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    Oh My God !
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    3,5
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    154 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 décembre 2011
    Une vraie comédie, de celles qui donnent le sourire et font passer un très bon moment, pour un film éminemment sympathique. Le sujet en lui-même vaut le détour, devant ce fait historique relativement méconnu. On rit beaucoup devant l'incongruité des situations, des situations plutôt sexuées traitées au travers du prisme de la médecine et du plus grand sérieux. Ce qu'on regrette en revanche, c'est que le film est beaucoup plus polissé qu'il n'y paraît, trop bien pensant, pas assez exubérant malgré son sujet. L'histoire d'amour est totalement prévisible et assez cucul. Le film aurait gagné à être beaucoup moins lisse. Mais le pari est réussi, on ressort avec le sourire jusqu'au oreilles, et le générique de fin vaut lui-même son pesant de cacahuètes!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 décembre 2011
    Divertissant, pas incroyable, mais de bons comiques, de bons personnages attachants et une petite touche british pour pimenter les bords. De bons jeux de mots, de situations, et puis une volonté de feeling-good :'D.
    Alex'cine
    Alex'cine

    27 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mai 2013
    Le sujet de base était intéressant, mais finalement très mal et très peu exploitée. Je m'attendais à un sujet plus approfondi sur le sujet alors qu'en fait le film n'est qu'une pâle comédie romantique avec comme sujet secondaire le vibromasseur. Les acteurs sont certes bons mais voilà un scénario très faible avec une histoire d'amour presque niaise et prévisible dès les 5 première minutes du film... Donc plutôt déçu car si j'avais su ce que le film réservait, je ne l'aurai jamais regardé ! Car plutôt de s'orienter sur le sujet principal qui est en réalité le lien établi à l'époque entre crise d'hystérie des femmes et frustration sexuelle, le sujet dérive plutôt sur la lutte des classes et l'enchaînement de cliché, les riches ils sont méchants ! Même si il y a des gentils riches qui pensent aux pauvres mais en général c'est des gros égoïstes etc... Enfin voilà : déception !
    Victor P
    Victor P

    17 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 décembre 2011
    Un agréable petit film sans prétentions sur l'invention du vibromasseur a une époque ou les maux féminins étaient tous qualifiés d'hystérie. A voir au générique tous les modèles de vibro depuis le tout 1er fin 1800. :)
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 décembre 2011
    Une comédie loin d’être aussi satisfaite sur son postulat de départ, qui se transforme en déclaration féministe. Elle reste physiquement sympathique, sans embellir son beau sujet de base.
    tixou0
    tixou0

    701 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 décembre 2011
    1880. Londres est la capitale du plus vaste empire ayant jamais existé, sur lequel Victoria règne depuis déjà 43 ans (et pour encore plus de 20 ans). Ce centre du monde a vu sa population multipliée par 6 depuis le début du 19°siècle (presque six millions d'habitants alors, quand Paris n'en a qu'un et demi), et la misère effrayante y règne dans de nombreux quartiers faits de taudis insalubres où s'entassent des familles entières - alcoolisme, prostitution sordide, épidémies sont encore le lot quotidien de misérables comme Dickens en présentait quelque trente ans plus tôt. Des philanthropes tentent de remédier à cette situation, Charlotte Dalrymple, la fille aînée d'un médecin à la mode, s'implique pour sa part personnellement dans cette lutte en ayant ouvert un centre d'asile où elle accueille femmes et enfants. Cette jeune femme passionnée et volontaire, également suffragette avant l'heure (le mouvement date de 1903, et les femmes anglaises n'auront le droit de voter qu'en 1918) va croiser la route de Mortimer Granville, jeune praticien venu proposer ses services au père de Charlotte, lui dont la croisade personnelle vise à l'adoption de l'hygiène domestique et de l'asepsie en milieu hospitalier, quand les chefs de service se rient des "germes" et laissent les plaies de leurs patients prospérer sous des bandages jamais renouvelés. Ces deux-là sont évidemment faits pour s'entendre, et le film évoluera gentiment vers la comédie romantique. Cependant son intérêt est largement ailleurs, dans le tableau (même s'il s'agit seulement d'une esquisse) de la société victorienne, dure aux miséreux, où le patriarcat est solidement établi et la condition féminine résolument contingentée, y compris dans la bonne société. "Tota mulier in utero" (l'utérus des femmes leur tient lieu de cerveau) est toujours le fondement de la morale sociale, et de la médecine appliquée aux femmes : tout ce qui pêche chez elles est qualifié génériquement et commodément d' "hystérie" ("hystera" : "utérus" en grec). Le Dr Dalrymple "soigne" pour sa part les frustrations et petits maux intimes de ses patientes fortunées à l'aide de "massages" médicaux dont il s'est fait une lucrative spécialité ; débordé par la demande, il s'adjoint son jeune confrère Granville, dont l'agréable tournure augmente encore sa pratique. Quasi-fiancé à la cadette des filles Dalrymple (Emily, jeune personne accomplie qui massacre Chopin et s'intéresse à la phrénologie, tout cela dans l'obéissance due à son père - tout le contraire donc de sa bouillante aînée), Mortimer doit cependant renoncer à sa prometteuse collaboration de masseur pour cause de crampes handicapantes à la main droite, instrument trop sollicité de son art "médical". La dernière trouvaille de son fantasque ami, Edmund St-John Smythe, lord richissime et inventeur, un plumeau électrique, lui donne l'idée d'une adaptation profitable, dans la mouvance du massage anti-"hystérie" : infatigable, donnant des satisfactions décuplées et ultra rapides, c'est l'ancêtre du vibromasseur, dont il partagera le brevet avec Edmund, s'assurant ainsi une aisance matérielle aussi inépuisable que les royalties à toucher (et la main de Charlotte, dont il pourra partager et financer les visées idéalistes) ! Ce tableau, très exact sur le plan de la reconstitution historique, s'il n'est pas le résultat d'une mise en scène inventive de la part de la "yankee" Tanya Wexler, a le mérite de l'angle original - et la distribution est impeccable, à la tête de laquelle une autre Américaine, la pétillante et talentueuse Maggie Gyllenhaal fait merveille dans le rôle de Charlotte, aux côtés des très "British" Rupert Everett (Edmund), Hugh Dancy (Mortimer) ou Jonathan Pryce (Dr Dalrymple). Un petit film sympathique, égratignant avec humour une société compassée tout en abordant des sujets "sérieux" : "Hysteria" est à découvrir (soulignons une nouvelle fois le manque de goût des distributeurs français ayant ici osé l'à-peu-près graveleux d'un "Oh, my God") - restez bien jusqu'au bout pour, avec le générique final, assister à une pittoresque revue par l'image. Tout est parfaitement exact !
    Audrey L
    Audrey L

