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    Oh My God !
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    154 critiques spectateurs

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    sonialu
    sonialu

    3 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2014
    L'histoire vraie d'un medecin qui, au 19ème siècle, inventa le vibromasseur dans le but de soigner l'hystérie. Résultat, l'hystérie ne figure plus dans les livres de médecine, mais le vibromasseur, lui, est toujours d'actualité ! Et tout cela donne lieu à une comédie qui se laisse voir mais un peu lent à mon gout , le jeu des femmes est très drôles.
    Yetcha
    Yetcha

    881 abonnés 4 398 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Un film osé sur la création du vibromasseur. L'hallucinante façon de traiter l'hystérie à l'époque, c'est fou quand on y pense. Les médecins spécialisés étaient payé pour masturber des femmes!!! Et on voit bien que les femmes sont en attente de cette séance. C'est historiquement drôle. C'est un film à découvrir, divertissant, très original et en plus tiré de fait réels.
    selenie
    selenie

    6 256 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2011
    Une comédie typiquement british qui prend en fil conducteur l'invention du vibromasseur vers 1880 dans le film (en réalité vers 1860). Outre la liberté de ton et la légèreté omniprésente l'histoire relate donc des faits réels mais, évidemment très romancés. Les acteurs sont excellents, cabotins parfois mais juste ce qu'il faut pour le genre ; le mot qui vient à l'esprit est charme. Le scénario est classique mais est construit sur un rythme parfait. Plusieurs scènes font mouches autant dans le rire que dans les messages féministes. C'est frais et franchement très sympa. Loin de réinventer le genre ce film est toutefois une belle et bonne comédie à laquelle on ressort de la salle avec le sourire aux lèvres.
    velocio
    velocio

    1 305 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 décembre 2011
    "Oh my God" est un film anglais (très anglais !) réalisé par une américaine et produit par un américain. Il nous raconte dans le détail comment, sous le règne de la reine Victoria, dans une Angleterre officiellement très puritaine, fut inventé et perfectionné le vibromasseur. Si, à la lecture de ce court résumé, vous vous attendez à un film susceptible d'être projeté le samedi soir sur canal , vous pouvez passer votre chemin. En fait, ce sont des raisons médicales qui ont été à l'origine de cette invention. A cette époque, certains médecins prétendaient que la moitié des femmes souffraient d'hystérie (à ce sujet, on notera que le titre anglais de ce film est "hysteria", le titre français "Oh my god !" étant un jeu de mot approximatif, puisqu'il s'agit de l'invention du vibromasseur et non du ... godemichet ! Jeu de mot par ailleurs totalement intraduisible en ... anglais, qui connait "the" didlo et pas "the" godemichet). L'un d'entre eux, le docteur Robert Dalrymple s'était fait une grande réputation en soignant cette "maladie" par ses manipulations du sexe féminin (je répète : aucun voyeurisme, tout se passe "sous tente" !). Sa clientèle était telle qu'il prit très vite un assistant, le docteur Mortimer Granville, qui, travaillant plus pour soigner plus, en était arrivé très vite à souffrir de la main et du poignet ! Aidé d'un ami fou d'électricité, il inventa ce fameux vibromasseur qui connut très vite un grand succès. De fait, la première partie du film n'est pas follement passionnante, la réalisation étant un peu trop mollassonne. A partir de l'invention de l'engin, le film décolle enfin et se termine en apothéose. Dans la distribution, on retrouve, entre autre, le gallois Jonathan Pryce et l'anglais Hugh Dancy (le docteur Mortimer Granville) qu'on retrouvera bientôt dans l'excellent "Martha Marcy May Marlene".
    Benito G
    Benito G

