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    Le Relais de l'or maudit
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    2,9
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    10 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 octobre 2009
    Un bon western à l'ancienne, avec une histoire originale. Du suspens, beaucoup de travail sur les personalités. Intéressant.
    Frédéric Le Mouël
    Frédéric Le Mouël

    20 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2013
    Les 20 premières minutes de ce western de série B sont prometteuses : les décors naturels sont sublimes et les scènes d'action sont plutôt réussies. Mais quand, pour échapper à leurs poursuivants, Randolph Scott et ses comparses se réfugient dans le "relais de l'or maudit", il ne se passe plus grand chose (sinon le début d'une improbable romance entre le héros et sa prisonnière) et l'ennui prend le dessus.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2024
    Randolph Scott est sans doute l’acteur hollywoodien qui durant l’ère du parlant aura tourné le plus de westerns. Il commence sa carrière en 1929 pour la terminer en 1962 sous la direction du grand Sam Peckinpah avec « Coup de feu dans la sierra ». Une centaine de films avec on l’a dit une majorité de westerns le plus souvent de série B mais où il aura tout de même côtoyé des réalisateurs prestigieux comme King Vidor, Henry Hathaway, Henry King, Michael Curtiz, George Marshall, Fritz Lang, André de Toth, Budd Boetticher ou John Sturges. En 1949, il s’associe à Henry Joe Brown pour fonder sa société de production (Scott-Brown puis Rawnon Pictures) qui produira quatorze westerns dont cinq tournés avec Budd Boetticher (sept au total) qui tout en étant ses derniers, demeurent les plus réputés. « Le relais de l’or maudit » tourné en 1951 fait partie de cette série qui voit un Randolph Scott au physique encore svelte incarner un cow-boy flegmatique et marmoréen qui n’a pas besoin de beaucoup de mots pour s’imposer dans un monde où il ne fait pas bon tergiverser quand les balles sifflent autour de vous. Une sorte de Clint Eastwood avant l’heure mais version classique. Roy Huggins producteur, scénariste et réalisateur de télévision met pour l’occasion en scène son premier et unique film pour le grand écran. Scénarisé par Huggins lui-même, « le relais de l’or maudit » indique dans son titre le huis-clos qui va occuper toute la seconde partie du film. La guerre de Sécession est finie depuis un mois mais l’information est loin d’être parvenue jusqu’à toutes les oreilles. spoiler: Un groupe de soldats confédérés mené par le Major Matt Stewart (Randolph Scott) massacre un convoi de l’Union pour récupérer son chargement d’or destiné à renflouer les caisses de l’armée sudiste. Apprenant que la guerre est finie les soldats comprennent vite qu’ils sont désormais considérés comme des criminels. De surcroît, leur butin est convoité par une bande de vrais brigands. Une poursuite s’ensuit qui se termine dans un relais de diligence tenu par un père et sa fille qui a vu son mari et son fils tués par les soldats sudiste
    s. Le siège qui voit le major et ses hommes terrés dans un espace minuscule se révèle propice à l’explosion des conflits internes qui minent le groupe déchiré sur la marche à suivre. Huggins qui a construit une intrigue parfaitement lisible aux enjeux clairement exposés, maîtrise avec une certaine dextérité les deux phases de celle-ci. La première dédiée à l’action pure dans les grands espaces de Lone Pine bénéficie de la présence à la photographie de l’expérimenté Charles Lawton Jr. (« La dame de Shanghaï » d’Orson Welles, « 3h10 pour Yuma » De Delmer Daves) suivi du huis-clos permettant aux acteurs de donner le meilleur en exposant les conflits et contradictions qui animent leurs personnages. A ses côtés Randolph Scott sobre comme à son habitude mais sachant toutefois libérer l’humanité du major Stewart peut compter sur la trop méconnue et talentueuse Dona Reed mais aussi sur un Marvin Lee encore débutant tout à fait convaincant en brute sanguinaire pour qui descendre un homme ou violer semble aussi simple que respirer. Un Lee Marvin que Scott retrouvera à deux reprises. En conclusion un film très solide qui ne compte pas parmi les classiques du genre mais remplit parfaitement son office.
    selenie
    selenie

    6 342 abonnés 6 207 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2010
    Un western classique de bonne facture. Randolph Scott égal à lui-même (toujours le même dans tous ses westerns) et charismatique. L'histoire revisite la fin d'une guerre qui ne va pas à la même vitesse pour tous. Le bon point revient justement à faire de ses soldats des bandits presque malgré eux. Comme d'habitude dans les films de Scott le point faible reste l'invraisemblance de l'histoire d'amour. Classique donc mais efficace.
    Estonius
    Estonius

