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marsjajan
56 abonnés
795 critiques
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5,0
Publiée le 26 mai 2009
3éme James Bond avec Roger Moore, toujours aussi bien et avec toujours sa pointe d'humour célébre a la partie de cet acteur!! Ce nouveau film nous présente l'un des plus célébre énemi de James Bond en la personne de Requin!! Culte!
Bon, je ne suis vraiment pas fan de Roger Moore en James Bond mais que voulez-vous… Ce film est tellement le stéréotype de ces films « bigger than life » avec gros mégalomanes totalement pas crédibles que je ne peux pas m’empêcher de le revoir sans déplaisir. Je ne crie pas au génie, bien au contraire, mais le péché-mignon est clairement de mise pour cet « espion qui m’aimait ».
Le meilleur épisode des aventures de l'agent 007 dans la période Roger Moore. Cette fois James Bond et les services secrets britanniques doivent faire équipe avec le (ou plutôt la) meilleur(e) agent russe pour empêcher une destruction globale entre l'est et l'ouest. On retrouve dans cet épisode un humour omni-présent (sans être lourd comme ca a put être le cas dans certains épisodes avec Roger Moore), des décors démentiels (le pétrolier mangeur de sous-marin, ou la base flottante de Stromberg), de l'action (la poursuite avec la Lotus Esprit, la bataille dans le pétrolier géant), un méchant mégalomane digne des grandes heures du SPECTRE, un tueur indestructible et drole (l'inoubliable Requin, dont la performance est telle qu'il éclipse le méchant principal du film) et une James Bond's girl à la mesure de 007. Sans doute l'un des cinq meilleurs Bond.
Un bon James Bond ; cependant le film a pas mal vieilli, et aujourd'hui, il fait plutôt vieillot, ce qui n'est pas le cas d'un autre James Bond avec Roger Moore. Film à voir.
L'action et l'aventure sont mis en avant dans cette dixième mission de l'agen double. Lewis Gilbert ("We only live twice") réapparaît et signe une mise en scène non négligée, rythmée et dotée d'un suspense implacable. Aux côtés de Roger Moore, une Barabara Bach (révélée au monde entier par son rôle d'agent russe) magnifique en James Bond girl. Un scénario bien trouvé (l'infame Stromberg a dérobé deux sous-marins nucléaires, un russe et un anglais...) pour des situations qui s'enchaînent et se déchaînent rien que pour nos yeux. Curd Jürgens ("Le jour le plus long", "La bataille d'Angleterre"...) est parfait, plus retors que jamais, suivi par son homme de main, Requin, interprété par Richard Kiel, pour la première fois dans la saga, très bon lui aussi. Albert R. Broccoli reste présent en tant que producteur de "L'espion qui m'aimait" tandis que Harry Saltzman s'en va. La musique de Marvin Hamlisch ("L'arnaque", c'est lui !!) sonne très juste et peut bien être le digne successeur de John Barry. "The spy who loved me" est, pour conclure, un James Bond en bonne et dûe forme, qui ne s'arrête jamais. Spectateurs, gardez la bombe et le requin dans un coin, mais surtout pas dans le même !! Divertissement assuré.
Je dois avouer que celui ci est trés bien réalisé et sans doute le meilleur que Lewis Gilbert a fait des trois JB ,l'un des réalisateur des plus potaches de la comédie grinçant du 7eme art(Alphy avec Mickael Caine). On voit que le réalisateur à une complicité avec l'acteur principal et c'est l'époque ou Broccoli a créer son propre plateau 007 dans les studios de Pinewood en Angleterre l'équivalent d'Hollywood a los Angeles(USA)et c'est aussi dans ce studio qu'a été tourné les Superman avec le regretté Christopher Reeve. Dans L'espion qui m'aimait ou Roger Moore interprète pour la troisième fois JB est bien fait, à rendre jaloux Jules Verne tellement que les décors sont bien construits par k. Adam. C'est aussi la première fois que le scénario d'un JB a été changé par rapport au titre du roman de Ian Fleming ou l'espion n'apparaît que dans les dix dernière page du livre,car dans le roman c'est une héroïne française (Vivienne Michel) ce roman est particulier il est en trois étapes;Elle(l'héroïne),eux(les méchants),et lui(JB) je vous invite à lire cette petite curiosité. Le film ou pour la première fois à la façon d'Alfred Hichcoke l'un des nouveau producteur de la saga d'aujourd'hui(Mickael.G.Wilson bon fils de Broccoli) apparaît. Ce nouveau producteur à fait des études d'avocat et il connaît trés bien les romans de Ian Fleming.La diplomatie entre anglos-russe dans le rôle de Barbara Bach deuxième épouse de Ringo Star le bassiste des Beatles est excellent et sans doute l'un de ces meilleurs rôle d'une courte carrière cinématographique.Le seul problème du film est l'acteur principal toujours en train de parodier l'un des plus grand classique du cinéma(Lawrence d'Arabie) deux ou trois scène sont absurdes j'en cite une ;Sangdor l'un des tueurs tire la cravate de Moore sur le toit d'une grande maison avec un pied dans le vide mais c'est du moore (lol,humour). Ce film a trés bien marché au box office juste après un autre classique (Star Wars)
"The spy who loved me"(1977).Incontestablement le meilleur de la période Roger Moore.Qui ici oublie ses tics habituels pour devenir plus sérieux,tout en gardant son charme.Cela suffit à rendre crédible cette 10ème aventure,pleine de surprises et de suspense.Bond trouve son égal en une espionne russe déterminée(et sublime!).Leurs joutes verbales et confrontations d'ego alimentent une histoire particulièrement bien menée.Le britannique et la soviétique alliés pour le meilleur et le pire.L'ennemi se trouve retranché dans une structure sous-marine,en pleine mégalomanie nihiliste.Bond finit au fin fond des océans,à l'intérieur d'un gigantesque paquebot.On y voit Requin,tout le monde connaît ce géant aux dents métalliques.Séquence spectaculaire avec la Lotus Esprit transformée en sous-marin après un bond d'une falaise.Séquence drôlissime en plein désert avec Requin qui arrache la carrosserie d'un camion!Et je n'oublie pas le pré-générique de folie,ainsi que l'envoûtante BO "Nobody does it better":"Personne ne le fait mieux".Ca c'est sûr!Une référence bondienne.
