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    Oh My God !
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    3,5
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    154 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 janvier 2012
    Une comédie que l'on aurai aimé plus osée. De bon acteurs
    benoitG80
    benoitG80

    3 381 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 décembre 2011
    "Oh, my God !" sans être un grand film se laisse savourer comme un bonbon anglais avec ce côté pétillant bien agréable !
    Bien sûr, ici point de grands jeux d'acteurs mais plutôt des rôles tirant vers la caricature qu'on accepte d'autant plus volontiers que la bonne humeur est au rendez-vous et que le ton de cette comédie s'y prête particulièrement bien ! Au final, cette réalisation fonctionne plutôt bien et laisse passer un bon moment plutôt drôle et instructif !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 décembre 2011
    Moi j ai adore ce film. C est léger, drôle sans jamais être jamais vulgaire. A voir.

    Un petit bijou d humour.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 décembre 2011
    Âpres avoir enchainé La clé des champs, L irlandais, La délicatesse et Mi4 je suis bien contant d avoir vu ce film. Pour tout dire je n ai même pas terminé L irlandais ...
    En commençant a lire le résumé j ai rapidement conclu a une romance British a la Hugh Grant. Non que cela me déplaise mais déjà vu 200 fois. C est en remarquant le véritable titre du film Hysteria et l affiche GB sur Flixster que je m y suis intéressé d un peu plus prés.
    Une belle histoire donc, menée de mains de maitre, si j ose dire, par Hugh Dancy. Vivant et bourré d humour, l histoire vraie de la naissance du vibromasseur a une époque ou l exploitation de l électricité n est encore que très rudimentaire. Une comédie subtile entre étonnement et fou rire. Un excellent divertissement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 décembre 2011
    Avec mon ami noys avons adore!!! C t amusant mais aussi pour une fois kon nous parle de jouissance feminine sans images de sexe, ou d homme en action!!! Haha c vraiment a voir avec legerete, belle invention le god;-)
    Victor P
    Victor P

    17 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 décembre 2011
    Un agréable petit film sans prétentions sur l'invention du vibromasseur a une époque ou les maux féminins étaient tous qualifiés d'hystérie. A voir au générique tous les modèles de vibro depuis le tout 1er fin 1800. :)
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 décembre 2011
    Divertissant, pas incroyable, mais de bons comiques, de bons personnages attachants et une petite touche british pour pimenter les bords. De bons jeux de mots, de situations, et puis une volonté de feeling-good :'D.
    tixou0
    tixou0

    678 abonnés 1 985 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 décembre 2011
    1880. Londres est la capitale du plus vaste empire ayant jamais existé, sur lequel Victoria règne depuis déjà 43 ans (et pour encore plus de 20 ans). Ce centre du monde a vu sa population multipliée par 6 depuis le début du 19°siècle (presque six millions d'habitants alors, quand Paris n'en a qu'un et demi), et la misère effrayante y règne dans de nombreux quartiers faits de taudis insalubres où s'entassent des familles entières - alcoolisme, prostitution sordide, épidémies sont encore le lot quotidien de misérables comme Dickens en présentait quelque trente ans plus tôt. Des philanthropes tentent de remédier à cette situation, Charlotte Dalrymple, la fille aînée d'un médecin à la mode, s'implique pour sa part personnellement dans cette lutte en ayant ouvert un centre d'asile où elle accueille femmes et enfants. Cette jeune femme passionnée et volontaire, également suffragette avant l'heure (le mouvement date de 1903, et les femmes anglaises n'auront le droit de voter qu'en 1918) va croiser la route de Mortimer Granville, jeune praticien venu proposer ses services au père de Charlotte, lui dont la croisade personnelle vise à l'adoption de l'hygiène domestique et de l'asepsie en milieu hospitalier, quand les chefs de service se rient des "germes" et laissent les plaies de leurs patients prospérer sous des bandages jamais renouvelés. Ces deux-là sont évidemment faits pour s'entendre, et le film évoluera gentiment vers la comédie romantique. Cependant son intérêt est largement ailleurs, dans le tableau (même s'il s'agit seulement d'une esquisse) de la société victorienne, dure aux miséreux, où le patriarcat est solidement établi et la condition féminine résolument contingentée, y compris dans la bonne société. "Tota mulier in utero" (l'utérus des femmes leur tient lieu de cerveau) est toujours le fondement de la morale sociale, et de la médecine appliquée aux femmes : tout ce qui pêche chez elles est qualifié génériquement et commodément d' "hystérie" ("hystera" : "utérus" en grec). Le Dr Dalrymple "soigne" pour sa part les frustrations et petits maux intimes de ses patientes fortunées à l'aide de "massages" médicaux dont il s'est fait une lucrative spécialité ; débordé par la demande, il s'adjoint son jeune confrère Granville, dont l'agréable tournure augmente encore sa pratique. Quasi-fiancé à la cadette des filles Dalrymple (Emily, jeune personne accomplie qui massacre Chopin et s'intéresse à la phrénologie, tout cela dans l'obéissance due à son père - tout le contraire donc de sa bouillante aînée), Mortimer doit cependant renoncer à sa prometteuse collaboration de masseur pour cause de crampes handicapantes à la main droite, instrument trop sollicité de son art "médical". La dernière trouvaille de son fantasque ami, Edmund St-John Smythe, lord richissime et inventeur, un plumeau électrique, lui donne l'idée d'une adaptation profitable, dans la mouvance du massage anti-"hystérie" : infatigable, donnant des satisfactions décuplées et ultra rapides, c'est l'ancêtre du vibromasseur, dont il partagera le brevet avec Edmund, s'assurant ainsi une aisance matérielle aussi inépuisable que les royalties à toucher (et la main de Charlotte, dont il pourra partager et financer les visées idéalistes) ! Ce tableau, très exact sur le plan de la reconstitution historique, s'il n'est pas le résultat d'une mise en scène inventive de la part de la "yankee" Tanya Wexler, a le mérite de l'angle original - et la distribution est impeccable, à la tête de laquelle une autre Américaine, la pétillante et talentueuse Maggie Gyllenhaal fait merveille dans le rôle de Charlotte, aux côtés des très "British" Rupert Everett (Edmund), Hugh Dancy (Mortimer) ou Jonathan Pryce (Dr Dalrymple). Un petit film sympathique, égratignant avec humour une société compassée tout en abordant des sujets "sérieux" : "Hysteria" est à découvrir (soulignons une nouvelle fois le manque de goût des distributeurs français ayant ici osé l'à-peu-près graveleux d'un "Oh, my God") - restez bien jusqu'au bout pour, avec le générique final, assister à une pittoresque revue par l'image. Tout est parfaitement exact !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 décembre 2011
    J'ai beaucoup aimé ce film enlevé, sans temps mort, avec la délicieuse Maggie. Sans être un chef d'oeuvre, on passe un bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 décembre 2011
    Je suis sidérée par le nombre de critiques qui trouvent que le film est so british de quel humour voulez -vous parler ? peu etre celui d'une americaine!!!!!
    Georges F
    Georges F

