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AMCHI
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0,5
Publiée le 2 octobre 2019
Mais c'est quoi ce truc sensé être un film d'horreur ; 28 jours plus tard de Boyle ne m'avait pas plu mais j'ai cru que cette suite serait meilleure mais non elle s'avère pire. C'est peut-être un des plus mauvais films d'horreur de cette dernière décennie, en-dehors des scènes d'action et d'horreur Fresnadillo (déjà responsable du moyen Intacto) c'est plutôt correctement filmé mais lors des dites scènes on dirait que ce réalisateur souffre de Parkinson tellement il y a de la tremblote, c'est hystérique les scènes en question sont illisibles. J'ai failli arrêter le visionnage au bout de 10 minutes tellement j'étais agacé mais je me suis quand même forcé à en regarder un peu plus mais je vous avoue que j'ai abandonné 28 semaines plus tard à 20 minutes de la fin. Comme on dit chacun ses goûts mais dans le cas de 28 semaines plus tard pour moi c'est totalement incompréhensible que l'on puisse prendre son plaisir à regarder ce film de zombies totalement raté.
Vraie claque dans la gueule, 28 WEEKS LATER enterre le premier opus, gardant ses critères sur la déshumanisation de notre société tout en y ajoutant une dose massive d'adrénaline épique, enchaînant les séquences marquantes. Un sommet de l'horreur dont on ne sort pas indemne, moralement et physiquement.
Cette chose fait honte au premier ... Oser appeler ça une suite... 1H40 de grand n'importe quoi. Ca bourrine dans tous les sens, c'est ultra prévisible, l'image est moche, très moche, les acteurs nuls au possible... Ca sent le manque flagrant d'imagination ainsi que le manque de hmm technique. Bref c'est inutil et laid. Remattez vous plutot 28jours plus tard, tellement plus prenant!!!
Cinq ans auront été nécessaire pour voir arrivé une suite à 28 Jours Plus Tard avec ce 28 Semaines Plus Tard qui pour l'occasion change de réalisateur. Malheureusement toutes ces années entre les deux n'auront servi à rien car cette suite possède les mêmes qualités et les mêmes défauts que le premier ce qui est vraiment dommage. L'histoire est peut-être plus intéressante ici car c'est plus développés avec des personnages qui sont unis dans leurs relations. C'est toujours aussi oppressant et angoissant par moments avec une b.o. très bien utilisé et beaucoup plus présente que dans l'original. Malgré ça même si le thème principal est très jolie c'est un peu répétitif. Les infectés son toujours de la partie et font toujours aussi flippé. D'ailleurs ils sont un peu plus nombreux ce qui fait que l'on perd en impression de solitude et de vide des villes mais on gagne en sang et autres liquides qui giclent. Les acteurs, eux ne sont pas toujours convaincants même si dans l'ensemble ça va et que j'ai particulièrement apprécié Rose Byrne. Mais le plus gros problème pour moi vient encore de la réalisation qui a changer de main mais qui est toujours aussi inégal. C'est très souvent trop rapide et du coup on capte rien et j'ai horreur de ça. C'est dommage car la photographie de Londres est belle. J'ai quand même adoré la scène spoiler: ou Don embrasse sa femme puis se transforme . C'est une belle scène et un moment prenant. Malheureusement il y a seulement deux ou trois fulgurance du genre dans le film. A noter aussi des effets spéciaux inégaux ou l'on se demande parfois si le film est sorti en 2007. Par contre sur la longueur j'ai eu du mal et j'ai un peu décroché dans les 30 dernières minutes à cause de cette réalisation fatigante mais les cinq dernières minutes m'ont redonner de l’intérêt avec ce superbe plan sur spoiler: le stade de Wembley et ce plan final sur la place du Trocadéro ou l'on voit la tour Eiffel . C'est une fin qui donne envie d'en voir plus et donc une bonne fin. Au final 28 Semaines Plus Tard n'est n'y meilleur n'y moins bon que son prédécesseur et apporte quand même quelque chose qui fait que si vous avez apprécié le premier, vous aimerez surement celui la.
La suite de « 28 jours plus tard » réussit la prouesse de faire mieux que son vénérable grand frère et ce n'était pas gagné d'avance. Pourtant, il suffit de quelques minutes de visionnage pour comprendre que « 28 semaines plus tard » relève le défi haut la main. Techniquement, la réalisation est de grande qualité, l'action omniprésente est encore accrue par un montage hyper nerveux, à la limite de l'hystérie et les zombies sont plutôt réalistes. Rapides comme l'éclair, leurs morsures transmettent la maladie en une fraction de seconde et l'épidémie s'étend beaucoup plus vite que dans les autres films du genre. Sur le fond, c'est la même chose. Tout est décuplé et le message tissé en filigrane est proprement terrifiant. Les soldats sont vite contraints de tirer dans la foule, n'épargnant personne pour sauver leur peau. La déshumanisation et le chaos comme ultime barrière contre une vague de morts vivants impossible à stopper... ça fiche vraiment la frousse, d'autant que ça ne paraît pas si insensé, quand on y réfléchit deux minutes. Quel film mes amis, faut faire gaffe à la grippe aviaire on ne sait jamais, héhé !