    667 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2013
    Pensant au départ tomber sur une comédie se dirigeant au fur et à mesure que le film avance, dans le potache. J'ai finalement été agréablement surpris. Là ou le film aurait pu tomber dans un genre proche d'American Pie et compagnie. C'est fort heureusement pas le cas. L'époque jouant quand même, deja un tempo ; un tant soit peu ; un peu plus serieux (qu'une bande de jeune en quete du plaisir par exemple). La distribution y ait magnifique et au service d'une histoire ; qui s'avère être une histoire en or. Mais traité, hélas ; de manière un peu conventionnelle. Mais l'ensemble est tellement unique, original et intelligemment interpréter (ne tombant jamais dans la simple et pur vulgarité, et ceux ; même au niveau des scènes). C'est un sujet qu'il fallait penser, et surtout ; oser. Car un tel sujet, dans un teenage movie passe aisément. MAis dans le cas, de quelques choses de plus serieux ; ce n'est pas la même. Enfin dans tout les cas, ici ; le tout passe facilement et se laisse apprécier de A à Z. On pourra toutefois regretter, un final assez prévisible ou l'on aurait aimer un petit twist. Mais bon, cela reste ; quand même ; une bonne comédie dans le genre (bien que le genre, soit un peu à part^^). Unique!
    Cinememories
    Cinememories

    483 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2021
    Il faut une première fois à tout et pour Tanya Wexler, il s’agit de saisir les bonnes vibrations et avec une certaine hystérie. C’est dans ce même couloir de l’ironie que le succès lui rend visite, malgré la sortie de « A Dangerous Method » de David Cronenberg, le même mois. Mais malgré un thème commun, Wexler préfère le vertige de la comédie britannique afin de mieux vendre son projet à un public curieux. Pourtant, il n’est pas réellement question d’un appareil à en ravir les utilisatrices qui importe, car il ne s’agit que d’un outil vers une fable plus sociétale. L’Angleterre Victorienne est blindée de références, tout support confondu, et la culture nous rappelle sans cesse ce décalage de mœurs générant ainsi la comédie légère, attendue et bienvenue.

    La névrose clinique de l’hystérie a pris un sens plus commun de nos jours, mais en le ramenant à un contexte clé, il serait aisé de comprendre comment la bêtises des hommes les noyait dans leurs principes. Le docteur Robert Dalrymple (Jonathan Pryce) en est justement l’exemple, avec une couverture sociale privilégiée. L’homme de science, le père des pères, le toit d’une fresque patriarchal, de nombreux titres s’organisent autour de lui afin de mieux servir une opposante de taille qui n’est autre que sa fille Charlotte (Maggie Gyllenhaal). Jamais elle ne faiblit, jamais elle ne doute de sa caricature que la société impose injustement. Elle est féministe et s’émancipe d’elle-même, malgré des voix plus monotones et dont le ton est frontalement moqué et dénoncé. Les discours sont nombreux et cette rengaine est loin de marquer un point final à toute cette histoire, à la fois folle et mineur. Il faudra se laisser tenter par la naïveté et la souplesse du docteur Mortimer (Hugh Dancy) afin d’osciller entre deux camps qui ne se pardonnent rien, qui persiste à bousculer l’autre, en vain, car l’ensemble est trop gentillet.

    L’objectif n’est-il plus de satisfaire ? La retenue que l’on perçoit, ou pas justement, renforce un sentiment qui flirte avec les véritables enjeux de l’hystérie. Scénaristiquement, il ne faut pas s’attendre à rester caler après le visionnage, car le peu de réussite et de courtoisie aura rapidement mûri et aura été digéré avec succès. Cependant, il est intéressant de détourner la notion de sexualité afin de rendre justice à la gente féminine. Malheureusement, la plupart des personnages masculins n’auront pas leur mot à dire sur leur appareil génital, chose qu’on leur ampute symboliquement ou que l’on juxtapose à leur manière de plaider. Seul subsiste Mortimer, l’arbitre à la sensibilité rare et au génie thérapeutique, alliant la technologie et un savoir isolé du grand public. Au bout de trois, c’est la bonne et c’est exactement ce qui est promis au héros, en plus d’une idylle pistonnée et revisitée. L’engin de tous les fantasmes naît et les voix des femmes se libèrent de cette autre « hystérie », qui a trop longtemps fécondé le genre opposé.

