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Un visiteur
1,0
Publiée le 14 janvier 2008
Le premier quart d’heure reprend complètement l’esprit de « 28 jours… » mais la suite est ennuyeux, absurde et gore, j’ai l’impression que le souci principal du réalisateur était de montrer une Angleterre vide d’habitants pour faire mieux que Boyle, mais la véritable chose vide de ce film c’est le scénario…. : Rapatrier des gens dans un pays non encore décontaminé 7 mois après le début du fléau et les cloitrer dans une zone protégé par des militaires américains !!! Lesquels avec tout leur arsenal se font massacrer en moins de 5 mn, et ils ne sont pas foutues de mettre un garde devant la seule personne capable de relancer l’épidémie…..pas très efficace cette armée…Alors après ca on a le droit à tout : Londres passé au Napalm , des américains qui tirent sur d’autres américains pour sauver 5 pauvres innocent, un père enragé dont la seule obsession est de tuer ses enfants, un déchiquetage de zombie avec une tondeuse à gazon géante. Bref on est bien loin de « 28 jours » mais au mois le réalisateur aura eu son ticket pour Hollywood.
« 28 semaines plus tard » est un bon film de zombies loin d'etre transdendant mais le film est reussi. Robert carlyle est comme d'habitude au top et jeremy renner a ses debuts et premisce à une grande carriere. L’action est bien menée et le rythme est bon. Je n'ai pas vu le premier et la fin annionce un numero 3qui finalement n'a pas vu le jour. Dommage
Après un début tonitruant tant dans sa dynamique que dans sa tension, le récit révèle l'ineptie de son scénario, un condensé d'absurdités: spoiler: les enfants qui partent gambader en zone contaminée malgré l'encerclement militaire, la mère qui a survécu six mois par miracle, l'intrusion d'un personnage type boogeyman increvable poursuivant ses propres enfants, les décisions des militaires, la survie des infestés (jusqu'à Paris?!?), la descente dans le stade à l'infrarouge... Même si le thème musical ainsi que les effets spéciaux s'avèrent bien mis en oeuvre et que Robert Carlyle produit une prestation habitée, cela ne suffit pas à pallier les lacunes de l'intrigue qui empêchent toute émotion, compassion ou nervosité. Tellement en-deçà du premier volet!
Le film est pas mal avec un bon casting comme Jeremy Rener ou encore Idris Elba. Le film gore et violant par moment assez triste aussi avec des morts aux quelles on ne s'attend pas.
Dans la lignée du précédent film. Dans cette suite on débute six mois après le terrible virus qui a décimé l'Angleterre, les forces américaines d'occupation déclare que l'infection est vaincue et que la reconstruction du pays peut commencer. Mais tout n'est pas terminé. L'histoire est plus sombre, gore, violente, avec un bon rythme et des scènes efficaces comme spoiler: la scène d'ouverture, la scène dans le laboratoire avec le retour du virus et la fin du film . Le casting est excellent : Robert Carlyle, Rose Byrne, Jeremy Renner, Harold Perrineau, Catherine McCormack, Idris Elba, Imogen Poots et Mackintosh Muggleton.
L’œuvre de Danny Boyle se voit perpétuer sous l'influence du cinéma d'épouvante espagnole. C'est à Juan Carlos Fresnadillo que revient l'honneur de nous ramener à l'univers post-apocalyptique qui avait fait la renommée du premier opus. 28 semaines après la grande panique, une communauté émergente semble avoir timidement vu le jour au cœur d'un Londres dévasté. L'épidémie est en sursis, mais ne demande qu'à reprendre le dessus, tapis en périphérie et dans les bas fonds. L'armée qui au départ protégeait les populations, se voit contrainte d'appliquer la solution radicale suite à une nouvelle propagation du virus. Le code rouge est activé: tout ce qui bouge doit périr sous l'assaut des balles et du napalm. Ce deuxième opus se veut beaucoup plus sanguin que son prédécesseur, plus accès sur l'angoisse des huis clos ténébreux et des malaises du hors champs, mais également plus rythmé. Ce sous-genre horrifique intimement lié à l'univers des zombies vaut largement la peine d'être creusé, car le danger est insidieux, imprévisible et sans pitié. Un genre facilement identifiable dans World War Z, sortit en 2013. Le genre de film où les héros s'il en est, n'ont pas le temps d'être attachants, car le réalisme prend très vite le dessus. Même Jeremy Renner et son habile sniper disparait trop vite. Néanmoins, la tension reste à son comble dans cette suite. A tel point qu'un troisième opus pointe le bout de son nez. Un survival de grande envergure, puisant autant son inspiration des classiques de Romero, que du thriller paranoïaque et immersif. Du cinéma de référence. 4,5/5
Tellement frénétique, tellement déjà vu que c'est inévitablement nul. Pour ceux qui aiment les films de zombies qui veulent dire quelquechose, rattrapez-vous sur Fido, sorti cet été.