voilà c’est ca qu’est bon c’est ca qu’on aime, ah yé, on a retrouvé dans ce meilleur Roger Moore l’ambiance originel des 007. Rien de tel qu’un bon vol de sous marins nucléaires américains et soviétiques pour relancer la franchise. Epique comme « bons baisers de Russie » et bourré d’action comme « opération tonnerre », « the spy who loved me » regroupe les éléments caractéristiques de la période Moore (humour omniprésent, et grande classe avec la James bond girl Anya Amasova agent du kgb jouée par Barbara Bach) et le meilleur de la période Connery (retour en force de la Vodka-Martini, décors grandioses, scénario épique). Beaucoup de voyages, un nouveau personnage, « Requin », un nouveau méchant original avec des grandes dents en acier. James Bond a enfin une voiture qui fait aussi sous marin (aaaah la Lotus amphibie), et Curd Jurgens fait un méchant magistral. Le final, sur l’eau et explosif, est vraiment d’enfer.
Incontestablement le meilleur film de l'ère Moore, en grande partie grâce au gigantisme des moyens, à la présence de Barbara Bach et la belle réalisation de Lewis Gilbert qui avait déjà montré sa valeur avec Only live twice. Après ça reste un JB classique (et les scories qui vont avec).
MAGNIFIQUE que dire de plus. un excellent opus avec un Roger Moore au sommet de sa forme et de son art qui a su relevé le défi de succéder au maître Sean Connery (Chose que daniel CRAIg a parfaitement échoué après l'excellent et sublime BROSNAN). L'humour est là, les gadgets aussi et l'histoire est crédible. Les cascades sont belles et bien filmées (tout le contraire de quantum of supplice.) Bref a conseillé à tous les fans de JB007. Ne regardez pas les 2 navets de D.CRAIG et appréciez les vrais James Bond 007.
Rien d'exceptionnel dans cet opus ni les décors ni l'action ni le rythme. Je préfère qui plus est Sean Connery dans le rôle mais le film se regarde sans déplaisir et la Sardaigne est très romantique.
le probleme avec roger moore c est qu il se prend pour bret sinclar des que la camera tourne .tres moyen . mais bon j avoue que je suis pas fan de mr moore alors je suis tres critique. c est la periode des bond irrealistes mais c est l epoque qui veur ca.a voir quand meme!!!
Après le très réussi "L'Homme au pistolet d'or", voici "L'espion qui m'aimait", troisième aventure de James Bond sous les traits de Roger Moore. La saga est ici à son meilleur : la mission menée par Bond nous emmène dans différents pays, Barbara Bach et son décolleté sont sublimes, le méchant est mégalo comme il faut, son homme de main est un géant aux dents d'acier (Requin, tellement apprécié qu'il reviendra dans "Moonraker") les gadgets sont au top et Moore est toujours en forme. Certes, il n'y a rien de bien nouveau et de profondément original mais on appréciera tout de même la relation entre Bond et son homologue soviétique ainsi que l'humour, toujours aussi présent. Un grand cru de la saga 007.
LE James Bond par excellence! Il y a tout, c'est bien simple : la decontraction de 007, les sous-marins disparus, le méchant megalomane voulant detruire New-York et Moscou, la base secréte du-dit méchant totalement improbable, la girl rivale de Bond car soviétique et j'en passe. Un grand film, dans l'esprit de ce que l'on attend d'un James Bond, sans doute l'un des meilleurs de la saga.
Tout, ce film a tout. Roger Moore tient enfin son personnage, decontraction face à toutes les situations, humour et remarques ironique. Il est à son sommet. Barbara bach en james bond girl est sublime et pas potiche pour un sou (ma préféré avec diana rigg). curt jurgens est tre bon dans le role du vialin et requin nous rejouit, l'indestructible homme de main reviendra d'ailleurs dans l'episode suivant. Ce film est un petit chef d'ouvre bondien, mon préféré sans doute de toute la série avec bons baisers de russie et au service secret de sa majesté. La sequence du pré generique est etourdissante, les scenes entre bond et barbara bach ossile entre l'humour piquant et le drame (quand elle lui parle de son epouse décédée et quand elle se rend compte que bond a tué l'homme qu'elle aimait). Quel film!