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Un visiteur
1,0
Publiée le 28 novembre 2013
Il n'y a que deux types de comédies américaines. On trouve d'un côté, les comédies vraiment tordantes (Les Millers, Mes meilleures amies, The Heat...) et d'un autre côté, les comédies moralistes, dénuées d'ambition , et aux blagues scatophiles ou grasses (la filmo entière d'Adam Sandler par exemple...). Malheureusement, ce "Role Models" fait bien parti de la seconde catégorie. Et quand bien même la présence de Paul Rudd et d'Elisabeth Banks, on nage ici en pleine médiocrité. Une histoire bancale, au commencement exaspérant et dérivant, en dernière partie, vers une inutile partie de rôle donjons et dragons. Bref, inutile de s'attarder.
Une comédie/romance à laquelle Seann William Scott apporte son ptit coté décadent qui donnera un charme à ce film que je vous conseille donc de regarder :)
Un film à l'américaine assez niais et pathétique qui nous arrache quelques rires tellement les scènes sont parfois ridicules. Bref, c'est plutôt nul mais on passe tout de même un moment sympa.
Fantastique ! Un film américain qui commence comme beaucoup d'autres comédies et puis prend une toute autre tournure assez déjanté sur le jeu de rôle, le tout accompagné de la musique de Kiss. J'ai passé un très bon moment et le seul point décevant c'est qu'il ne dure pas une heure de plus ! J'ai adoré !
Role Models, sorte de sous production Apatow ou McKay, est affligeant de bout en bout. Le postulat de départ augurait pourtant une bonne dose de déconnade, mais c'est la totale opposée qui se produit et on se rend compte très rapidement du vide intersidéral qu'est ce film. Les dialogues sont d'une nullité rarement atteinte et les scènes sont pour la plupart très mauvaises, mal filmées, mal montées, et s'enchainent dans le plus total désintérêt, le tout agrémenté d'une psychologie et d'une morale dignes des pires téléfilms. Les gags tombent quasiment tous à plat et ne parviennent pas à relever le niveau déjà abyssal d'un scénario qui ne mène nulle part. William Scott et Rudd quant à eux enfoncent le film plus qu'ils ne le tirent vers le haut, pas aidés il est vrai par des personnages fades et inintéressants. Seule Jane Lynch parvient à se démarquer dans un style complètement loufoque qui lui va à merveille.
Pour l'avoir vu à maintes reprises il y'a plusieurs années et pour avoir détesté chaque visionnage, je me devais de lui redonner une chance. Qui plus est je fini toujours par y revenir. Pourquoi ?
Les raisons sont multiples :
- Mon jugement excessif à base de " C'est Nul, tout est naze, des acteurs au scénar, rien de bon, une nullité ... ". Répétitif tous ça. Rien de bien glorieux non plus. - Le style, à la fois bien ciselé et saucissonné, on mange ici à tout les râteliers de la scène humoristique. - Les acteurs dans des rôles bien définis et peu surprenant car un peu facile. Il y'aurait eu de l'idée à inversé les rôles de Wheeler et Dany. Le film n'aurait pas non plus été le même.
Bon, je vais arrêté le séminaire. Cette critique n'a au fond plus beaucoup de sens tant cette fois-ci j'ai pu aimé tous ce que je trouvais Ringards et " Naze ". Les Grands frères n'invente que dal mais surfe sur son savoir faire, sur sa maîtrise des codes de la comédie et gagne au fond à ne rien tenté de dingos tant il se suffit à lui même. C'est vrai, le film patine et joue la carte de la roue libre, mais au fond quel Kiff ! Il y'a même Kiss.
Sean William Scott et Paul Rudd me sont avec les années beaucoup plus sympathique, les gosses également. J'ai bien aimé ce visionnage, la nostalgie me joue peut être un tour ou alors j'avais juste tout faux ... Peu importe, c'était cool.
Les Grands Freres est une excellente surprise. Malgré le scénario, l'affiche et le choix des acteurs (Scott et Rudd, pas des monuments de finesse), ce film n'est pas très vulgaire dans les situations (si ce n'est dans les dialogues entre Wheeler et Ronnie).
C'est aussi un film qui commence très académiquement mais part dans un délire réjouissant lorsqu'on commence à voir le monde de LAIRE et que Ronnie devient pote avec Wheeler. Ce film a aussi un gros défaut : étant composé de deux duos, Augie & Danny et Wheeler & Ronnie, forcément, on en préfère un des deux. Et moi, c'est celui de Wheeler car Scott et Thompson sont excellents (le dernier ayant joué dans Idlewild et étant la seule satisfaction de la purge Full Clip). Le film m'a fait redécouvrir le groupe Kiss, très bon groupe de rock. Les autres acteurs comme Jane Lynch, Ken Jeong ou Matt Walsh sont très bons.
Pour en finir avec cette critique, c'est un film à aller voir pour enfin voir une comédie sans grand message mais avec des très bons gags. Vive Bobb'e J.Thompson.
Ca se laisse voir mais ça ne casse pas des briques. Même si Paul Rudd reste un des mes acteurs de comédie préférés, je ne suis pas sûr qu'il soit aussi doué pour l'écriture. Le film n'est ni régressif ni franchement hilarant. Les personnages manquent d'épaisseur alors que c'était l'occasion d'aborder la question de l'immaturité des mecs, l'histoire d'amour est attendue et la fin relativement banale voire niaseuse (aahh le coup de la chansonnette). Il y a quelques trucs qui cependant sauvent la mise : la description assez bienvenue de la relation entre enfants et adultes, le personnage de la directirce du centre de loisirs ou encore l'idée des ces jeux de rôles grandeur nature. Gentillet.