Plus rythmé que le premier opus ,voila encore un bon petit film de zombies made in GB qui n'a rien a envier aux modèles Americains.S'il n'innove guère d'un point de vue scénaristique (toujours une poignée de survivants poursuivie par une armée de morts vivants) ,celui ci recèle quelques scènes réellement efficaces a l'image d'une intro ultra stressante ( qui contraste avec un final bien mou) comme d'autres de paniques général très réalistes.La camera épaule en perpetuel mouvement du cinéaste Espagnol retranscrit a merveille ce sentiment de chaos ambiant ,cette qualité est paradoxalement un défaut tant les séquences d'actions apparaissent confuses voir bordeliques a l’écran.La distribution s’avère solide avec notament un Carlyle des surprenant ,dommage que les personnages manquent d’épaisseur , même constat en ce qui concerne des dialogues tristement plats ,heureusement que la BO bien pêchue vient booster l'ensemble.Les dernières images a Paris laissent entrevoir un possible n°3 ..
''28 semaines plus tard'' multiplie les scènes chocs les moments de panique pour le plaisir du spectateur averti. Mais attention, il est difficile à voir.
Je ne suis pas d'accord avec les critiques qui disnt que ce film ressemble trop au premier... C'est un film de zombie, il y a forcement des points communs. Mais dans ce film helas, les scenes de zombies sont trop rares. Le scenario est original pour un film de genre, mais il n'y a pas assez de scenes de suspense... Les personnages sont moins biens devellopés que dans le premier, il y a peu de dialogues et quand les gens meurrent on s'en fiche u peu ; on a jamais l'occasion de s'attacher a eux.
A voir quand meme pour de beaux plans, et quelques sursauts quand meme!
28 semaines plus tard est un excellent thriller de Juan Carlos Fresnadillo. Le concept n’a rien d’original, mais le réalisateur use d’un scénario habile et intelligent, il réussit à nous plonger dans l’ambiance, dans l’intrigue et on reste scotché du début à la fin. A noter que les sujets sont bien exploités. La mise en scène est irréprochable et les acteurs avec notamment le grand Robert Carlyle, mais aussi Rose Byrne, Harold Perrineau ou encore Catherine McCormack sont convaincants dans leurs rôles.
Une suite différente, mais difficile d'égaler 28 jours plus tard. Le début de l'histoire est tonitruant, mais je trouve que ce film rentre dans le rang par la suite.
Petite mention à Imogen Poots, qui fait rêver ^^.
[Attention spoiler] Le coup des porteurs passifs est bien trouvé, mais l'histoire est relativement prévisible. Robert Carlyle interprète de façon très réaliste Don,le père aimant devant choisir entre la vie de la mère de ses enfants et sa propre survie.
La croyant morte, il est tenaillé entre honnêteté et peur du rejet filial, ce qui apporte de la profondeur à son personnage: il ment à ses enfants par amour.
Survient alors le retour de sa femme, porteuse passive du virus, par qui passe la possible élaboration d'un vaccin. Terrifié à l'idée qu'elle divulgue la vérité sur son abandon, il va la voir profitant de son statut de responsable dans le district. Il semble alors se redécouvrir des sentiments pour elle.
Alors qu'il pense être sorti du tunnel et que l'espoir de vaincre définitivement le virus naît, c'est par lui que se matérialise le retour de la contamination.
Par la suite, l'histoire repose uniquement sur les épaules de deux adolescents, dont les personnalités sont moins interpellantes et moins fouillées, apportant moins d'humanité et de relief à l'histoire.
La seconde partie de l'histoire raconte la survie du noyau de personnages principaux, tous des gentils, mais n'apportant rien de neuf et proposant un scénario trop chaotique pour espérer atteindre le niveau de 28 jours plus tard. En effet, je pense qu'il est impossible de traiter avec autant de profondeur d'un sujet en rabotant 40% du temps lui étant consacré.
on aurait pu craindre le pire de cette suite inattendue. Pourtant, dès la scène d'ouvertue on comprend que Fresnadillo frappe aussi fort voir encore plus fort. Une référence du genre.
Un second volet a la hauteur du premier. Mais certaines questions lancées dans le premier volet restent sans réponses : où sont passés les héros du premier volet? C'est dommage! De plus, dans le premier volet, il est clairement dit que Paris et Moscou sont touchés par le virus. Pourquoi dans le deuxième volet, il est dit que seul le Royaume-Uni est touché?
d'action que dans 28 jours plus tard mais moins innovant. L'histoire est crédible, chose pas toujours acquise pour une suite. Le film se laisse facilement regarder. On passe un bon moment pour peu qu'on soit fan des films de zombies.
Moins bien que 28 jours plus tard.. Dans ce film pratiquement tous les personnages principaux meurent, l'action et les sentiments des personnages sont plus mis en valeur et le sang est bien présent (tant mieux). La bo de 28 jours jours plus tard est trop présente dans le film (environ 3 fois la même musique). La fin pourrait nous laisser croire à une suite.. un 28 ans plus tard ? A voir, vraiment bon film !
Ce que l'on ne peux reprocher à 28 semaines plus tard, c'est d'avoir osé le changement. Le problème, c'est que ce changement n'est pas toujours bénéfique. Là où 28 jours plus tard bénéficiait d'une ambiance mélancolique, lourde, réaliste, désespérante, 28 semaines plus tard mise plutôt sur l'action pure et dure. Plus aucune réflexion sur l'être humain et ses actes, ce qui rendait le 28 jours plus tard de Danny Boyle tellement unique et particulier, sniper, mitraillettes et bombes dominent ici. Par chance, les espagnols ne sont pas des manches en matière de films d'horreur et Juan Carlos Fresnadillo n'en est pas un non plus. 28 semaines plus tard a tout de même une ambiance particulière, définie et immersive, entre confusion et chaos. Là est le problème, trop de confusion tue la confusion. La réalisation des scènes d'actions est tellement clipesque que le tout devient illisible. Mais en dehors de ce problème, la mise en scène reste acceptable. Le film possède également un scénario bien inférieur à celui du premier volet. Ici, le tout est extrêmement classique et décevant. Ce n'est qu'un prétexte pour l'action. Les personnages demeurent tout de même attachants et travaillés. La BO, dont le thème merveilleux et cynique de 28 jours plus tard est repris, colle toujours parfaitement à l'univers. Faire une suite à 28 jours plus tard n'est pas une mauvaise idée en soi, étant donné que 28 semaines plus tard est un film acceptable, bien que très inférieur au premier volet.