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Un visiteur
4,0
Publiée le 28 juin 2007
Ce film est un témoignage précieux sur les relations humaines dans une Chine en transformation...La rudesse des rapports humains, la difficulté de gagner sa vie, l'enfer du béton et la fragilité de l'individu face aux intérêts d'état...La mise en scène est sobre, calme et précise...Ce film est à voir pour s'envoler vers des cieux inquiétants et absolument humains...
pffffffffff...... mais qu'est ce que j'ai fait pour aller voir un aussi gros navet : espérons au moins que ça m'évite le cancer du colon. Rien à dire sur le film car il ne se passe rien et les dialogues entre les personnages donnent l'impression qu'ils communiquent par satellite vu que vous aurez le temps de vous faire une pizza entre deux réponses. Le temps est long...............pour moi ce film ne contient pas assez de matière pour exister.
bon, ce n'est pas le genre de films dont on resssort tout excité. le style est lent, paysages, visages, amours désespérés. un point de vue rare sur la société chinoise eloignée des centres économiques.
Comment ne pas s'ennuyer fermement pendant les 1h48 de ce film qui en paraîssent le double. La faute a un scenario inexistant qui en plus laisse un goût d'inachevé, une lenteur terrible et aucune esthetique. Certain y vois une reflexion philosophique, moi pas.
Je ne peut pas mettre moins de la moyenne à ce film car cest tout ce quil y à de plus irréprochable dun point de vue cinématographique La photographie est magnifique la réalisation parfaite et avec très peu de moyen les résultats artistiques sont exceptionnel, il ny a rien à redire là-dessus. Par contre concrètement le film nattire vraiment pas plus que cela . Pour moi il fait partit de ces films dart et dessai qui ne vous captive pas et au contraire finissent par vous endormirent. Si on suit les évènements plutôt bien rythmée (pas comme dans « lannée suivante ») on parvient tout de même à sentir une lassitude inexplicable car les deux histoires ne parviennent pas à nous toucher . bref avis très partagée car luvre est magnifique artistiquement parlant mais quand on est devant on sennuie vite. Le choc des cultures y est peut-être pour quelque chose . Moi qui avait pourtant adhéré à la cité interdite .
dépaysement total pour ce film tourné en décor naturel , cependant on a du mal à être accroché par ces personnages , deux histoires sans rapport apparent . Ciel toujours gris et au coeur des immeubles en démolition le vague à l'âme s'installe rapidement.
Un film d'actualité qui nous raconte la Chine en mue à travers deux personnages intriguants et simples. Ce grand bol d'air frais est mis en scène avec savoir et sobriété, un beau voyage dans un univers gris et vrai.
1er film de ce réalisateur pour ma part, et je ne vous mens pas, je suis quelque peu déçu: un héros mou dès le début du film qui ne se révolte même pas contre sa condition. Pourtant son combat est beaucoup plus jouable que celui de cette population traditionnelle et rurale qui devient urbaine et occidentale, cette course étant symbolisé par la lente montée des eaux du Yang Tsé. Ensuite des silences qui ne servent à rien contrairement à d'autres films chinois (a one and a two-yiyi où le silence nous sert à appréhender le drame qui se joue). Un film sans scénario, donc un documentaire, mais avait-on besoin de ces 2 histoires pseudo amoureuses pour faire un documentaire sur cette tragédie locale? Beaucoup de scènes face au soleil et donc pas terrible de mon point de vue et 3 effets spéciaux qui n'ont rien à faire dans un film humain. D'un autre côté, un film beau car vrai qui sacrifie à juste titre l'esthétisme, des scènes où le rythme du film est justifié, la beauté des corps nus des ouvriers. Bref un film un peu longuet sans connotation politique qui décrit bien les conditions du rapide changement social chinois.
Still life... et still awake! car en ayant vu ce film dont la séance commençait à 21h40 samedi soir à l'Utopia, je me demande comment nous ne nous sommes pas endormis. À croire que lenteur (aussi lent que The World, prédédemment vu du même cinéaste) ne rime pas forcément avec ennui. Car il s'agit d'un film très lent, très esthétique (d'une beauté qui tient en éveil tout de même, faut croire), hyper parcimonieux dans les dialogues; d'ordinaire la lenteur ne me gêne pas au cinéma, bien au contraire, mais on se demande en sortant ce qu'a voulu montrer son auteur. Et puis, cet esthétisme lent est-il pure complaisance de cinéaste brillant, ou un fait culturel, à l'image de la retenue "chinoise"? Difficile de trancher, mais je pencherais tout de même pour la première solution, confortée que je suis par cet effet spécial (bien incongru en plein coeur de ce film empreint d'un réalisme raffiné) qui consiste à faire décoller - tel une fusée de dessin animé - un immeuble moderne, voué à la deconstruction. En tout cas, un beau film documentaire romancé sur une Chine en pleine mutation, avec ses personnages "still life" entre deux rives. Mais je ne peux pas dire que ce film m'ait transmis une émotion transcendante, ou alors je n'y ai pas été sensible du tout. <a href=http://civetta.over-blog.com>Les Tasses de Thé de Terpsichore</a>
tout a été dit, pour une fois les critiques dyhtirambiques de l'ensemble des journaux sont méritées. Certains plans frôlent le génie, de manière générale l'utilisation du "décor" est très subtile et complètement bluffante (comme pour the world d'ailleurs). à voir et à revoir!
