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Ressorties en salles de plusieurs titres fameux de la Ealing ( compagnie de production anglaise fameuse) dont " The Maggie" (1954) de Alexandre Mackendrick, un des plus talentueux cinéastes anglais des années 1950.
" The Maggie" ( nom du bateau autour duquel tourne l'intrigue) est sans doute, malgré ses qualités, moins accompli que d'autres opus (" Whisky a gogo", " l"homme au complet blanc" ou " Tueurs de dames" ) du cinéaste, réalisés pour la Ealing.
La faute sans doute au scénario qui éprouve des difficultés à se renouveler pendant la première heure ( la dernière demi-heure est nettement plus réussie).
Il manque aussi une véritable vedette (Paul Douglas n' est pas très bien entouré) au sein d'un casting dont les dialogues ne permettent pas la mise en image de scènes vraiment piquantes ( celle de la partie de chasse est une des meilleures).
Il reste l'hommage à l'Écosse ( le nom du cinéaste parle de lui-même) au travers d'une mise en image très réussie, les paysages, les îles et la sensation de respirer l'air du large.
Relevons aussi, ( c'est finalement le principal) la morale de l'histoire ( expédiée toutefois trop rapidement) qui replace la bienveillance, l'empathie, l'entraide et l'amour bien au dessus de l'argent et du soucis de lucre. L' amérique du business est gentiment balayée par une bande d'iliens et marins Écossais désargentés mais amicaux.
" The Maggie" ( nom du bateau autour duquel tourne l'intrigue) est sans doute, malgré ses qualités, moins accompli que d'autres opus (" Whisky a gogo", " l"homme au complet blanc" ou " Tueurs de dames" ) du cinéaste, réalisés pour la Ealing.
La faute sans doute au scénario qui éprouve des difficultés à se renouveler pendant la première heure ( la dernière demi-heure est nettement plus réussie).
Il manque aussi une véritable vedette (Paul Douglas n' est pas très bien entouré) au sein d'un casting dont les dialogues ne permettent pas la mise en image de scènes vraiment piquantes ( celle de la partie de chasse est une des meilleures).
Il reste l'hommage à l'Écosse ( le nom du cinéaste parle de lui-même) au travers d'une mise en image très réussie, les paysages, les îles et la sensation de respirer l'air du large.
Relevons aussi, ( c'est finalement le principal) la morale de l'histoire ( expédiée toutefois trop rapidement) qui replace la bienveillance, l'empathie, l'entraide et l'amour bien au dessus de l'argent et du soucis de lucre. L' amérique du business est gentiment balayée par une bande d'iliens et marins Écossais désargentés mais amicaux.
L’épopée rocambolesque de l’équipage d’un vieux rafiot dont le capitaine roublard et alcoolo doit acheminer la marchandise d’un riche américain sur une île écossaise.
Une comédie maritime sympathique sur le choc des cultures, pleine de personnages attachants avec leur gouaille à l’accent écossais.
Une comédie maritime sympathique sur le choc des cultures, pleine de personnages attachants avec leur gouaille à l’accent écossais.
weihnachtsmann
Sous son apparence de fausse comédie, il y a un air de "capitaines courageux". L'enfant est un élément principal et il veut tout faire pour aider son capitaine.
La fin donne au film un ton généreux et bien dans l'esprit du travail des hommes face a l'argent qui mène le monde
La fin donne au film un ton généreux et bien dans l'esprit du travail des hommes face a l'argent qui mène le monde
Un bonheur de légèreté intelligente. Accent écossais magnifique, villages que je ne peux croire qu'authentiques. Ce film donne une véritable leçon de vie, avec de vraies valeurs. C'est d'autant plus profitable dans notre société d'aujourd'hui qui privilégie trop souvent le superficiel. A montrer à nos enfants...et aux autres.
Sympathique comédie du cinéma britannique de l'après-guerre, cette réalisation de Mackendrick a certes vieilli mais conserve un fumet tout à fait délectable, grâce à un humour et à un accent écossais impayables et à une brochette de personnages merveilleusement croqués. Bien entendu, l'opposition entre la nonchalance des marins et l'impatience de l'homme d'affaires Américain est particulièrement riche en scènes souvent drôlatiques.
Encore une fois Alexander Mackendrick nous offre une comédie britannique, écossaise devrais-je dire, bien rythmée, toute en finesse et à l'humour malicieux. A ne pas manquer pour rire en cette fin d'année !
Je viens de découvrir Tha Maggie hier au Champo. Un vrai bonheur, Du pur Mackendrick et du pur Ealing Studios. Comme dans ses autres films Tueurs de dames, l'omme au complet blanc, Whisky à gogo, Mackendrick nous fait rire en prenant des personnages que tout sépare en apparence, et que la découverte mutuelle pusse finalement vers la connivence. ressort typique des Ealing Comédies, qui dans l'après-guerre visait à souder les anglais. Mais Maggie est aussi un énorme humour écossais, mis en scène par le plus légitime des écossais. Bref, un film drôle, pas bête et touchant
Jolie comédie ! Une bonne leçon d'optimisme et à la fois culturelle en opposant les traditions écossaises au monde moderne des américains. On rit du début à la fin ! On ne se lasse jamais des films d'Alexander Mackendrick.
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