    Ainsi, « Oh My God ! » ou plutôt « Hysteria », si l’on s’accorde à traiter de faits réels, nous donne l’opportunité de se glisser dans une comédie originale et étonnamment savoureuse. On en rit, non pas avec maladresse, mais avec une indiscrétion, propre à notre époque ayant déjà brisé la barrière qui s’effrite lentement dans le récit. L’humour fait souvent mouche, mais la lutte pour l’égalité manque sans doute d’une étincelle pour briller et pour valoriser hommes et femmes qui ont contribué à ce revirement. Loin de l’orgasme, Wexler permet tout de même à un bout de l’histoire de monopoliser l’attention, le temps d’une séance curative, que l’on soit seul(e) ou accompagné(e). Dommage que la force du film ne suffise pas à marquer son empreinte dans le temps. À l’image d’une chronologie des vibromasseurs, remplissant le générique, il faut reconnaître un certain manque de volonté afin de moderniser ou de nuancer cette révolution thérapeutique.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    205 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2012
    "Oh My God !" (de son vrai titre "Hysteria") part d'un sujet aussi passionnant que riche en possibilités - et toujours d'actualité malheureusement : la jouissance féminine comme vecteur politique d'évolution sociale ! Malheureusement, Tanya Wexler n'en fait pas grand chose, hormis un feel good movie mâtiné de comédie grivoise, un de plus : le meilleur de "Hysteria" nait de la force de conviction de Maggie Gylenhall, que l'on sent en pleine adéquation avec son personnage, alors que le reste du casting flotte un peu (même si l'éternel numéro de Ruppert Everett reste irrésistible, bien entendu !). Mais ce qui peut le plus facilement irriter, hormis une certaine facilité (lâcheté ?) dans le déroulement d'une fiction qu'on aurait aimée moins prévisible, c'est la suffisance avec laquelle le film surplombe les "travers" de l'époque, que cela soit en terme de médecine comme d'égalité des sexes. Un peu plus d'humilité et d'empathie avec des situations plus complexes qu'elles ne sont montrées ici auraient certainement rendu "Hysteria" plus pertinent, mais aussi bien plus "instructif" !
    dai72
    dai72

    149 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 janvier 2013
    Un film amusant mais pas hilarant qui offre pas mal de bons moments mais passez de passion et qui ne dispose pas d'un scénario extraordinaire. Le sujet n'est pas simple à traiter et ce film est plutôt bon. Cependant, ça manque de rythme, de situations burlesques et certaines scènes cassent la frénésie ambiante, tantôt par les longueurs, tantôt par leur inutilité. Honnêtement, je m'attendais à mieux !!
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    113 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juillet 2014
    Certes il y a quelques passages amusants à voir ces dames jouir grace à ce 1er prototype de vibromasseur mais l'idylle entre Hugh Dancy et Maggie Gyllenhaal n'est pas très claire. Bien que la réalisation et le casting soient correctes, il y a de nombreuses longueurs et au final l'orgasme n'atteint pas son seuil ultime...
    klap2fin
    klap2fin

    17 abonnés 376 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 avril 2012
    Comédie sympathique remplit de son sentiments qui grâce à son indispensable touche british permet d’évoquer avec humour un sujet plutôt délicat sans tomber un seul instant dans la vulgarité, mais qui n’en fait hélas pas une comédie tous publics. Le film est un peu mielleux et bien propre sur lui par moment, mais il y aussi quelques scènes assez cocasses. Un bon jeu d’acteurs, pour un bon petit divertissement sans plus.
    Plume231
    Plume231

    3 893 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juillet 2014
    Un sujet toile de fond qui est loin de manquer de piquant à savoir l'invention du godemiché, qui a permis et qui permet encore, plus que jamais même, l'épanouissement de nombreuses femmes...
    Une distribution alléchante : Maggie Gyllenhaal, jamais aussi à l'aise que dans des rôles de délurées, de bizarroïdes, etc... autant dire qu'elle est comme un poisson dans l'eau dans le personnage d'une féministe un peu frappadingue, Hugh Dancy, un peu falot, mais justement ça sert son personnage donc juste ce qu'il faut, la charmante Felicity Jones apporte une grosse touche de fraîcheur bienvenue, et c'est toujours un plaisir de voir Jonathan Pryce.
    Mais un scénario qui contrairement à son sujet ne se permet aucune ou pratiquement jamais aucune audace, se prend un malin plaisir à ne jamais sortir de chemins balisés, à être prévisible du début jusqu'à la fin. On a plus l'impression parfois d'être face à un divertissement Disney qu'à une comédie anglaise bien mordante comme le genre sait souvent l'être.
    Seules les quelques séquences qui sortent de cette conventionnalité comme les canards qui font zizi-panpan ou encore la toute fin arrivent à décrocher quelques éclats de rire.
    Dommage il y avait énormément de potentiel...
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2011
    Le thème de la masturbation féminine est un sujet si tabou dans notre société qu’en faire une comédie était un pari risqué. Tanya Wexler s’y en pris en finesse en abordant le sujet en racontant l’histoire du sex-toy le plus utilisé au monde, le vibro-masseur. Au sein d’une Grande Bretagne victorienne parfaitement reconstituée, on y suit donc les tribulations de créateur de cet objet qui se confrontera avant tout à une médecine conservatrice n’admettant pas les évolutions du domaine, à une société terriblement machiste considérant toutes les femmes voulant se plaindre de leur situation comme "hystérique" et la lutte des classes dans laquelle l’aide aux démunis était proscrite. Donc, en plus d’être une sympathique sur le plaisir clitoridien des femmes, la réalisateur nous a fait là une excellente dénonciation des maux de cette période qui parait avoir été faste pour beaucoup de ces compatriotes.
    Hastur64
    Hastur64

