oeuvre de fraîcheur et d'inventivité. A la fois l'un des films les plus délicieux et les plus essentiels produits par la Nouvelle Vague.
    Gregory S
    Gregory S

    26 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juillet 2019
    Si on replace le film dans le contexte de l'époque c'est évidemment un film très important, voire charnière. Aujourd'hui il représente une certaine idée du Paris d'avant mai 68. C'est le pendant féminin d'A bout de souffle. Cependant il manque aujourd'hui un souffle à ce film, qui n'a pas conservé la même force que les 400 coups ou que le Godard.
    Roub E.
    Roub E.

    948 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 juin 2019
    Découverte pour moi d’un film symbole de la nouvelle vague et il me semble aussi un premier film d’Agnès Varda. Il va falloir je pense un moment avant que je ne retente l’expérience. Je vais passer rapidement sur ce qui m’a plu, il y a cette plongée In Vivo dans le Paris du début des années 60 forcément criante de vérité et il y a effectivement une mise en scène inspirée. Une mise en scène qui apporte quelque chose au néant que représente pour moi ce film. Il y a d’abord le problème de son personnage principal totalement inintéressant, même agaçant, j’en suis arrivé à un stade où je souhaitais qu elle soit vraiment malade et qu’elle meurt dans les plus atroces souffrances. Comme en plus son actrice joue plutôt mal, comme quasiment tout le casting d’ailleurs cela n’arrange rien. Pour un film qui semble vouloir rechercher une forme de vérité avoir des acteurs qui donnent tous l’impression de jouer et non de vivre est problématique. Malgré sa durée plutôt courte cela m’a paru interminable, je reconnais avoir vu deux trois choses intéressantes mais je n’ai pris aucun plaisir à le voir.
    Jacqueline T.
    Jacqueline T.

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2019
    Excellent film par sa simplicité d'une part, et le côté psychologique d'autre part, qui est, à mon avis, le point fort du film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 avril 2019
    Avec Cléo de 5 à 7, Agnès Varda émerge de la nouvelle vague avec brillance. Son approche au féminin lui donne une portée plus profonde et plus large que celle de ses confrères et lui assure du même coup une meilleure postérité. Désolé messieurs☺. Elle emprunte pourtant la même avenue qu’eux, pour exprimer le mal être de sa génération, soit celle de l’errance. Plusieurs films de cette époque s’écrivent autour d’un personnage vivant une détresse passagère, déambulant et ne sachant pas où cela les mènera. Certains vont provoquer le destin (À bout de souffle, Classes tout risque) d’autres vont chercher le réconfort dans l’humour, l’amitié et l’amour. C’est le cas de Cléo, une chanteuse de métier qui entreprend une ballade angoissées de deux heures à travers les rues de Paris, convaincue que le médecin l’attend avec un diagnostic de cancer. La caméra la prend en filature saisissant autant ses états d’âme que le monde qui l’entoure. Paris est merveilleusement filmé, tout comme le peuple qui l’habite. La réalisatrice emprunte quelques procédés à la mode à ce moment-là, mais de manière très sobre. La scène d’ouverture en couleur, un close up repris en mitraille, des surtitres découpant l’histoire en treize chapitres faisant référence aux cartes de tarot tirées en levée de rideau. Pas d’effets gratuits, rien pour déranger le spectateur du cheminement de la protagoniste. À défaut d’être toujours juste, Corinne Marchand demeure crédible et intéressante à suivre. La musique et la présence de Michel Legrand contribuent à immortaliser l’œuvre.
    que du cinéma
    que du cinéma

    4 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2019
    Film français qui filme la vie d'une femme de 17h à 19h. Film atypique sur un sujet assez original. A voir.
    Hotinhere
    Hotinhere

    548 abonnés 4 956 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mars 2019
    Formidablement mis en scène par Agnès Varda, un film mélancolique très nouvelle vague qui met en scène les errances parisiennes et les angoisses d'une femme face à la peur de la mort.
    Daniel Pennac l'a bien compris : « le pire dans le pire, c'est l'attente du pire. »
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 17 mars 2019
    Corinne Marchand est belle, elle pète la santé. Quelqu'un qui a le cancer est moins en forme et moins actif. Du coup, je n'ai pas cru un seul instant à sa maladie. Angoisse et sus pense, zéro. Certes, voir Paris en 62 est intéressant. Je dois avouer que je n'ai pas tout vu de ce film, car je me suis endormi.
    Shawn777
    Shawn777