« 28 Jours plus tard » n’a servi que d’introduction à sa superbe suite. Effectivement, le premier volet n’est intéressant que pour avoir fait naître cette œuvre magistrale. Cette séquelle, haut de gamme, nous plonge dans un enfer des plus troublants. Et ça grâce à l’imagination impressionnante d’un réalisateur Espagnol…Vraiment ! Chaque nouvel œuvre sortant direct d’un cerveau Espagnol est un pur moment de bonheur. Juan Carlos Fresnadillo, avait déjà fait ses preuves avec « Intacto » mais nous étions en droit de rester sceptique quand au projet de cette suite ! Nous ne pouvions que nous trompe tant cette suite est impeccable et spectaculaire! L’infection vaincue, la reconstruction est mise en route. Chacun essaye de refaire sa vie dans cette ville post apocalypse…Pourtant, tout le monde ignore que quelque part…Le virus cherche à refaire surface…Et attend patiemment que sa rage explose à nouveau… Dramatique, dérangeant, Gore…Branché sur du 12 000 Volts. Ce film va vous clouer sur place ! Ame sensible s’abstenir !!! Les acteurs sont vraiment prodigieux, en particulier Robert Carlyle. Crédible, impressionnant… ! Il joue, ici, LE personnage tragique par excellence…Beaucoup d’empathie pour ce personnage. On peut très facilement s’identifier à lui. On se pose souvent cette question « qu’aurais-je fait à sa place… ? »…Mackintosh Muggleton et Imogen Poots sont également prodigieux ! La musique tient également un rôle exceptionnelle…John Murphy signe un score qui fait froid dans le dos. Les effets spéciaux et décors sont à tomber ! Riche en émotions…Amateurs de sensations fortes ! Accrochez vous et laissez vous embarquer dans cette attraction qui vous scotchera dès la première minute !
Cette suite moins gore et plus explosif est pour moi un niveau en dessous que l'original.Mais on y passe un bon moment nottament avec une scene d'ouverture génial.A voir.
Chef d'oeuvre total d'un nihilisme sublime. Un rythme implaquable qui ne laisse aucun répit à nous, "pauvres" spectateurs. Peut être le film de zombies ultime, le film d'horreur ultime, l'apocalypse ultime au cinéma ! Rien de moins! C'est a ce demandé comment le réalisateur a pu aller aussi loin dans le genre sans effrayer ses financeurs, car le film est si sombre qu'il a reçu un accueil frileux au box-office. Si seulement ce réalisateur avait pu réaliser "Je suis une légende" dans la foulée...
L'introduction de cette suite est excellente. Si seulement ça avait été de la même qualité tout du long! Car après ça, le film tombe dans la caricature bête et méchante, le manichéisme idiot, et dans la facilité scénaristique. Tous les rebondissements en deviennent prévisibles, jusqu'à une fin en queue de poisson pas très recherchée. Alors que derrière, la mise en scène est vraiment excitante, tout comme la composition géniale de John Murphy... Là où dans le film de Danny Boyle, on pouvait trouver de l'originalité, il n'en est rien pour ce blockbuster bien formaté, et peu efficace.
Wow, excellent film de zombies, la bande originale est jouissive, la scène d'introduction énorme, le montage de qualité, et les hors champs pas si nombreux que ça, et le décors renversants!
C'est gore, ça gicle, ça taille et ça viande dans tous les sens! Yahou, dirions-nous? Non, pas du tout. Un bon point kante même, pour une fois que ces foutus zombies savent courir, l'impression initiale de ne pas se faire prendre pour une andouille est appréciable. Cependant le scénario est léger. De plus le coup de l'armée américaine dépassée "Tirez sans distinction!", la scène trash au possible de R. Carlyle pétant un câble gravos sur son épouse et l'apothéose l'hélico en mode disqueuse : beurk. A voir les critiques précédentes, le premier opus est autrement mieux, à regarder donc. On verra s'ils ont raison.
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4,0
Publiée le 3 août 2011
C'est le prometteur Juan Carlos Fresnadillo qui succède à Danny Boyle pour cette suite très rèussie de "28 jours plus tard". La scène d'ouverture ou l'on voit un Robert Carlyle fuyant, poursuivi par une horde de contaminès est magistrale! Une bande son qui dèmènage, une B.O en parfaite osmose avec l'histoire (la mèlodie de John Murphy "In A Heartbeat" est juste à tomber par terre), une mise en scène nerveuse dont certaines scènes tournéés caméra à l'èpaule sont très impressionnantes font de "28 semaines plus tard" un modèle du genre! Un second volet terrifiant aux multiples scènes gores qui vous glacent le sang et qui vous maintient en haleine du dèbut à la fin! La place est entièrement libre pour un "28 mois plus tard"...
