Enfin! Alors que la série James Bond n'arrivait plus à s'élever au dessus de la moyenne (les deux opus précedents étant d'excellents exemples: sympas mais à la limite de la série B...), ce nouveau volet des aventures de l'agent 007 tient tout bonnement du chef d'oeuvre! Parfaitement mis en scène par un Lewis Gilbert inspiré par un scènario exceptionnel, ce James Bond renoue avec le charme des premiers opus (Docteur No ou Operation Tonnerre) mais il cherche aussi à aller plus loin. le résultat est bluffant: des décors magistraux (que ce soit en Egypte ou en Sardaigne), des scènes d'actions spectaculaires et rythmées et une musique orchestrale de qualité emmène ce james bond sur la voie du succès. Mention spéciale au méchant, Karl Stromberg, qui pour une fois possède non seulement un charisme impressionnant mais aussi une personnalité intéressante (bien qu'encore un peu mégalomane hein...). Et puis sa base a la classe tout de même!
Un bon James Bond. Roger Moore toujours à l’action, de belles scènes mais une histoire redondante, un peu lourde. Ce n’est pas le meilleur des James Bond.
Mon James Bond préféré. Le scénario est très solide et les séquences s'emboîtent remarquablement. Les personnages sont savoureux. Roger Moore pratique l'ironie avec malice tandis que la James Bond girl est pleine de charme. Ce duo voyage au grè des indices et des obstacles dressés sur leur chemin, à l'instar de l'impayable Requin qui a une dent contre eux. Les scènes d'action sont toutes impressionnantes et la musique est superbe. Plusieurs scènes me restent en mémoire, comme la descente à ski initiale, l'aquarium de Stromberg, les tirs de missile des sous-marins, ou l'ensemble des passages dans lesquels apparaît Requin. Il n'y a vraiment aucun temps mort. Excellent souvenir.
Le meilleur Bond de l'ami Roger et surtout le plus complet. Pour une fois, l'acteur délaisse ses plaisanteries a deux balles au profit d'une interprétation plus sobre de 007 (c'est si rare, autant en profiter) ce qui donne l'occasion de très belles scènes où l'on en viendrait presque à oublier le bouffon bondien des deux épisodes précédents (l'évocation de la mort de sa femme par Anya). Grande innovation du film: l'entrée en scène d'une nouvelle catégorie de Bond girl, l'alter ego, ici interprétée par la sublimissime Barbara Bach, la plus efficace dans ce type de role à ce jour (même si son accent russe est pour le moins bancal). Sa rivalité avec Bond, exacerbée par le fait que celui ait sans doute tué son amant, sous tend tout le film et offre des dialogues percutants. L'espion qui m'aimait renoue avec la tradition des méchants bigger than life, notamment à l'aide de Jaws (Richard Kiel) et sa machoire d'acier. Curd Jurgens incarne quant a lui un mégalo original voulant recréer une société sous marine. Ceci dit, le pitch reprend quand même de nombreux éléments de "On ne vit que deux fois" avec le coup des missiles nucléaires. La démesure coutumière aux films de Bond est enfin de retour grâce aux décors soignés (rien que l'Atlantis, tentaculaire vaisseau de Stromberg vaut le coup d'oeil) qui accompagnent de l'action de qualité dans le supertanker (le "plateau 007" ayant été construit spécialement pour). Valeur ajoutée; la Lotus Esprit de Bond qui rivalise sans peine avec l'Aston Martin de Goldfinger. En gros, heureusement que ce film existe, la période Moore apparaitrait bien fade sinon. Enfin, c'est juste mon avis !
"Toujours plus grand, toujours plus haut, toujours plus fort". C’est en ces termes que l’on pourrait caractériser "L’espion qui m’aimai", un des films les plus imposant de la saga! Tous les ingrédients sont ici réunis pour en faire une réussite : un pré générique impressionnant (avec une cultissime course poursuite à skis), un scénario intelligent, une bande-originale sympathique, des décors grandioses… Quant à la réalisation, elle est à la hauteur, brillant notamment lors des scènes d’actions. Roger Moore, enfin, toujours en forme malgré ses quarante neuf ans, nous offre une prestation plus noire et plus profonde que d’habitude. Quatre étoiles donc, sans hésitation, pour ce film qui restera dans les mémoires comme l’un des James Bond les plus intéressants.
1977. Assurément, la meilleure prestation de Roger Moore dans la peau du plus célèbre des espions. Le scénario semble reprendre la trame d’Opération Tonnerre, les missiles nucléaires remplacés par des sous-marins nucléaires… Barbara Bach est très convaincante en agent soviétique entêtée par sa vengeance envers 007, Richard Kiel alias «Requin» entre au panthéon des plus grands méchants du cinéma avec ses mâchoires d’acier et Curd Jurgens est un excellent Karl Stromberg, armateur mégalomane psychotique dont l’objectif est de créer un monde sous-marin ! Côté gadget, le scooter des mers fait son apparition. L’un des meilleurs épisodes de la saga James Bond indéniablement.
un excellent James Bond avec un Roger Moore toujours aussi charismatique! des décors somptueux et des cascades à couper le souffle! Snas doute l'uns des plus impressionants de l'époque!