    582 abonnés 3 468 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2018
    Ce deuxième long-métrage réalisé par Agnès Varda et sorti en 1962 est très bon ! C'est tout simplement l'histoire de Cléo qui "déambule" dans Paris de 17h à 19h en attendant avec angoisse ses examens médicaux. Si le synopsis ne donne pas très envie, et c'est d'ailleurs pour ça que j'ai mis si longtemps à la voir, le scénario est pourtant très simple mais très bon et il faut bien-sûr adhérer au style de la Nouvelle Vague pour apprécier ce film. Effectivement, comme pour les films de Jean-Luc Godard et, plus largement, d'autres films films de cette période, le film nous fait oublier le scénario pour ainsi nous donner l'impression de suivre simplement un personnage à qui il arrive ou non des aventures mais dans ce genre de film, bien souvent non. C'est quelque part étrange mais pourtant on ne s'ennuie pas, on est bien loin des gros blockbusters américains dont l'action occupe toute la place, ici nous sommes devant quelque chose de très simple mais qui arrive à capter notre attention. Nous assistons plus particulièrement ici à une sorte de parcours initiatique dans lequel le personnage principal essaye d'acquérir un meilleur style de vie et d'ailleurs, la fin est très parlante à ce niveau-là. J'ai beaucoup aimé la réalisation qui, appartenant à la Nouvelle Vague, se démarque forcément des autres films "ordinaires" notamment avec des jump cuts, des accélérés etc. et puis Paris est très bien filmé et il en est de même pour le montage avec le fait que le film soit coupé en petits chapitres en fonction de l'heure, ce qui est très original. Du côté des acteurs, nous avons principalement Corinne Marchand qui joue vraiment très bien et qui ne nous lasse jamais, ce qui est pourtant assez difficile sachant qu'elle occupe la majorité du film, pour ne pas dire la totalité. "Cléo de 5 à 7" est donc une très belle découverte cinématographique.
    Antoine D.
    Antoine D.

    39 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Agnès Varda passe au premier plan de la Nouvelle Vague et vient côtoyer les plus grands comme Truffaut et Godard, elle est aussi propulsée sur les marches du festival de Cannes dès son 2ème long métrage.

    Cléo est une jeune chanteuse qui attend ses résultats d’analyse. Elle passe alors chez une voyante pour connaître son futur avant de découvrir Paris dans la peur.

