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Un visiteur
4,0
Publiée le 13 mars 2008
C'est un bon film bien que Fernand Raynaud est dur à supporter sur la longueur. Le jeux de Louis Defunès et Noël Roquevert sont vraiment comiques. Les dialogues sont super drôles. Bref, une vraie bonne comédie à la française.
Une comédie inégale, qui a sacrément vieilli aujourd'hui, les trucages (peu nombreux) sont déplorables, les seconds rôles sont inexistants, Fernand Raynaud agace plus qu'autre chose, bref pas un film à conseiller mais à voir quand même pour les fans de De Funès.
Un film plutôt moyen de Guy Lefranc. Le scénario est plutôt original mais il ne fonctionne pas bien et les personnages sont parfois mal exploités. La mise en scène laisse à désirer et le film est parfois un peu trop long. Une belle distribution, Fernand Raynaud, Annie Noël ou encore Louis de Funès qui n’était pas à cette époque au sommet de son jeu. Un film moyen, 10 / 20.
Une petite comedie sans prétention dont le but est d'écouler les sketchs de Fernand Raynaud. De fait le personnage d'imbécile tenu par Fernand Raynaud si il est bien joué devient rapidement énervant et par trop prévisible. Surtout Face au jeu excellent de De Funès et Roquevert dont les personnages sont plus amusants.
Un très bon film! J'ai trouvé que malgré son côté niais , le personnage incarné par Fernand raynaud netais pas non plus d'une lourdeur insupportable ! J'ai beaucoup apprécié l'histoire ainsi que les rebondissements inclus dans celle ci! Ce film est génial et je vous le recommande vivement pour vos soirées d hiver! :)
Autres époque, autres moeurs. Rare sont les films qui vieillissent vraiment bien. Les films urbains subissent la loi des modes et des coupes de cheveux par exemple, quand les films de genre tiennent un peu mieux le coup. Ici, des banquiers nigauds, des filles qui ne pensent qu'à se marier, difficile de croire à tout ça. Dommage car la mise en scène est plutôt bonne, que les mots sont signes de Michel Audiard et Frédéric D'arc, et que les acteurs sont bons, on retrouve avec plaisir un Louis De Funes un peu chevelu dans le rôle d'un commissaire autoritaire aux pieds d'argile
Fernand Raynaud joue les gentils crétins dans une comédie policière tout ce qu'il y a de moins rigoureux. Les auteurs (parmi lesquels Frédéric Dard et un Michel Audiard débutant dont on reconnait déjà le sens de la formule) ne se sont pas cassés la tête pour concevoir cette intrigue abracadabrante. D'abord, les conditions dans lesquelles le modeste employé de Banque Fernand empêche, par sa maladresse, devenant le héros du jour, un hold-up, sont tout à fait puériles. On demeure ensuite dans le n'importe quoi lorsque l'instigateur du braquage (Noël Roquevert) spoiler: découvre que Fernand est son fils...
Ce film assez bête de Guy Lefranc ne doit qu'à ses interprètes l'intérêt relatif qu'on lui prête. Fernand Raynaud, composant quelques textes connus de son répertoire, joue -excessivement- les imbéciles et donne le ton de la comédie. On lui préfère finalement la prestance de Roquevert dans un rôle de truand malicieux. Ou bien encore la composition de Louis de Funès spoiler: d'un policier bien peu clairvoyant, une prestation qui dévoile le talent de l'acteur et annonce son personnage futur et récurrent.
Intéressant par son aspect historique, ce film se voit pour les prestations de Noel Roquevert et Louis de Funés. Malheureusement il y a la star de l'époque Fernand Raynaud et il est crispant.........
On comprend pourquoi il y a eu la Nouvelle Vague après le visionnemeent de cet authentique navet. Fernand Reynaud était un grand comique sur scéne, mais au cinéma, une vraie catastrophe. Et dure qu'on trouve les noms d'Audiard et de Dard dans le générique. A pleurer...
Une réalisation très ennuyeuse, avec un scénario bien peu passionnant et une photographie vraiment très vieillotte, dans laquelle il est très dur de s'immerger.
Une petite niaiserie que seuls les spectateurs de l’époque peuvent vraiment apprécier car elle est le reflet d'une certaine candeur aujourd'hui perdue. A tout prendre ces divertissements valaient bien les médiocrités qui fleurirent dans les fameuses années 68.Et ne parlons pas des usines d'aujourd'hui. Quand a la nouvelle vague qui fut a l’origine de cette déconstruction hyper réaliste , elle bénéficia de plus de snobisme que de sincérité critique. Vive Fernand !