    639 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juin 2017
    Une comédie... jouissive. L'histoire inconnue de la création des premiers jouets intimes féminins, plus ou moins romancée, est portée avec brio par le style "british" car jamais il n'y a de gags bas de pantalon ou très vulgaires, tout reste fin malgré le sujet qui aurait pu être casse-dents. De nombreuses comédies auraient sauté sur le côté scabreux de l'intrigue, mais pas ici, où l'on a l'intelligence de faire rire tout en évitant les grossièretés. Un casting de talent qui assure le service sans trop en faire, ce qui donne un petit air réaliste à l'histoire, histoire qui d'ailleurs en surprendra plus d'un tant on ne pense pas que ces appareils remontent à si loin... Une œuvre également engagée pour la cause des femmes et leur droit à disposer de leur corps, voilà qui ancre définitivement cette comédie dans un style raffiné et intelligent. On rit parfois bien (la scène où Hugh Dancy et Rupert Everett découvrent les usages du vibromasseur, qui fait sauter les plombs sur un un cri irrésistible de ce dernier, vraiment très drôle !) et les dialogues sont présents pour nous faire encore rire dans le style "so british" (la réplique lors de l'invention du vibromasseur à partir d'un ustensile de nettoyage de Everett : la femme - soulagée artificiellement - qui demande "et comment appelez-vous cela ?" - "Jusqu'ici, un plumeau.", on en rit encore). Une fin assez mignonne dans un film qui se permet même la romance (avec un sujet pareil ! Il fallait oser !) et cela fonctionne assez bien. Une comédie qui met de côté l'insalubrité de son sujet pour se concentrer sur un humour subversif mais raffiné, avec des acteurs qui s'amusent, et une place de la femme à défendre. On en redemande.
    Thierry M
    Thierry M

