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Les deux monstres, la nouvelle subjectivité et le vieil objet de son désir, sont devenus, le temps d'une fusion inouïe, les deux faces d'une même réalité. L'origine même du cinéma.
Derrière [un] discours sans ambiguïté se cache un formidable film d'action. Diary of the Dead est un western (...), mais un western situé au temps de la surabondance d'informations et de la transparence généralisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ces joviales 95 minutes réaffirment (...), face à toute décrépitude, la puissance immarcescible du geste artistique. Romero dit le désastre avec les images qui restent, mais elles composent des poèmes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Malgré [des] imperfections, la magie opère et les fans du réalisateur s'y retrouvent. Au lieu de céder à la facilité d'une énième variante musclée sur le genre, le cinéaste parvient en effet à se renouveler.
Romero revient cette fois avec un film indépendant, au budget modeste, plus proche de son film initial que tous ceux qui le suivirent. Au goût du jour, si l'on peut dire, tant la morsure conserve son âpreté.
Le scénario (...) est d'une lucidité rare. (...) A cette réflexion pertinente, entretenue par une action qui ne se relâche jamais, s'ajoute une déclaration d'amour au cinéma d'horreur...
Tourné caméra à l'épaule, (...) Diary of the dead fait bien sûr frissonner mais aussi réfléchir sur la propagation sur Internet des images "prises sur le vif".
La critique complète est disponible sur le site Metro
Cherchez le vrai dans le faux, et vice-versa, c'est le petit jeu dans lequel il entraîne son spectateur. Une démarche qui lui permet de se renouveler une fois encore,(...).
Pour : Intégralement filmé à travers la caméra vidéo d'un étudiant en cinéma fuyant avec ses camarades l'apocalypse zombie, "Diary of the dead" renoue avec la sauvagerie (...) du premier film de la saga (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) "une oeuvrette recyclant un peu mécaniquement les obsessions d'apocalypse du cinéaste par le biais attrayant des nouvelles images. (...) Ecrasé par ses intentions et son discours méta-filmique lourdingue (...), Romero ne fait ici que surfer sur une vague en déroulant ça et là quelques séquences magistrales.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Diary of the dead abuse de la vue subjective et transforme le spectateur en acteur. Hélas, l'immersion est ici seulement partielle en raison d'une voix off bien trop prégnante.
Réduits [les zombies] à l'état de figurants, ils (...) pâtissent d'un dispositif de mise en scène multimédia mille fois vu ailleurs. Reste quelques très efficaces séquences autonomes qui prouvent que la griffe du réalisateur ne s'est pas complètement émoussée.
Un spin-off maladroit et fauché qui s'éloigne de l'excellence horrifique de la saga des morts vivants de Romero pour se concentrer sur son aspect politique. Du cinéma misanthrope qui a les pieds sur terre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Finalement ce Romero paraît (...) quelque peu suranné (quoique pas désagréable, non plus) (...) ces morts là sont bel et bien à la traîne d'un cinéma bis devenu, peut-être moins riche, mais plus rapide, plus agressif, et aussi, plus divertissant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
Les deux monstres, la nouvelle subjectivité et le vieil objet de son désir, sont devenus, le temps d'une fusion inouïe, les deux faces d'une même réalité. L'origine même du cinéma.
Charlie Hebdo
(...) un film magistral et audacieux qui confronte la génération Youtube à une nouvelle invasion de zombies.
L'Obs
"Diary of the Dead" est, dans les limites un peu frustes du genre, un sale petit chef-d'oeuvre.
Le Monde
Derrière [un] discours sans ambiguïté se cache un formidable film d'action. Diary of the Dead est un western (...), mais un western situé au temps de la surabondance d'informations et de la transparence généralisée.
Les Inrockuptibles
(...) Romero se montre toujours aussi inspiré dans le registre de la cruauté poétique.
Mad Movies
(...) Une oeuvre formidablement enthousiasmante, tout autant que funèbre.
Positif
Ces joviales 95 minutes réaffirment (...), face à toute décrépitude, la puissance immarcescible du geste artistique. Romero dit le désastre avec les images qui restent, mais elles composent des poèmes.
20 Minutes
(...) une fable féroce où l'Amérique de l'ère Bush junior en prend pour son matricule.
L'Ecran Fantastique
Malgré [des] imperfections, la magie opère et les fans du réalisateur s'y retrouvent. Au lieu de céder à la facilité d'une énième variante musclée sur le genre, le cinéaste parvient en effet à se renouveler.
L'Humanité
Romero revient cette fois avec un film indépendant, au budget modeste, plus proche de son film initial que tous ceux qui le suivirent. Au goût du jour, si l'on peut dire, tant la morsure conserve son âpreté.
Le Journal du Dimanche
Le scénario (...) est d'une lucidité rare. (...) A cette réflexion pertinente, entretenue par une action qui ne se relâche jamais, s'ajoute une déclaration d'amour au cinéma d'horreur...
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Libération
Si Romero a tendance à un léger radotage, recyclant parfois les idées de ses précédents films, il a encore de la ressource.
Metro
Tourné caméra à l'épaule, (...) Diary of the dead fait bien sûr frissonner mais aussi réfléchir sur la propagation sur Internet des images "prises sur le vif".
Ouest France
Cherchez le vrai dans le faux, et vice-versa, c'est le petit jeu dans lequel il entraîne son spectateur. Une démarche qui lui permet de se renouveler une fois encore,(...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Pour : Intégralement filmé à travers la caméra vidéo d'un étudiant en cinéma fuyant avec ses camarades l'apocalypse zombie, "Diary of the dead" renoue avec la sauvagerie (...) du premier film de la saga (...).
Chronic'art.com
(...) "une oeuvrette recyclant un peu mécaniquement les obsessions d'apocalypse du cinéaste par le biais attrayant des nouvelles images. (...) Ecrasé par ses intentions et son discours méta-filmique lourdingue (...), Romero ne fait ici que surfer sur une vague en déroulant ça et là quelques séquences magistrales.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Un road-movie féroce et poétique (...)
MCinéma.com
Diary of the dead abuse de la vue subjective et transforme le spectateur en acteur. Hélas, l'immersion est ici seulement partielle en raison d'une voix off bien trop prégnante.
TéléCinéObs
Réduits [les zombies] à l'état de figurants, ils (...) pâtissent d'un dispositif de mise en scène multimédia mille fois vu ailleurs. Reste quelques très efficaces séquences autonomes qui prouvent que la griffe du réalisateur ne s'est pas complètement émoussée.
aVoir-aLire.com
Un spin-off maladroit et fauché qui s'éloigne de l'excellence horrifique de la saga des morts vivants de Romero pour se concentrer sur son aspect politique. Du cinéma misanthrope qui a les pieds sur terre.
Brazil
Finalement ce Romero paraît (...) quelque peu suranné (quoique pas désagréable, non plus) (...) ces morts là sont bel et bien à la traîne d'un cinéma bis devenu, peut-être moins riche, mais plus rapide, plus agressif, et aussi, plus divertissant.
Le Figaroscope
Le maître du film horrifique tente de se mettre au goût du jour en évoquant le rôle pernicieux de l'image. Il n'en reste qu'un film gore de plus.
Première
Une version gore de Pékin Express, par un cinéaste dont le message est devenu plus mort que vivant.
Télérama
Contre : Censément hyperréaliste, le film donne surtout l'impression d'être totalement artificiel. En un mot : mort-né.