Aie aie aie!! Non content d'avoir déjà pillé la saga des zombies de Romero pour nous chier la première merde qu'était 28 jours plus tard, Danny Boyle remet le couvert en déléguant cette fois ci la réalisation de ce sommet de nullité à un réalisateur espagnol inconnu au bataillon! Repompant le master de Pittsburgh avec cette histoire de ville bunker sous tutelle Américaine (comme dans land of the dead) 28 semaines plus tard, faute d'avoir un scenario digne de ce nom, s'évertue à maintenir la pression à grand renfort de scènes chocs, que seule la crédulité visiblement sans bornes d'un publique déjà acquis à la cause accrédite encore dans son postulat d'être un film original à part entière (pour tous les autres ça s'appelle du foutage de gueule!) Peu importe donc que l'histoire soit truffée d'incohérences (la mère qui, à défaut de s'être fait déchiquetée comme les autres, se fait gentiment mordre le bras!) de facilités scénaristiques débiles (le contaminé Robert Carlyle, seul zombie "intelligent" qui sélectionne ses proies et utilise sa carte d'accès pour se balader tranquillement!) jusqu'au final à la pointe de l'absurdité (le même papa zombie qui attend tout seul que ses enfants, sur la centaine de stations de métro de Londres, choisissent justement celle où il se trouve pour se cacher des méchants snipers!) sans parler de tout ces éléments débiles, comme le fait que les zombies meurent d'avoir respiré un gaz toxique (auquel les héros échapperont en se réfugiant dans une voiture visiblement hermétique!) les mêmes zombies supposé mourir de faim mais s'accommodant fort bien d'avoir été coupé en deux par un hélicoptère! Bref,du bon gros n'importe quoi du moment que ça continue de gicler, de hurler, de trucider, sans que tout le reste ne semble avoir la moindre importance.Vous voilà prévenu!
28 semaines plus tard : Suite du célèbre film d’infecté de Danny Boyle. Et il faut dire qu’elle est plutôt bonne, même efficace et plus rythmé, on est directement dedans contrairement au premier. Bon, l’approche est assez différente ce qui va porter votre préférence sur le premier ou deuxième opus. Car cette fois ci, le virus a était neutralisé et pendant 28 semaine, Londres va se reconstruire mais les militaires ont promis que si cela revenez, ils appliqueront le code rouge : extermination de la ville et malheureusement c’est ce qui vont faire. Donc, c’est assez horrible de voir des survivants se faire allumé par des humains alors qu’ils auraient pu s’en sortir… Donc, cela instaure une ambiance de tension et de suspense assez maitrisé avec des infectés qui sont très rapides comparés aux zombies. Mais c’est dommage car l'ambiance est plombé par une réalisation caméra à l’épaule ou ça tremble de partout et donc pendants les moments d’adrénaline, on voit rien. Sinon, revenons au scénario, le film commence par une magnifique scène qui est assez cruel mais par contre la fin fin, plan sur Paris, il aurait pu éviter, peut être une éventuel suite… à voir. Après, les musiques sont bien choisit mais un peu trop répétitifs. Et pour finir, les acteurs sont convaincants, rien à dire et on a le droit a deux acteurs connus : Robert Carlyle (Le monde ne suffit pas) et Jeremy Renner (Avengers). Donc voila, un film d’infecté prenant du début jusqu'à la fin.
La suite de la bombe de Danny Boyle sortie en 2002. Et autant le dire tout de suite, elle n'a pas à rougir de la comparaison avec l'original. Et pour cause, le réalisateur a changé et, de ce fait, la vision est différente. On se retrouve catapulté dans un Londres qui commence peu à peu à retrouver vie, vu que le virus est quasiment décimé. L'armée américaine a prit place et quadrille la zone, afin d'empêcher tout retour de l'épidémie. Evidemment, cette dernière va bientôt repointer le bout de son nez. On suit, contrairement au premier volet, deux enfants dont le père a échappé de justesse à la mort mais pas sa femme. Fresnadillo créé une ambiance de menace constante, et rend compte du chaos avec des séquences d'assauts absolument effrayantes. Pour faire simple, on dirait que la folie contamine la caméra aussitôt qu'un contaminé apparaît. Ce deuxième volet creuse le sillon commencé par 28 jours plus tard, et s'attarde à montrer l'incapacité pour les soldats à contrer les enragés, et leur prise de décision inhumaine. Un parallèle plus qu'intéressant avec la guerre en Irak. Comme Les Fils de l'Homme, le film s'intéresse surtout à la fuite constante des principaux protagonistes, qui se retrouvent traqués par tout le monde. Les acteurs sont géniaux: Carlyle est impressionnant, tout en ambigüité et en remords; Jeremy Renner est un vraie révélation; Rose Byrne confirme qu'elle est une excellente comédienne; N'oublions pas les deux principaux personnages (les enfants de Carlyle) qui sont magistralement campés. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, la suite n'est aussi bonne que si elle diffère un tant soit peu de l'original, et c'est le cas ici. On attend, au vu du dénouement, le troisième volet avec impatience.