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Gonnard
241 abonnés
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1,5
Publiée le 27 janvier 2015
Traitement ô combien médiocre de ce haut fait d'armes du mouvement altermondialiste. Au-delà de la linéarité du scénario, on retiendra surtout la mièvrerie qui s'empare trop souvent du réalisateur, et ce au point de troubler le message initial. On s'ennuie profondément, on n'apprend pas grand sur l'OMC et ses travers, bref on perd royalement son temps.
Un film tourné comme un documentaire (d'ailleurs, basé sur des faits réels) qui nous montre bien l'importance énorme du pouvoir financier et politique sur la population. Les démocraties sont en fait de façade, tant que le peuple laisse les grands et les puissants agir à leur guise... Impressionnant !
Film pour les partisans de l'extrême gauche. Voyeurisme de bout en bout sur les défauts des démocraties et de la mondialisation. Quand on désobéit à ces droits civiques, il faut pas s'étonner qu'on vous cogne comme des animaux. Un film trop objectif ne laissant aucune place à la voix de la défense. Un nettoyage de cerveau sur le bienfait des alter-mondialiste et les monstruosités de la Triade. C'est très pathétique.
un très bon film retraçant les événements ayant eu lieu à seattle en 1999 lors d'une réunion de l'omc . A noter que le film nous presente les événements de different point de vue ce qui est tres interressant
Ce film nécessaire a le mérite d'exister car il expose bien sans excès dramatiques les enjeux du courant de l'altermondialisme contre les dérives capitalistes immorales de l'OMC.
Premier film de Stuart Townsend ( auparavant acteur dans la reine des damnés notamment ), Bataille a Seattle est un long métrage vraiment percutant et sa mise en scène fait preuve d'un joli réalisme - grandement aider c'est vrai par une photographie idéal de Barry Ackroyd - surtout qu'il s'agit d'une oeuvre inspirée de faits réels. Le film possède un casting 4 étoiles ( Woody Harrelson, Ray Liotta, Michelle Rogriguez, Charlize Theron ou encre Joshua Jackson ) vraiment très convaincant et tout ce joli monde aident à livrer une oeuvre engagé et plein d'humanisme. Précisons également que certaines séquences d'émeutes sont parfois assez violente et qu'il peut-être difficile à visionner pour certaines personnes. Le film possède tout de même quelque scènes pas toujours approprie et assez longuettes vers le milieu du métrage, mais l'ensemble est tout de même très plaisant à visionner. Il s'agit donc d'un premier film vraiment très réussi et fait de Stuart Townsend, un metteur en scène à suivre de très prés. 15,5/20
Captivant. Le fait de vivre cet évènement au travers de personnages aussi différents qu'un journaliste, le chef de la police, un policier ou bien sûr un manifestant rend ce Bataille A Seattle immersif. On est touché par l'humanité de tous, chacun se battant pour ses idées. C'est rythmé, varié et franchement réussi. On est vraiment touché car on a tous suivi de plus ou moins loin ces événements. Les voir "de l'intérieur", même si c'est parfois exagéré, est instructif. Film à ne pas manquer.
Le film résiste à n’être pas qu’un simple tract politique altermondialiste, car Stuart Townsend dans son effort de vouloir représenter le point de vue des différents protagonistes présents lors des évènements racontés, s’impose presque que contre son gré de taire son message et sa vision manichéens, méchant « Establishment », et vilaines « Corporations », dans un camp, et dans le camp adverse, les gentils manifestants. Ici, les impératifs de la police sont pris en compte, et les débordements sont dénoncés de part et d’autre. Mais l’objectivité du réalisateur s’arrête là. Car son traitement des casseurs, les vrais responsables des débordements, est tout de même très superficiel. Le message final de Townsend présente d’ailleurs la manif et ses débordements, comme un succès, alors qu’ils n’ont été qu’un fiasco total, sinon un leurre. Car, en fin de compte, les manifestants en ayant empeché les pourparlers d’avoir eu lieu, ont, en réalité, empeché les représentants écologistes, altermondialistes, et représentants des associations humanitaires invités et présents à l’intérieur de l’émiscicle, de se faire entendre durant les débats et de faire relayer leur message contestataire devant les médias, eux-aussi, présents dans ce même émiscicle?