    Avec Varda, on passe du sujet le plus grave au plus léger avec délicatesse grâce aux différents styles.
    Cléo découvre la vie en 1 heure 30 dans sa déambulation parisienne qui devient une quête spirituelle. Pour vivre et vaincre l’angoisse des résultats d’analyse, elle rencontre des personnes et puise la sagesse dans chacune des histoires de ceux-ci. Toujours dans la délicatesse, symbole de la femme, on suit l’envol d’une femme.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 février 2018
    Le film est en noir et blanc et seule la première scène (tirage des tarots) est en couleurs. Il est divisé en plusieurs chapitres, relatant, la journée du 21 juin à Paris, à travers l’attente de résultats d’analyses de laboratoire (suspicion de cancer) par une chanteuse, Florence dite Cléo (Corinne MARCHAND, 30 ans). Au cours des 2 heures précédant l’annonce des résultats, elle va se balader dans Paris spoiler: avec sa gouvernante (Dominique DAVRAY) et faire les boutiques, retrouver chez elle son amant (José Luis de VILLALONGA), son parolier (Serge KORBER) et son musicien (Michel LEGRAND et rendre visite à une amie, Dorothée, qui pose nue pour des artistes. Elles rentrent ensemble en voiture. Un arrêt dans un cinéma dont elles connaissent le projectionniste (Raoul, l’amie de Dorothée), permet d’introduire un faux film muet (3 mn), « Les fiancés du pont Macdonald » où jouent Anna Karina, Jean-Luc Godard, Eddie Constantine, Samy Frey, Danièle Delorme, Yves Robert, Jean-Claude Brialy. Bonjour le copinage ! Lors d’un arrêt dans le parc Montsouris, Cléo rencontre Antoine (Antoine BOURSEILLER qui aura une fille avec Agnès Varda), soldat en permission qui repart en Algérie. Il l’accompagne à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière pour rencontrer le médecin qui la suit...
    Bref, une succession de scènes gratuites dont certaines dignes d’un documentaire sur Paris, au début de l’été. Certes, Agnès Varda apporte un peu de poésie sur la futilité et la fragilité de la vie mais les dialogues sont, soit sans intérêt, soit trop littéraires (scènes du parc Montsouris) ; un court-métrage aurait suffi (au lieu de 90 mn). La superbe photographie en noir et blanc (de Jean RABIER et qui travaillera beaucoup pour Claude Chabrol), notamment l’éclairage du visage de Corinne Marchand, participe à retenir le spectateur...
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 396 abonnés 4 437 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2016
    Film considéré comme une sorte d’incontournable de la Nouvelle Vague, Cleo de 5 à 7 est un film concept, pas forcément désagréable, mais dont le résultat manque singulièrement de relief, surtout compte tenu du sujet.
    C’est vrai que formellement le travail est soigné. La mise en scène se veut originale, et elle l’est souvent, notamment lors des déplacement en automobile. Il y a un style indéniable, et c’est heureux, d’autant que le noir et blanc est aussi très élégant, et cette virée de Paris, souvent en extérieur, est authentique et agréable. Cleo de 5 à 7 est donc une belle réussite esthétique, avec une bande son intéressante, parfois très belle, parfois assez déconnecté des images (notamment lors d’une scène assez banale finalement où les instruments se mettent soudain à partir vers de tragiques accents surjoués !). Mais bon, ce n’est pas là qu’est le souci de Cleo de 5 à 7 et ce n’est pas là que se trouve les raisons de ma note mitigée.
    Il faut les trouver d’abord dans le jeu des acteurs. Je ne veux pas être méchant, mais ils ne jouent pas bien, exceptés quelques seconds rôles, notamment les amis de l’héroïne que j’ai trouvé assez crédible. En revanche Corinne Marchand surjoue de façon trop théâtrale par moment (dans le resto), et parfois, à l’inverse, on perd complètement le personnage qui semble être dans la situation de monsieur tout le monde. C’est peu naturel, et c’est frustrant dans un tel film. Antoine Bourseiller apparait peu mais il est encore pire. Sa prestation est assez lénifiante, et son personnage sans saveur.
    Ensuite, l’histoire n’est pas aussi enthousiasmante que je ne l’espérais. Ok, Varda nous livre quelques jolies scènes évoluant entre la gravité et la légèreté, notamment un rare essayage de chapeaux qui n’ennuie pas ! Pour autant, avec son concept la réalisatrice ne peut que nous assigner un film inégal, avec des passages de remplissages évidents. Pas franchement grave, pas franchement rigolo, Cleo de 5 à 7 rate aussi sa sortie. La rencontre tient en 20 minutes, et encore, elle n’a aucune saveur, et la chute du film est une catastrophe. Autant Varda accroche vite avec son film qui ne perd pas de temps pour entrer dans le vif du sujet, pour présenter son héroïne, autant la chute abrupte et sans relief est une grosse déception.
    En conclusion je dirai que Cleo de 5 à 7 est avant tout un exercice de style, pas déplaisant certes, mais bien moins emballant que ce qu’il aurait pu être compte tenu du sujet. Sauvé par son esthétique très soignée et par quelques beaux moments qui parsèment l’ensemble plus mineur, un Varda à voir, mais pas mémorable. 3
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    Mea Culpa, retenez vos crachats, je ne l'avais jamais vu, il n'est jamais trop tard etc...l'histoire, tout le monde la connait, c'est le solstice d'été à Paris, et pour Cléo, dans un autre sens, c'est aussi le jour le plus long...drôle de film, très gonflé pour l'époque, mais extrêmement attachant...et à méditer ensuite. Bravo, m'dame Varda, et également merci pour la promenade dans le paris de 1962.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 146 abonnés 5 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2016
    Le film est un kaléidoscope. Des rencontres futiles, énervantes, de l'ennui, de la douceur, une nostalgie cachée et en sus une promenade poétique dans le Paris des années 60. Varda filme une femme libre en ne dérogeant pas à ses petits hommages: le film muet, les gens de la rue, le soldat qui aime la photographie et cette rencontre romantique au parc Montsouris. C'est superbe.
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