Après avoir mis du temps à découvrir le premier opus, j'avais hate de voir sa suite, n'arrêtant pas de lire partout qu'elle est supérieure au premier....pas vraiment sûr quand même.
L'effet de surprise ayant disparu, on a donc à faire à un nouveau film flirtant sur la vague zombis mais avec un scénario qui nous tient vraiment en haleine.
Je trouve cependant dommage qu'il soit difficile de nous servir des plats inédits, le film ayant quand même un sacré arrière goût de déjà vu....
Cependant, chapeau à la réalisation, trés soignée et énergique et à quelques scènes d'action très bien pensées (hélicotère par ex!!)
Contrairement à d'autres, je trouve cependant la fin baclée, attendue et très moyenne.
Reste un bon film de genre, bien supérieur à la normal, qui pour moi, n'atteint pas les sommets du premier opus!!
Cette suite de "28 jours plus tard" est plus classique dans la forme mais tout aussi réussie. Le réalisateur espagnol a très bien respecté l’œuvre de son prédécesseur. La façon de filmer est très proche avec une image dégueulasse et réaliste. Le thème musical est le même. Pas de temps mort, aussi noir et intense que le précédent. Des nouveautés scénaristiques avec plus de scènes d'action et de scènes gores. Peut être à peine moins dérangeant que le premier. On remarquera un passage très proche de "REC". En bref, une très bonne suite qui peut se voir même sans avoir vu le précédent. "Resident Evil" parait bien ridicule à coté. Un des meilleurs films du genre. (Très bien)
Cinq ans après le film culte "28 jours plus tard" de Danny Boyle qui possédait une fibre très britannique, le peu prolifique réalisateur espagnol Juan Carlos Fresnadillo revient avec une suite qui utilise une technique très proche du premier opus avec notamment une caméra à l'épaule très immersive, la différence se situant dans quelques plans qui font penser à "Rec", le film d'horreur hispanique. Un long-métrage à la distribution vraiment imposante de Robert Carlyle à Rose Byrne, d'Harold Perrineau à Jeremy Renner ou encore Idris Elba. Un scénario qui reste spectaculaire à défaut d'être toujours cohérent ou efficace, Alex Garland, le réalisateur de "Ex machina", n'étant plus à l'écriture. Plutôt pas mal.
Pas évident de faire une suite à un film aussi bon que le film de Danny Boyle et pourtant toujours sous la houlette de ce dernier, le réalisateur aespagnol Juan Carlos Fresnadillo réussit son pari de proposer une excellente suite, d'ailleurs beaucouop plus homogène que le premier. Et au final je le préfère à son initiateur. Le film commence par une intro de folie, de peur viscérale, d'ailleurs filmé par Danny Boyle himself. Puis le film ne perd pas de rythme multipliant des séquences effroyables voir même horrifico-romantique (le baiser de la mort de la mère) et un ingrédient supplémentaire qui sera probablement approfondi prochainement sur les porteurs sains qui fait froid dans le dos. Le virus ferait-il tout pour se préserver ? Une excellente suite qui a le souffle apocalyptique d'un "Fils de l'homme", rare sont ces films, maximum un par an. Entre scènes chocs, action décomplexée et un message politique (mettre en scène l'armée américaine en situation comme en Irak), le réalisateur ne sait pas trompé sur la route à prendre, entre la relation intimiste de la famille déchirée et côté fin du monde d'un Londres vide toujours autant hypnotisant qu'effrayant, rappelant "La guerre des mondes", 28 semaines plus tard est peut être ce que "Resident Evil" aurait dû être ! Au fur et à mesure que le temps s'écoule, ce film se fait une petite place horrifiante dans ma tête et dans mes films de genre préférés et qui viendra surement culte à mes yeux.
Une suite pas évidente à mener, mais j'ai été séduit. Je suis bon client de ce type de films et s'il n'égale pas le premier volet, il reste plutôt bon. Londres vide et en guerre est vraiment saisissant. Le style réaliste et apocalyptique fonctionne bien. Les décors sont variés. Le rythme et le scénario sont tout à fait bien calibrés. Y'a des moments vraiment gore aussi.