Lewis Gilbert est souvent considéré comme le réalisateur de la démesure au niveau de la saga "James Bond".Auteur entre autre de "Moonraker", Gilbert signe avec "L'espion qui m'aimait" l'un des Bond les plus aimés des fans.Sans s'étaler sur ce qui fait tout le charme de la série (méchant mégalo, gadgets, james bond girls plus belles les unes que les autres, exotisme,...), on peut constater que "L'espion qui m'aimait reste une référence du film d'espionnage.Un scénario bien pensé, une love story entre un espion anglais et une espionne russe et un méchant devenu mythique en la personne de Requin, tout ces ingrédients donne à ce film une identité propre, sans oublier la BO qui reste l'une des plus riches de la série.Pour en revenir à son côté Bondien, "L'espion qui m'aimait" offre son lot de scènes d'action en montagne, en mer, sur terre, enfin partout quoi, des voitures sous-marines, des voyages fabuleux en Egypte ou encore dans les fonds marins,etc, etc."L'espion qui m'aimait" est un Bond pure souche ce qui le rend attrayant et divertissant mais ce qui ne lui permet pas d'atteindre les sommets car c'est bien connu, une recette réussie, la première fois ça surprend agréablement et même si on aime en reprendre, la surprise a disparue et la recette devient trop linéaire pour s'enthousiasmer à nouveau.
Un des meilleurs James Bond. Une belle collaboration entre l'agent britannique 007 (James Bond) et son homologue et charmante XXX from URSS. leur mission retrouver des sous-marins volés ! on est content de l'action, du charme de XXX et parce que c'est un James Bond, ce film est bien
N'en déplaise aux puristes, "L'Espion qui m'aimait" est probablement le meilleur James Bond qui soit. En effet, ici c'est Roger Moore qui est aux commandes et l'histoire n'est pas adaptée d'un roman de Ian Fleming. Cependant, il mérite quatre étoiles sur tous les plans : Les décors (des montagnes enneigées au désert égyptien, jusqu'aux profondeurs marines de la Sardaigne), le casting (Carl Jurgens en méchant impitoyable, caché dans son bunker aquatique en forme d'araignée, Caroline Munro, l'une des plus belles girls de la série, qui passe du charme vénéneux à la fusillade en hélicoptère, en passant par Barbara Bach et Richard Kiel, culte avec sa machoire d'acier) et l'histoire très riche qui nous conduit de l'intérieur d'un sous-marin à celui d'une voiture hypersophistiquée - comme le reste des gadgets. Les dialogues sont en outre excellents et les rebondissements nombreux. Vraiment, un grand moment de cinéma avec en prime la petite romance habituelle qui prend ici des allures de règlements de compte.
Sans doute le plus réussi des films joués par Moore, car le plus fidèle à l'esprit de la saga. Sans conteste une grande réussite, et un de mes préférés. Excellent !
L'Espion qui m'aimait est considéré comme l'un des meilleurs Bond avec Roger Moore et même l'un des meilleurs toutes périodes confondues et c'est à juste titre. On suit avec beaucoup de plaisir ce 10ème film qui se redirige vers une recette qui avait fait les succès de la période Connery, les 2 premiers 007 avec Moore étaient bons et divertissants mais peut-être plus sobres visuellement. Ce film fait dans la démesure avec le retour de Lewis Gilbert à la réalisation qui avait auparavant tourné On ne vit que deux fois avec son final haut en couleur. Ici on revient au grand mégalo qui veut détruire le monde (Curd Jürgens, son prénom est orthographié avec un T au générique et il s'est doublé lui-même pour la V.F.), des décors somptueux, un combat final grandiose, des gadgets dont surtout la présence d'une Lotus submersible, Barbara Bach en James Bond girls agent du KGB qui doit s'allier avec 007, sans oublier Caroline Munro (mais apparaissant que trop brièvement) au service du méchant, et un homme de main qui reste certainement à ce jour l'un des plus connus Richard Kiel (Jaws en V.O. ou Requin en V.F.) avec ses dents d'acier (quand j'étais petit il me faisait vraiment flipper). Quand à Roger Moore il est toujours impeccable, je le trouve parfois injustement critiqué alors qu'il a sans doute été le James Bond le plus sympathique à l'écran et même s'il se fait doubler il a assuré plus souvent qu'il n'est parfois dit lors des scènes d'action. Niveau musique, la B.O. en l'absence de John Barry sans être vilaine est moins mémorable que d'habitude mais la chanson ouvrant le film sur un beau générique est agréable à écouter. Niveau action on est remarquable servi que ce soit la poursuite en ski durant la scène de pré-générique, les affrontements entre Bond et les divers ennemis, les poursuites en véhicules très bien filmées et un final épatant. Il faut être vraiment difficile pour ne pas se divertir devant ce film
Très bon épisode. Roger Moore devient James Bond pour la troisième fois et il réussit à lui donner un nouveau souffle. Nous sommes proches de la parodie, mais bon il y a de très bonnes scènes d'action. Et le second méchant, Jaws, est d'anthologie.