    8 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2011
    C’est une bonne comédie, bien enlevée et on ne s’ennuie pas un seul instant. L’approche du sujet quelque peu scabreux du godemichet passe bien avec l’humour très British.
    On applaudit à la performance de Maggie Gyllenhaal, en particulier, qui déboule véritablement dans les scènes comme un foudre de guerre irrésistible.
    1ou2mo
    1ou2mo

    8 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 décembre 2011
    Savoureux et ...comment dire : délicieusement polisson! Ce Vibromasseur story se permet le culot de traiter avec humour la masturbation féminine sans jamais verser dans le scabreux. Le clin d'oeil est même dans le titre (de Hysteria devenu Oh my God). Une approche des moeurs (dans un environnement british victorien) et le devenir de la médecine moderne - sympathiquement agrémentée d'une romance fleur bleue - font de ce film un excellent divertissement.
    Julien D
    Julien D

    1 173 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2011
    Le thème de la masturbation féminine est un sujet si tabou dans notre société qu’en faire une comédie était un pari risqué. Tanya Wexler s’y en pris en finesse en abordant le sujet en racontant l’histoire du sex-toy le plus utilisé au monde, le vibro-masseur. Au sein d’une Grande Bretagne victorienne parfaitement reconstituée, on y suit donc les tribulations de créateur de cet objet qui se confrontera avant tout à une médecine conservatrice n’admettant pas les évolutions du domaine, à une société terriblement machiste considérant toutes les femmes voulant se plaindre de leur situation comme "hystérique" et la lutte des classes dans laquelle l’aide aux démunis était proscrite. Donc, en plus d’être une sympathique sur le plaisir clitoridien des femmes, la réalisateur nous a fait là une excellente dénonciation des maux de cette période qui parait avoir été faste pour beaucoup de ces compatriotes.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 décembre 2011
    Comédie légère et sans prise de tête, ce film est un très bon divertissement pour qui a envie de passer un bon moment. En plus on apprend pas mal de chose: qui aurait cru que le vibromasseur existait depuis si longtemps ;p
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 décembre 2011
    Encore une pépite de cinéma anglais que ce film audacieux et unique véritablement irrésistible du début jusqu'au générique de fin (à ne surtout pas manquer) avec des séquences hilarantes comme la consultation de Mrs Parsons qui se met à crier "taïaut, taïaut". Les 2 interprètes principaux sont formidables : Maggie Gyllenhall en passionaria qui se bat pour sauver son centre d'action sociale et plus globalement contre le puritanisme ambiant de l'époque (fin XIX ème), et Hugh Dancy dans le rôle du Dr Granville inventeur du premier sex-toy ; tous deux sont épaulés par des seconds rôles savoureux comme la gouvernante peu farouche qui se fait appeler "Molly la sucette". La réalisation est très soignée et inspirée en réussissant à ne jamais tomber dans la vulgarité.
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