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Un visiteur
5,0
Publiée le 6 juillet 2008
son film le plus aboutit..l'idée de la camera a l'épaule permet de renforcer d'avantage la critique subversive des media! Le maître Romero signe encore un grand film dans la lignée de zombie... Encore une fois il prouve que l'horreur permet d'éclairer notre monde!
Une pure daube. L'histoire est caricaturale, les acteurs sont nuls et les zombies sont vraiment mal faits. Soit on s'endort, soit on quitte la salle le plus vite possible. Dans tous les cas, le cinéma est encore tombé bien bas.
Ce n'est pas le meilleur film de zombies ni le meilleur film de Romero mais il reste néanmoins très intéressant. J'ai beaucoup aimé la réalisation, à la façon Cloverfield, qui rajoute du réalisme au film ainsi que les nombreuses critiques portées sur notre société. Un film qui ne fait pas spécialement peur et qui n'est pas tellement gore non plus. On passe un bon moment.
Après Rec, après Cloverfield, voici Diary of the Dead. Si le concept de la caméra subjective au point fonctionne bien dans les deux premiers, il atteint vraiment ses limites ici. Les personnages sont à l'image des stéréotypes du film de genre : stupides et par conséquent antipathiques. Mettez vous en situation : des zombies vous attaquent. C'est pratiquement la fin du monde... Que faites vous ? Solution 1 : fuir et vous cacher. Solution 2 : prendre votre caméra et filmer une amie qui se fait attaquer sans lui porter secours. Solution 3 : prendre un bain la porte de la salle de bain grande ouverte.
Comment peut-on encore espérer faire passer ça dans un film d'horreur aujourd'hui ? Qui plus est si le film en question ne fait pas peur un instant.
Alors oui, le message de l'humanité pervertie par nos moyens de communication passe très bien, étant donné qu'il est répété une bonne dizaine de fois texto. Une question mérite alors d'être posée. Ce film mérite-t-il d'être sauvé ?
Ce film est une réussite!george a romero n'a rien à envier au autres,il aime se qu'il fait et le fait à sa manière et ne tombe pas dans le gore et les tripes à tous va mais juste se qu'il faut(de bons passages bien crade sympatique quand même):nous voila donc face à un vrai film d'horreur!!(avec comme d'habitude une critique social à travers son film qui ne fait que l'épaissir en qualité).les FX et passages "crades" sont très réussis tous comme l'humour.Un film à voir donc de toute urgence.Vivement la suite s'il y a!!
Adepte du genre, quelle ne fut pas ma déception!!Quand un film d'"horreur" tente de se donner un genre pseudo intellectuel, plus rien ne va...C'est sans aucun doute la mode du film où le spectateur suit un reportage qui vire systématiquement au carnage, mais ce diary of the dead ne m'a pas fait frémir une seule fois!S'abstenir!
Nullissime et pourtant je suis un fan du genre c'est pour dire !! Les zombies ne font pas peur, les dialogues sont navrants (le doublage en français pas excellent non plus) et quant à la pseudo réflexion sur l'homme...No comment. Film que je déconseille.
Film plus réussi que le précédent. Si l’on s’intéresse à Romero, réalisateur de film d'horreur, l'on peut sentir ici qu'il ne se prend pas vraiment au sérieux. Il ose notamment quelques touches d'humour bien disséminées, et il s’amuse dans le gore avec quelques moments croustillants d’humour noir et d’humour gore. Et Romero, réalisateur de films politiques, on peut dire qu'il signe une œuvre intéressante. Il aborde ici le thème des médias et des images, leurs impacts sur le spectateur, leurs dangers, leur manipulation par ceux qui en ont le pouvoir. Il se place donc du point de vue qu'il dénonce pour mieux critiquer certaines attitudes, du point de vue de notre société qui a tendance à banaliser les images violentes et à en vouloir toujours plus. Les propres voyeurs se font d’ailleurs manipuler, croyant au début que ces morts qui se réveillent, ne sont que qu'une grosse supercherie. Les idées alléguées dans le film trouvent leur portée dans notre actualité. Que devons-nous croire lorsque l'on nous parle, de la maladie de la vache folle, de la grippe aviaire, du réchauffement climatique, de l'augmentation du prix du pétrole... C’est la question de la confiance qui est aussi abordée dans ce film. Confiance à quoi, et confiance à qui ? Pour ce faire, Romero centralise sa mise en scène sur un groupe de jeunes. Il emploie la caméra subjective à la mode en ce moment, d’un étudiant faisant un documentaire. Les zombies paraissent davantage en retrait que dans Land Of The Dead. Et de toute façon, comme toujours chez Romero, ils sont essentiellement prétexte à peindre une métaphore de notre société. Diary… est donc bien plus qu'un simple film de zombie: il serait même réducteur de le considérer uniquement comme tel. La richesse du film est de soulever de nombreuses questions. L’une des qualités du réalisateur est de s’adapter continuellement au contexte dans lequel nous vivons, afin d’actualiser ses films, sans oublier les ingrédients de ses films gores traditionnels.
Vous me direz rhoooo encore un film avec des méchant tout pas beau et mort qui animés d'un appétit de monstre mange tous ce qui se trouve... on retrouve les principales clichés de se genre de film. Surfant sur la vague du moment (filmé style blair witch) remis au gout du jours dans rec et cloverfield. Le film se démarque! Sous trame de mort-vivant on observe une critique de la société des sujets tel que les média (et leurs manipulations); la réaction des gens (perte de sang froid, instinct prenant le dessus...), de l'armée face au KO. Ces détails et bien d'autres font de se film une expérience intéressante
Le grand retour de Romero après un Land of the Dead quelque peu décevant. Un film intelligent qui pousse à la réflexion sur la nature de l'homme et son rapport à l'image. Les dernières images sont tétanisantes : "valons-nous la peine d'être sauvés ?"
Voila un film réussi dans son genre! Un vrai scénario, de l'hémoglobine, des passages tendus, des personnages intéressants, un critique de notre société gavée et boulimique d'images et un fond idéologique qui prête à réflexion. Il suffit de voir la dernière séquence qui résume pas mal ce que peut-être parfois l'humanité. Le zombie,cannibale sans conscience animé par ses instincts les plus profonds, n'arrive pas à la cheville, pour ce qui est de l'horreur et de la violence, face à l'humain en plein possession de son intelligence.
Diary of the dead est un film avec des morts vivants dedans, un de plus, fait par Romero, again. Sans être mauvais, on ne peut pas dire qu’il soit bon. Ce qui est sûr c’est qu’il ne fait pas bien peur. Que demande le peuple ? ‘’Mais laissez les morts tranquilles à la fin !’’ Ouais, revenez dans quinze ou vingt ans, ça ira bien.