Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
1,0
Publiée le 6 décembre 2010
On retient avant tout de ce film la médiocrité des acteurs, les réactions et l'absurdité du comportements des personnages (on a l'impression qu'ils cherchent tous à se faire tuer). La mise en scène et la façon de filmer donne vite la nausée et n'apporte strictement rien au film. L'idée de base sur les médias était intéressante mais au final, elle se retrouve mal exploitée. Dommage.
La nuit, l'aube, le jour....et maintenant les chroniques des morts vivants....faudrait peu être que le romero s'arrête un jour.C'est ni plus ni moins que de la redite adaptée a notre époque, et ca finit par devenir totalement inintéressant et ennuyeux.
George A.Romero a inventé le film de zombies,et même s'il a essayé de se diversifier,il est toujours revenu à ses premières amours.Au passage,il a toujours glissé des messages subliminaux sur la société de son époque.Avec "Diary of the dead",5ème volet de ses zombie-movie,il met le doigt sur la toute puissance des médias.Multiplicité des supports qui fragmente l'information,et la déforme d'autant.L'idée de tourner en caméra DV et à la vue subjective lui apparaît donc d'autant plus naturelle.Il s'avère cependant assez vite que Romero est en pilotage automatique.Des étudiants de Pittsburgh se font décimer les uns après les autres par des morts-vivants,lors d'une nuit où tout va changer.Nous ne sommes jamais surpris et agaçés par le support qu'il dénonce.C'est très lourdement asséné,et il faut trop de bonne volonté pour se laisser convaincre.Surtout après "REC" ou "28 semaines plus tard",les scènes gore manquent cruellement d'urgence et d'efficacité.Les zombies,ici sont bien limités et ne donnent pas trop de fil à retordre.Si l'on ne sursaute pas,où est l'intérêt?
L’insatiable George A. Romero revient une énième fois derrière la camera, à 68 ans, il réalise encore une fois un film de zombies, le cinquième de sa saga devenue une véritable franchise (La Nuit des morts-vivants - 1970 , Zombie - 1983 , Le Jour des morts-vivants - 1986 & Land of the dead - Le territoire des morts - 2005). Avec Diary of the Dead, il se met au goût du jour en donnant une très grande place aux nouvelles technologies audiovisuelles (DvCam numérique, caméra de téléphone portable, web cam ou encore caméras de surveillance (offrant par la même occasion un large choix au cinéaste pour le montage final). Ainsi, on suit un groupe d’étudiants partit en forêt pour y tourner un film d’horreur, mais en apprenant que des morts-vivants décimaient la population, ils décident de tout arrêter, de retrouver leur familles respectives, tout en filmant leurs faits et gestes afin de « laisser une trace » et montrer la vérité aux autres (contrairement aux médias qui passent leur temps à mentir). Dans le même style cinématographique que Le Projet Blair Witch (1999), Cloverfield (2008) ou dernièrement REC (2008), le film de Romero est à 99% filmé en caméras subjective, le tout en DV, si bien que le spectateur se retrouve donc en première ligne de mire, comme s’il remplaçait l’acteur. Avec ce cinquième opus, on retrouve avec toujours autant de plaisir celui que l’on surnomme « Le Maître de l’Horreur », qui nous réserve comme à son habitude, son lot d’images trash et gore. Malgré quelques baisses de régimes évidentes, Romero convainc et remplit son cotât d’hectolitre d’hémoglobine, avis aux amateurs !
Romero est le père du film de Zombie au cinéma. Sans doute la figure la plus influente du genre. Mais depuis un moment il faut admettre que le bonhomme est carrément dépassé. Si il conserve un message dans chacun de ses films, ce dernier se retrouve carrément handicapé par la réalisation mollassonne de papy et les clichés lourdingues que l'on peut y retrouver. Ce film n'échappe pas à la règle et est carrément médiocre. Quelques scènes efficaces ne peuvent nous épargner cette impression que le style de Romero est aussi putréfié que les zombies qu'il met en scène.
George A. Romero est complètement à côté de la plaque dans ce long métrage tant il n'y a rien à en tirer de bon et pourtant son style particulier est bien ressenti mais fonctionne beaucoup bien qu'il y a 40 ans.
Voila donc une copie de Rec, car comme celui-ci on va suivre les péripéties d'un groupe de jeunes qui essaye de survivre a une horde de zombis très très con.. Comme Rec tous est tourner au caméscopes, et comme ce dernier le film est tous pourri.. Et pourtant D.O.T.D a de bon point, il aurais seulement fallu prendre le meilleur des deux pour faire un seul et unique film. Dans celui-ci c'est gore, la camera est stable, le cameraman n'a pas la maladie de parkinson et les zombis sont redevenu normale (il ne cours pas), mais voila, seul c'est points sont bon REC a un meilleur scénario, il fait plus rire... heu peur.. les acteurs joue 100 mieux que ici, mais malheureusement la camera fous la gerbes et les zombis sont plus contaminer pars le virus de la fureur qu'autre chose, de plus le film est loin d'être gore. Mais au moins tous les deux ce sont m'y d'accord sur un point, faire un film tous pourri. En espèrent que la prochaine fois, quand deux réalisateur décide de faire le même film, il s'appelle, ça évitera de nous pondre 2 films similaire et naze.
Un survival bien terne. On aime les piques habituels de romero sur les puissants, l'armée et les médias. Mais cinématographiquement c'est médiocre même mauvais, avec absolument rien d'original et surtout de mauvais acteurs, de mauvais dialogues et que de blabla et de têtes à claques!
Avec Chronique des morts vivants Romero confirme qu'il est le roi des Zombies, il revient rapidement après le bon Territoire des morts pour un nouveau opus sur ses cannibales venus d'outre-tombe toujours très réussis. L'histoire est bien menée et si ce n'est pas réellement gore ça reste relativement sanglant et il n'y a pas de temps morts. Un bon film d'épouvante pour moi.
Très agréablement surpris. J'aime beaucoup la saga des morts vivant de Romero, même land of the dead qui a été largement décrié. Je déteste par contre les films filmé de cette manière. Mais entree cloverfield, Rec… Diary of the dead est largement le plus abouti et le mieux réalisé, peut-être car roméro a été assez intelligent pour ne pas filmer n'importe quoi et pour éviter les incohérences a glissé dans le film que les images ont été monté. Ce film toujours aussi politique se prend cette fois aux médias dans une critique assez constructive, on ne vient pas pour voir du gore, mais surtout pour l'ensemble, un film de zombi avec une âme. Ce qui est assez rare pour un film d'horreur. Je ne me suis pas ennuyé comme dans cloverfield ou bien le début de Rec. On est directement pris à parti on ne lâche pas le film. Ce film est doté d'une réflexion poussée pas question de venir pour se détruire les neurones. Roméro est grand.