Un film à ne pas voir, ou à réserver aux magazines qui désirent se faire passer pour des magazines intello ! Après avoir lu les critiques de la presse, je me suis précipé en salle obscure, on était trois dont une chinoise, je me demande qui s'est le plus ennuyé (pour rester poli). Je n'ai pas voulu partir avant la fin car je me suis dit "il va bien se passer quelque chose" et bien non, il ne se passe rien. Je ne considère par Still Life comme un film puisqu'il n'y a pas de scénario, pas d'intrigue, enfin rien puisqu'il n'y a même pas de dialogues (au sens commun du terme : quelqu'un pose une question l'autre répond ; ici, lorsque que quelqu'un pose une question, son interlocuteur allume une cigarette et répond ... parfois). J'en ai vu des nanards, des films sans intérêt, raté, inutiles, mais là, je lui donne la palme d'or du film qui endort (j'ai failli m'endormir au passage). Ne gaspillez pas votre temps ni votre argent, préferez un bon reportage sur la Chine sur la cinquième !
Aucun doute, il s'agit d'une oeuvre forte, aux images qui resteront longtemps gravées dans les mémoires. Hymne à l'humanité face aux logiques inhumaines de l'entité "Etat", Still Life délaisse un propos politique pourtant prégnant -le passage au second plan des intérêts de la population au nom de l'édification du barrage des trois gorges- pour s'attacher aux destinées, tragiques ou non, de ses quelques héros désabusés. Tout en lenteur -ce n'est surtout pas un défaut-, un chef d'oeuvre contemplatif, furieusement intelligent et émouvant, qui n'est pas sans rappeler, dans son rythme et ses enjeux, un autre bijou du genre: Printemps, été, automne, hiver et printemps.
Admirablement soporifique ! Après avoir vu l'engouement de la presse autour de ce film tout en y ajoutant mon goût pour le cinéma étranger, je n'ai pas hésité à me rendre dans les salles obscures, convaincu de tenir une perle. Ce film avait tout pour me plaire : Deux histoires qui se croisent, le décor asiatique et tout ce qui va avec (langue, musique...déroutants comme j'aime) et de très beaux plans picturaux. Maleurement la jolie coquille est étonnament creuse. Très vite, on éprouve une sensation de vide, de néant. On s'ennuie. Les personnages semblent bouger au ralenti, les dialogues sont lents, longs et paraîssent inutiles. Alors on attend désespérement un bon coup de pétard pour nous réveiller, mais la mèche a dû prendre l'eau car l'explosion ne vient pas. On assite passivement à des successions de plans interminables et à des dialogues tellements lents qu'on se demanderait presque si les personnages n'ont pas fumé ce fameux pétard qui nous fait tant rêver. Certes, Jia Zhang Ke a des choses à dire. Il nous livre une Chine qui ne cesse de se construire et se déconstruire par le biais de bouts de la vie quotidienne. Seulement voilà, le réalisateur oublie qu'il a un publique à qui il faut un minimum capter l'attention. Je n'en reviens toujours pas de m'être autant ennuyé. Peut-être que je me suis mal renseigné à propos du film et que finalement ce n'était absolument pas ce que je recherchais, m'attendant naïvement à un mélange de poésie, de nostalgie et peut-être même d'Amour, tous ça greffés à un décor atypique chinois. Cruelles illusions ! Le romanesque est violemment exclu, il n'y a même pas de liens directs entre nos deux escargots. pourquoi ne pas avoir fait un documentaire ? Cela m'aurait paru plus judicieux. Je suis terriblement déçu, je ne comprends pas pourquoi le film a tant été plebiscité. Je ne suis pourtant pas difficile et je m'adapte en général très bien, mais là j'ai dû faire face à une lutte acharnée contre Morphée. J'en baille encore...
Un film qui aurait dû être un documentaire, en réalité. Les dialogues sont soporifiques : les mots sont lâchés, des gros blancs entre chaque réplique...Le rythme général se veut volontairement lent, ce qui donne l'impression que l'action se passe "au ralenti", en suspens...J'imagine que cette mise en scène était censée mettre en valeur la beauté des paysages, de prendre conscience de la solitude de ces individus dévastés intérieurement...mais au final j'ai fini par bailler, et je ne suis pas "rentré" dans le film, en attendant patiemment le générique de fin.
Un panorama original de la chine: pas celle qui s'eveillera en faisant trembler l'économie mondiale, du Darfour au Tibet, mais celle ci à un gout réel. On est plongé dans une ville bientot engloutie sous les eaux du barrage des trois gorges, dans une cité-chantier en démolition. Les gravas témoignent d'une violence, la misère appelle une modernisation auxquel personne ne croit. Des personnages ballotés n'arrivent pas à nouer(ou renouer) des relations humaines. Nage camarade! le vieux monde est derrière toi! http://www.agedore.blog.fr/