Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Mêlant habilement le film de zombie, le monster movie et le thriller militaire paranoïaque, 28 Semaines plus tard est un excellent exemple du mélange des genres.
Non seulement cette suite préserve le ton nihiliste de l'original, mais va encore plus loin en épinglant la politique interventionniste des Etas-Unis (...). Personne ne trouve grâce aux yeux du cinéaste, qui brouille nos repères et nous renvoie à nos plus vils instincts. D'une rare intensité.
(...) malgré quelques vagues alibis psychologiques, et au-delà de son postulat catastrophiste, le film se réduit à une simple course-poursuite - haletante mais banale (...). Fresnadillo tire son épingle du jeu car il n'est pas manchot et il a un sens inné du filmage (...).
"28 semaines plus tard" s'avère relativement efficace (...) manquant cruellement d'enjeu dramatique et totalement prenant, audacieux et déjà vu, terrifiant et anodin.
Un film d'une noirceur absolue, qui n'hésite pas à tomber dans le gore et vous fera (re)découvrir nos amis les zombies. Pour ceux qui avaient adoré le premier opus (" 28 jours plus tard"), la suite vous ravira.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Un thriller aux sensations fortes, entre rouge sang et gris mortuaire, pour efficacement secouer un genre qui n'a pas fini de nous livrer des frissons.
C'est haletant, mais on voit mal la différence avec un jeu vidéo. "28 jours...", "28 semaines...", "28 ?..." est le nouveau "Resident Evil". Pas sûr qu'on y gagne.
Brazil
(...) encore meilleur que le premier volet, il s'agit là du meilleur métrage horrifique de l'année. Ok ?
Mad Movies
(...) dans sa noirceur absolue assumée jusqu'au dernier plan, "28 semaines plus tard" entraîne le genre vers des cimes visionnaires.
Télé 7 Jours
(...) Juan Carlos Fresnadillo (...) alterne huis clos claustro et gore costaud pour le plus grand bonheur du spectateur en mal d'horreur.
L'Ecran Fantastique
Mêlant habilement le film de zombie, le monster movie et le thriller militaire paranoïaque, 28 Semaines plus tard est un excellent exemple du mélange des genres.
Le Figaroscope
(...) un thriller horrifique terriblement bien mené (...)
Le Journal du Dimanche
Non seulement cette suite préserve le ton nihiliste de l'original, mais va encore plus loin en épinglant la politique interventionniste des Etas-Unis (...). Personne ne trouve grâce aux yeux du cinéaste, qui brouille nos repères et nous renvoie à nos plus vils instincts. D'une rare intensité.
Le Monde
Le projet de ne pas laisser de repos au spectateur pourrait désigner cet efficace plongeon dans la terreur qui dope (...) le suspense.
Le Parisien
Entre deux crises cardiaques, on salue bien bas la virtuosité du réalisateur...(...)
Paris Match
Un rythme maintient le suspense et gomme les quelques invraisemblances d'un film intense. Dans le genre gore fantastique, l'école espagnole s'impose.
Première
(...) le meilleur film de zombies depuis trente ans.
aVoir-aLire.com
Une suite sauvage et apocalyptique qui manie le crescendo à merveille pour épouvanter. Un nouveau monument du film de zombies.
L'Humanité
(...) malgré quelques vagues alibis psychologiques, et au-delà de son postulat catastrophiste, le film se réduit à une simple course-poursuite - haletante mais banale (...). Fresnadillo tire son épingle du jeu car il n'est pas manchot et il a un sens inné du filmage (...).
MCinéma.com
"28 semaines plus tard" s'avère relativement efficace (...) manquant cruellement d'enjeu dramatique et totalement prenant, audacieux et déjà vu, terrifiant et anodin.
Metro
Un film d'une noirceur absolue, qui n'hésite pas à tomber dans le gore et vous fera (re)découvrir nos amis les zombies. Pour ceux qui avaient adoré le premier opus (" 28 jours plus tard"), la suite vous ravira.
Ouest France
Un thriller aux sensations fortes, entre rouge sang et gris mortuaire, pour efficacement secouer un genre qui n'a pas fini de nous livrer des frissons.
Positif
(...) clichés narratifs qu'enfile, à bout de souffle, l'expert cinéaste ibérique Juan Carlos Fresnadillo.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
C'est haletant, mais on voit mal la différence avec un jeu vidéo. "28 jours...", "28 semaines...", "28 ?..." est le nouveau "Resident Evil". Pas sûr qu'on y gagne.
TéléCinéObs
Juan Carlos Fresnadillo assure la relève du Britannique Danny Boyle et remplit son contrat plutôt mieux que son prédécesseur.
Chronic'art.com
Du fantastique espagnol new age, plombé comme toujours par le sérieux, errant entre plusieurs identités, rapidement à cours de système.
Libération
Bruyant et grotesque (...)