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J'avoue avoir été complètement décontenancé par ce western qui ne se prend absolument pas au sérieux et qui oscille entre comédie et tragédie en laissant le spectateur dans une situation inconfortable. On trouve pas mal d'acteurs des comédies des années 80 (Christopher Lloyd : « Retour vers le futur », John Belushi : « les Blues Brothers », Danny DeVito : « A la poursuite du diamant vert ») et on se dit que l'on va se diriger vers de la bonne grosse comédie bien grasse et dégantée. De nada, on assiste aux atermoiements sentimentaux entre Jack Nicholson (égal à lui-même) et la délicieuse et « ingénue » Mary Steenburgen. Un film qui tourne en rond et à qui il manque le brin de folie qui a fait la force de nombreuses comédies des années 80.
Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1).
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Jack est habituellement l'un de mes acteurs préférés mais même lui n'a pas pu sauver ce film. Jack joue son personnage habituel du type Les sorcières d'Eastwick. Malheureusement ça ne se transpose pas dans le sud-ouest américain. Il est aussi crédible en cow-boy desperado que Pee Wee Herman. Il n'y a pas de tranchant dans sa performance et c'est pour cela que la comédie échoue. Il est presque trop niais et le reste de la distribution est pire que lui. Le timing dans la livraison des lignes de dialogues est apparemment quelque chose que la dame principale n'avait pas perfectionné en 1978 et les autres semblaient juste heureux d'être là. Je n'ai jamais vu un film de Jack Nicholson qui était aussi chaotique que celui-ci...
Santu2b
La photographie est très connue : Jack Nicholson, le regard déjanté et inquiétant, au travers d'une corde de pendaison. Pourtant, "En route vers le Sud" n'a rien de ce que peut suggérer cette photo. Il s'agit du deuxième long-métrage réalisé par l'acteur qui réunit autour de lui un joli petit monde (Christopher Lloyd, Jim Belushi, Danny DeVito). Un western comique dans lequel un bandit condamné à la potence est sauvée in extremis par une femme qui accepte de l'épouser. Le long-métrage, assez familial au final, vaut surtout pour la présence de Nicholson qui s'en donne à coeur joie dans son rôle de personnage farfelu. Sans doute pas son plus grand rôle, ni sa plus éclatante réussite en tant que réalisateur mais un petit divertissement sympathique.
VAS Y FONCE. Un bout de chemin avec Nicholson et ses amis rencontré quelques années plutôt dans un asile. L'halluciné fait le clown devant sa camera. Des excès épuisants.
J'ai voulu voir ce western déjanté pour Jack Nicholson que j'adore. Hélas, si c'est bien réalisé et légèrement amusant, ça ne dépasse pas le stage de la comédie romantique. Le film a quand même vieilli et le doublage de Mary Steenburgen est carrément mauvais. Quant à Jack Nicholson, je l'aurai préféré nettement plus déjanté … Disons que c'est une curiosité qui se laisse regarder.
Moyen comme film mais la scène du pendu sauvée pat'r une femme qui le veut et copiée sur le vieux film notre dame de Paris avec Anthony Quinn. Les acteurs sont bons.
J’ai trouvé ce film long avec un fond médiocre, ce n’est pas un wéstern d’action ni une comédie.... simplement sans intérêt pour moi. ☹�
Un western très plaisant, original, où Jack Nicholson donne toute la mesure de son talent, tant devant que derrière la caméra. Il offre aussi à l'épatante Mary Steenburgen son premier rôle. Son côté mutin et innocent se marie parfaitement avec la roublardise du personnage de Moon ; le couple ainsi créé est tout à fait digne d'intérêt et tire ce western picaresque vers des rives insoupçonnées.
J'aime Jack Nicholson. J'adore Jack Nicholson. Je vénère Jack Nicholson. C'est pour ça que je visionna "En route vers le Sud". J'était confiant, je me suis dit que j'allais passer un bon moment, sans trop devoir réfléchir. Et c'est le cas. Mais je trouve que ce film a tout de même de défauts dans son humour, car je le trouve pas assez subtilement amené. Honnêtement, j'ai peu ris. Mais le scénario est intriguant est maîtrisé, c'est pour ça que ma note dépasse les deux étoiles. Le but du film du film étant de faire rire a échoué sur moi, mais le fil narratif a plutôt bien fonctionné. Je n'ai pas grand chose à dire d'autre.
NeoLain
Réalisation de Jack Nicholson. Un western bien curieux mais à aucun moment j'ai pu rentrer dedans. Je persiste et tient jusqu'au bout du truc et rien à faire. Franchement c'est long, pas marrant, presque pas de scènes d'actions bref. Un rythme qui tend vers le je "tourne en rond". La rage sachant le casting, John Belushi, Christopher Lloyd et Danny DeVito rien que ça.
weihnachtsmann
Une femme choisit d'épouser un bandit condamné à mort pour le sauver et en échange de le faire travailler dans sa ferme. C'est assez mineur et pas vraiment palpitant. Certes c'est un western mais il est statique et possède des codes nouveaux et originaux. En cela Nicholson a voulu innover mais je trouve que leur relation fait "vieux couple". Toujours en train de se chamailler. On aimerait passer à autre chose mais au bout d'une heure, on y est encore. Ça alourdit le peu d'action qu'il y a.
« Les femmes aiment les truands, comme les petits garçons aiment les chiens errants ! » Ce curieux western non dèpourvu d'humour est en fait le deuxième long-mètrage de Jack Nicholson derrière la camèra! Parenthèse ludique avant un film plus brillant en 1991: "The Two Jakes". Et le moins que l'on puisse dire c'est que l'histoire est mouvementèe et qu'on rit beaucoup, sans non plus se tenir les côtes! Pourtant, on s'attache à l'histoire que Nicholson nous raconte où ce dernier campe un voyou sauvè de la pendaison par une craquante Mary Steenburgen qui a besoin d'un homme pour exploiter une mine d'or! On les suit sans dèplaisir, sous une pluie de grêle ou dans une mare de boue! Autour d'eux, les silhouettes de quelques « coucous » qui font règner la loi à leur manière: Christopher Lloyd, Danny de Vito et même l'ami John Belushi qui n'ètait pas encore devenu l'un des « Blues Brothers » que l'on connaît! Filmè à Durango, au Mexique, "Goin' South" est un western dècalè mais tout à fait plaisant à regarder! Peut-être parce qu'on savoure la performance de Nicholson, cabotin en diable, et le talent de Steenburgen, dèlicieusement ingènue mais femme de tête avant tout...
Une merveille . Du Nicholson comme on aime le voir. Je me suis régale .
Le seule petit reproche serait le rythme un léger trop faible
Le seule petit reproche serait le rythme un léger trop faible
Western déjanté issu du génie et de l'esprit inventif de Jack Nicholson. L'ensemble du casting est extraordinaire. La seule chose que l'on peut regreter c'est ce petit sentiment d'inachevé, il manque pas grand chose pour en faire un très grand film, peut en poussant un peu plus loin la folie de certains personnage et la rivalité entre Jack Nicholson et Christopher Lloyd...
Un western sympathique qui doit son intérêt essentiellement à Nicholson et à son histoire particulièrement originale. Le principal problème pour moi, c'est qu'il y a à chaque fois des bribes d'idées plus farfelues les unes que les autres mais c'est jamais poussé jusqu'au bout. Par exemple, Nicholson est barré mais pas tant que ça, sa femme est tyrannique mais pas tant que ça non plus... Dommage, car en poussant jusqu'au bout le délire, le film aurait pu être carrément jouissif.
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