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ManoCornuta
289 abonnés
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3,5
Publiée le 26 février 2016
Inutile de s'attarder sur la subtilité du scénario car là n'est clairement pas l'objectif de Jan Kounen avec ce film. Dobermann est du concentré d'action et de brutalité orchestrée avec une grande maestria visuelle, dans un milieu où tout le monde est grossier, vulgaire ou crasseux (ou un peu tout ça). Comme une sorte de Tueurs Nés à la française, poussant la violence dans un extrême et se gavant de mouvement de caméras clipesques. Un vrai défouloir hormoné et cinglant.
Premier long métrage de Jan Kounen, "Dobermann" surprend par son aspect visuel très marqué et ses personnages déjantés. Sauf que ce sont sur ces points que péche le film. La mise en scène est effectivement trop typée, beaucoup trop. Kounen en fait des tonnes et le rendu en devient vite indigeste. On ressent clairement l'influence d'un Quentin Tarantino et l'ambition de rivaliser avec le cinéma d'action américain. En plus de cela, le film n'est pas aidé par son scénario, creux et imbécile. Bref, c'est une daube(ermann).
ce Film n'est rien d'autres qu'un chef d'oeuvres, sur le plan cinématographique pour l'époque je trouve que le travail fait et carrément gigantesque tout les plan sont super bien pris le scénarios et la malgré ce que tout le monde pourra dire et malgrré le budget le réalisme et au rendez vous apppart pour les p'tite scéne du début mais sa explique bien le personnages bref si vous n'avez pas aimer dobermann et bien oubliez vos préjugés et remattez le ce film et un défouloir humouristique pour le cerveau
Du grand n'importe quoi comme j'aime, et à l'époque, je m'étais dit: "enfin du grand n'importe quoi français!". Comme j'aime à le dire, mettez votre cerveau de côté, ça reste du divertissement...
Pffff quand je pense qu'à l'époque je trouvais ce film excellent... Triste adolescence ! ^^ Alors même si je ne dirais pas à mon voisin allemand : "C'est une daube Hermann !", on n'en est quand même pas loin. D'abord le scénario est d'une vacuité sans nom, ah si : le néant ; ensuite la direction des acteurs est particulièrement mauvaise, seul Tchéky Karyo tire son épingle du jeu, quoiqu'il en fait trop sur la fin ; enfin, les dialogues sont, ou creux, ou vulgaires, ou lourds, et on est saoûlés d'invraisemblances. Reste toutefois une mise en scène plus que correcte et 2-3 moments mémorables, mais ceux-ci sont vraiment trop rares pour sauver ce produit labellisé "2 de QI".
Film sous acide. Déjanté, cartoonesque, personnages barrés, réalisation effrénée et d'une violence rare, on dirait un tarantino croisé avec un gregg araki. Jouissif.
N'ayant jamais vu le premier long métrage de Jan Kounen, je me devais par curiosité de voir Dobermann. Que dire de ce film sorti il y a maintenant 17 ans. Malheureusement pas grand chose. Une absence totale de scénario, des dialogues creux, des passages comportant des longueurs et quelques scènes d'action. Les personnages bien que totalement barré ont autant de charisme qu'un poulpe. Un casting d'acteurs totalement à la rue avec entre autre Vincent Cassel avec un look minable, Monica Belluci muette et Tchéky Karyo qui s'improvise bilingue dans le film en balançant quelques répliques en anglais. La violence n'est pas excessive mis à part la scène à la fin spoiler: où l'inspecteur se fait "raboter" la tête par le Dob. Au final, même en regardant le film et en le prenant au 3 émé degré, Dobermann est un très mauvais film. En un mot, un navet.
"Dobermann" est un film très novateur largement en avance sur son temps - surtout pour un film français -, il ne sera suivi que bien plus tard par des œuvres très graphiques et très violentes comme "Sin city". Son côté radical et très irrespectueux séduit toujours, mais son rythme effréné et sa réalisation syncopée finissent par être quelque peu usants. Alors on apprécie ou pas "Dobermann", mais il faut reconnaître qu'il n'a rien de conventionnel et qu'il mérite sa réputation de film marquant.
Doberman ne peut laisser indifférent on aime ou on déteste. Totalement vide de sens et récréatif, c est un cartoon violent, ou les personnages les plus barges et décalés les uns que les autres se tirent dessus, se droguent... Quand ce genre de film débarque de l étranger on crie au génie quand il vient de France on le descend .... Hypocrisie !
Dobermann est le genre de film à regarder au 3ème degré et lorsque le scénario n'a pas trop d'importance. Ce film est un vrai défouloir de violence mais il tombe dans la caricature à de nombreuses reprises. Certaines scènes sont invraisemblables (spoiler: l'assaut de la boite du nuit par des dizaines de flics qui n'arrivent même pas à toucher un des membres du gang, l'agression dans la rue devant des passants et des flics, le bébé pris en otage par les flics.. ) Les personnages sont trop caricaturaux :Tchéky Karyo en flic sadique et psychopathe, Vincent Cassel et Monica Bellucci le couple "dobermann" qui joue énormément sur la frime et les postures, l'abbé qui se prend pour un évangéliste après avoir tué quelqu'un, Romain Duris en camé accro au sexe et à la drogue.. Dans le genre film de braquage rien ne vaut le cultisme Reservoir Dogs ou un Pulp Fiction pour les scènes plus trash avec beaucoup plus de décalage et de maîtrise.
et encore une fois je me demande si le métier de critique de ciné est utile quand on a aucun gout comme ça..ce film est incroyable ok c'est assez malsain :spoiler: le travelo suceur de bite, la grenade dans le couffin et la fameuse scène de l'assaut de la boîte de nuit ou le mec accro au porno se prend une balle dans..l'entre jambe.. mais c'est ça qui rend le film si cool, un vincent cassel au sommet, une monica bellucci on ne peux plus sexy quoique MB et sexy dans la même phrase relève du pléonasme et surtout un tchéky karyo pourri comme vous ne le verrez jamais plus même son rôle de flic pourri dans le baiser du dragon le ferais passer pour un bisounours..bref j'adore ce film ok c'est pas pour tout le monde mais il est énorme..
Et un bon pâté de cinoche! Un! Pas facile de faire du Tarantino quand on ne s'appel pas Tarantino... Juste un Ovni démoulé sur de la provoc' à deux sous le kilog, scénar gribouillé en deux minute sur la nappe en papier de la brasserie du coin, le tout sur quelques apprentis-commédiens (A part Cassel qui sauve un peu la casse) pas près de se refaire la main après être passé par un tel ratage à remplir un seul siège dans une salle de cinéma... Reste quelques passages d'actions qui méritent au moins les deux étoiles que j'ai mis.
Un film difficile à décrire, tellement de mot pourrait correspondre: violent, dingue, sauvage, noir, dérangé, furieux, fun, joussif et tellement d'autre.... Un casting fabuleux pour un condensé de violence à l’état pur doté d'une bande son de fou, en bref une vraie dinguerie.
Les critiques payés pour critiquer ne voient parfois pas plus loin que le bout de leur nez et ne sont pas visionnaires. Ce film cultissime est une ode à la violence bien avant les jeux vidéos. N'espérez pas une morale à cette histoire, il n'y en a pas, à la façon de Tueurs Nés. Vincent Cassel est toujours parfait dans le rôle du vrai méchant (comme dans La Haine ou Mesrine), tout autant que Tchéky Karyo, impressionnant en flic taré. Dobermann est un incontournable ovni du cinéma français.