    161 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 décembre 2011
    On rit beaucoup dans ce film , les comediens s'en donnent a coeur joie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 décembre 2011
    Cette critique sera faite sous forme de billet d’humeur. J’ai appelé ça « Le billet cinéma ». C’est ma première, soyez indulgent.
    Bon, vous tous. Oui toi aussi. Je vais vous parler un film à ne pas mettre entre toutes les mains. Non, ne partez pas, ça va vous intéresser. On parle de godemiché, de vibromasseurs et autres outils électrique donnant du plaisir à une femme. Les mecs ne partez pas, ça pourrait vous donner des idées (et des leçons surtout). Ce n’est pas un film classé X, mais plutôt classé drôle, sympa et très intéressant : « OH MY GOD ! »
    Allez hop, on se replonge en 1880, l’Angleterre Victorienne. On ne s’habille pas encore chez H&M, ni Pimkie, mais on est tout de même très classy (lorsqu’on peut s’en permettre financièrement…). Les chevaux ne sont pas encore dans les voitures, ils tirent plutôt les calèches. Dans ces années là, on a les maladies les plus contagieuses du moment et il y en a une qui semble se propager chez les femmes… l’hystérie.
    Ce n’est pas comme ces femmes qui crient lorsqu’elles gagnent des machines à laver ou de fer à repasser au « Juste Prix ». NON. Ce sont des femmes qui se sentent mélancoliques, anxieuses et qui ne savent pas quoi faire (à repasser). Bref, leur maris ne sont pas bons au lit, ou alors pas souvent.
    Dr. Dalrymple, un docteur avec une certaine notoriété, le Justin Bieber de son époque, a une méthode efficace contre cette hystérie. Quelques gouttes de MUSC et d’autres liquides dont j’ai oublié le nom. On pénètre la patiente (très bizarre, cela dit) avec un doigt, on appuie légèrement et on tourne dans le sens des aiguilles d’une montre (ou d’une horloge, c’est selon). Technique très efficace, mais épuisante, surtout si on fait ça trop longtemps avec plusieurs patientes chaque jour.
    Alors voilà qu’arrive Mortimer Granville, un jeune et séduisant médecin qui va lui prêter « main forte » lors de ses interventions…
    Je ne vous en dis pas plus, mais « OH MY GOD » est basé sur une histoire vraie, la découverte du vibro-masseur. Ce film est très frais, drôle et vraiment intéressant autant dans l’histoire que dans le contexte historique. On se demande pourquoi les femmes n’avaient pas penser à se faire plaisir elle-même plutôt que de payer des fortunes pour se faire tripoter par quelqu’un d’autre.
    Le film dispose d’une très belle photographie et d’excellents acteurs (Maggie Gyllenhaal, Hugh Dancy), n’oublions pas le très célèbre Rupert Everett qui fait office de créateur farfelu, mais qui renouvèlera le désir féminin.
    Si vous voulez passer une heure trente de plaisir et d’orgasme, n’hésitez pas. Vous en redemanderez.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    44 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 décembre 2011
    Compte tenu de la coquinerie du sujet, l’invention du vibromasseur, on aurait pu attendre une comédie pétillante passée au tamis d’un humour typiquement british. Malheureusement le film verse dans une banale romance à l’eau de rose sur fond d’inégalité sociale de l’Angleterre victorienne et de revendications de suffragettes. À ne pas choisir son camp, comédie décapante ou mélo historique, la réalisation passe à côté des deux. Quelques scènes savoureuses néanmoins, toutes présentes dans ce que le film a de meilleur : la bande annonce.
    RLTH
    RLTH

    19 abonnés 218 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 décembre 2011
    Une comédie tout à fait réjouissante qui ne tombe pas dans le piège du thème pris qui serait de se la jouer american pie version 1800's. On passe un bon moment devant cette comédie sociale , intime,et so british.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 décembre 2011
    Les accro(e)s au vibro-masseur se régaleront d’en savoir plus sur l’origine de leur objet fétiche. Les autres passeront un moment plaisant… ou leur chemin !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 juillet 2012
    Un film drôle sur le plaisir féminin bien joué qui traite d'un sujet surprenant vu l'époque de l'histoire mais peu importe, c'est amusant et j'ai été surpris en le regardant, à voir.
    Nangeuh
    Nangeuh

    16 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 août 2014
    Un film amusant a regarder et rigolo traitant d'un sujet plus que graveleux ! Une belle romance a voir c'est original et sympathique
    traversay1
    traversay1

    3 579 abonnés 4 864 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 décembre 2011
    Le petit malin qui a traduit (?) Hysteria, titre original, par Oh My God !, a non seulement commis un jeu de mots (??) lamentable, mais il donne surtout à imaginer un film trivial, ce qu'il n'est pas, et dont le sujet serait l'invention du vibromasseur par le fringant Dr Granville, dans le Londres corseté de 1880. Certes oui, il s'agit bien de la toile de fond, mais l'intérêt est ailleurs, dans l'évocation de la condition des femmes à cette époque et dans le combat pour leur émancipation. Le thème est abordé à grands traits et ne fait pas réellement vibrer, il faut bien l'avouer, d'autant qu'il se noie, in fine, dans les conventions de la comédie romantique. Malgré tout, le film est plutôt amusant, agréable à regarder avec un côté ultra British, nonobstant la nationalité américaine de sa réalisatrice, Tanya Wexler, et le fait qu'il ait été tourné en grande partie au Luxembourg. Autre atout indéniable : la qualité de son interprétation avec des acteurs somme toute assez rares sur les écrans : Maggie Gyllenhaal, Hugh Dancy, Jonathan Pryce et, last but not least, le cauteleux Rupert Everett. Oh My God ! procure une jouissance modérée à laquelle il est fort décent de succomber dans des proportions raisonnables.
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