    3 470 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 octobre 2021
    Un western de série B ! On a vu mieux, on a vu pire. Le scénario est classique, quoique cette problématique de la fin de guerre signifiant la fin du "droit" de tuer est toujours intéressante. Il y a de très belles scènes de poursuite et les combats à mains nues ont beau être improbables, ils restent spectaculaires. Le technicolor est somptueux et nous donne des scènes d'extérieur de toute beauté. Mais le film n'est pas exempt de défauts, les décisions prises sont parfois aberrantes (depuis quand se contente-t-on de la parole d'un prisonnier ?) et ne parlons pas de la romance express entre Scott et Reed (le syndrome de Stockholm ça existe mais pas à cette vitesse) Enfin le final bisounours et inutile exaspère. Parlons un peu des acteurs, Scott est (trop) monolithique, Donna Reed est bien jolie mais n'a pas grand espace pour s'exprimer, le meilleur reste Lee Marvin qui nous campe un beau spécimen d'indiscipliné, quand au pire, c'est incontestablement Claude Jarman Jr dont je ne dirais rien, n'ayant pas pour vocation de tirer sur les ambulances.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 952 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2012
    La carrière cinèmatographique de Roy Huggins se rèsume à un seul long-mètrage: "Hangman's Knot" avec Randolph Scott, Donna Reed et Claude Jarman Jr, inoubliable "Jody" dans le magnifique "The Yearling". Un goût prononcè pour le western conduit ce producteur-scènariste à en diriger un à son tour! Le film se dèroule à la fin de la guerre de Sècession où des soldats confèdèrès dèrobent un chargement d'or à une colonie nordiste! S'ensuit un excellent suspense, qui sans rèvolutionner le genre, nous fait passer un joli moment! Un casting irrèprochable (Scott est toujours aussi impeccable) et une intrigue menèe de main de maître font de "Hangman's Knot" un western agrèable à regarder où tout est bien charpentè...
    Lionel33000
    Lionel33000

    37 abonnés 397 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2024
    Bonjour,
    Un western classique de bonne facture ou Randolph Scott est égal à lui-même ( environ une centaine de westerns a son palmarès)
    L histoire revisite la période de la fin d'une guerre de sécession et le vol d or par une troupe de soldats sudistes. Classique donc mais efficace.
    A voir ou revoir
    Caine78
    Caine78

    6 797 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2010
    Un bon petit western. Réalisé efficacement par l'inconnu Roy Huggins, Le Relais de l'or maudit se révèle être un divertissement efficace, bien mené et sans ennui aucun. Alors, bien entendu, le film comporte certaines facilités, tels les personnages assez stéréotypés, la love story complètement impensable, et toujours les méchants punis et les vraiment gentils récompensés, mais cela passe sans réel souci, tant le huit-clos est bien rendu et la tension efficace à certains moments. De plus, les acteurs sont à la hauteur, notamment Randolph Scott et Lee Marvin. Bref, une bonne surprise, et un bon moment à passer en perspective.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 mai 2012
    Seul film de Roy Huggins en tant que réalisateur (ex producteur et scénariste), ce western de série B est intéressant et bien monté. Il mêle aventure, suspense et émotion, Il alterne le sens de l'action et la simplicité de réalisation. L'approche psychologique des personnages est assez réussie. L'opposition est constante entre l'ex-officier sudiste Matt Stewart (Randolph Scott) et son complice Rolph Bainter joué par Lee Marvin, en hors-la-loi provocateur. Le spectateur est tenu en haleine jusqu'à la fin, moment où les sentiments et l'émotion reprennent le dessus.
    Play it again, Sam
    Play it again, Sam

    12 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2020
    Cette bonne petite série B propose un western tout à fait honnête qui, à défaut d’être innovant, sait être efficace. Rythmé à vive allure, sans temps mort, alors que la perspective d’un malhabile huis-clos pointe vite son nez, l’ensemble est bien fichu. Certes, c’est sans surprise et on prévoit tout de suite les réactions et évolutions des différents personnages, mais c’est suffisamment bien joué (avec le toujours monolithique Randolph Scott et un Lee Marvin déjà parfait en fripouille incontrôlable) pour qu’on se laisse embarquer.
    On pardonnera au film son improbable romance et ses quelques maladresses (notamment dans les scènes d’action où on a la gâchette facile pour appuyer sur l’accélérateur de la bobine et pour proposer des figures de style un peu trop théâtrales au moment de faire chuter les personnages qui se font tirer dessus) pour apprécier son application dans la description des personnages. Certes, ils sont caricaturaux, on comprend mal qui sont les « méchants faux shérifs » mais cela crée des moments de tension réussis.
    Le final sous une pluie torrentielle et l’orage est plutôt pertinent et bien filmé, et certains plans n’ont rien à envier à des œuvres plus ambitieuses. On regrettera une fin convenue et naïve qui fait perdre un peu de noirceur à cette bonne idée générale. Brève, efficace et plutôt originale, cette série B a vraiment des arguments à défendre.
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