    224 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2013
    « Oh My God ! » ou la comédie anglaise la plus gentiment polissonne de tous les temps ! Voilà comment un film en costume avec le langage châtier du XIXème siècle peut prendre la forme d’une comédie où l’on ne traite rien de moins que de l’invention du vibromasseur (plus communément appelé de nos jours « sex-toy »). On y découvre qu’au temps de la reine Victoria, peu réputée pour son côté grivois, les médecins traitaient les hystéries féminines, qui recouvraient sous ce terme angoissant rien de plus que l’insatisfaction de ces dames, par une stimulation manuelle de l’organe sexuel féminin jusqu’à un état paroxystique. Bref le brave docteur masturbait sa patiente jusqu’à orgasme ! On se pince pour croire qu’une telle pratique a eu court et surtout que dans une société si corsetée elle n’est pas été plus sujette à suspicion de la part de ces dames et du corps médical dans son ensemble. Sur ce fait de société, ahurissant au vu d’aujourd’hui, la réalisatrice fait un film où le scabreux des situations passent avec un naturel des plus incroyable tant tout cela semble être pratiqué dans une plus totale innocence. Car c’est là tout le ressort comique de la situation, la distance entre ce qui est considéré de nos jours comme une pratique sexuelle et la conviction sincère de ces deux médecins qu’ils pratiquent une méthode curative d’une maladie féminine. Si le film est léger il traite aussi en sous textes, même si ce n’est pas de façon très subtile, de la condition féminine dans l’Angleterre victorienne où les fréquents accès de mauvaise humeur pouvait faire soupçonner de maladie mentale. Le scénario tient plutôt la route avec ce décalage comique entre notre perception cette pratique et celle de ces médecins, mais il n’évite pas pour autant un léger coup de mou sur la fin où l’histoire d’amour prend le pas sur le côté comique et ce double d’un côté moralisateur un peu lourd qui gâche le côté léger et souriant qu’arbore le film dans sa majeure partie. À voir pour l’anecdote historique, le savoureux décalage de ces pratiques et mentalités entre nos deux époques et surtout pour constater que l’on peut parler de sexe dans une comédie sans pour autant tomber dans le lourdingue.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    117 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 décembre 2011
    Oh my god est une comédie d'humour anglais dans de super décors et de magnifiques costumes. Drôle mais jamais vulgaire ce film nous raconte la naissance du vibromasseur, un vrai plaisir... mesdames ! bon divertissement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 décembre 2011
    Intitulé en Anglais "Hysteria", beaucoup moins provocateur que "Oh My God" (encore que "God" avec un "e" au bout aurait été franchement plus hardi), ce film est une sorte de conte de fées, mais parait-il basé sur des faits réels. Dans le contexte de la médecine de l'époque (l'existence des microbes et la nécessité d'une élémentaire hygiène ne sont même pas encore universellement reconnues), en particulier concernant l'hystérie, maladie décrétée pour un oui ou pour un non chez les femmes épuisées par leur vie ou se plaignant simplement de leur condition, le Docteur Mortimer Granville va inventer un peu par hasard le vibromasseur. Ce n'est ni égrillard ni vulgaire, c'est très amusant et un peu politiquement incorrect (surtout quand on pense que tout cela se passe à l'époque victorienne de l'Angleterre...). Bref, un bon moment de cinéma.
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