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NomdeZeus
89 abonnés
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4,0
Publiée le 16 juin 2012
Afin de retrouver 2 sous-marins nucléaires, James Bond se voit obligé de collaborer avec une charmante espionne russe sans savoir qu’il est responsable de la mort de son amant. Certains aspects du scénario rappellent de manière troublante On Ne Vit Que 2 Fois mais cela n’entache en rien la qualité de l’intrigue. Et pour cause, le film rempli largement ses quotas de courses poursuites, de jolies filles et de scènes d’actions mémorables. Et puis, cet épisode marque surtout l’entré en scène du méchant le plus charismatique de la saga: Requin!
Ça commence fort, le spectateur est tout de suite mis dans le bain par l'annonce de deux sous-marins nucléaires disparus. Si Lewis n'a pas réalisé de véritables chefs-d'œuvre, il a le mérite d'entrer dans le bain tout de suite a contrario des deux opus précédents (Vivre et laisser mourir et L'Homme au pistolet d'or) tournés par Guy Hamilton qui ne m'avaient pas emballé. Je retrouve cette fois, le vrai James Bond avec un Roger Moore preste et élégant. Albert Broccoli s'est séparé de Harry Saltzman, son co-producteur et a retrouvé sa liberté d'action laissant courir l'imagination du scénariste, ce qui donne un film tout en mouvement. De plus, si l'on retrouve les membres habituels du service, M le chef, Q le monsieur gadgets, et Moneypenny, la fidèle secrétaire di MI6 interprétée par Loïs Maxwell, qui perd de sa fraicheur mais est toujours aussi pimpante, Lewis Gilbert s'est adjoint les services de deux acteurs que l'on retrouve dans maintes productions : Curd Jurgens et surtout Richard Kiel dont le rôle de Requin immortalisera le personnage. Broccoli a fourni des moyens importants à Lewis Gilbert, ce qui a permis de réaliser un film à grand spectacle d'une grande qualité. Les décors sont somptueux, l'action est omniprésente, les sites naturels ravissent les yeux, les scènes en extérieur valent le déplacement, les cascades et les effets spéciaux sont particulièrement réussis. James Bond et l'agent Anya Amasova rivalisent de malice et de complicité pour notre plus grand plaisir. "The Spy Who Loved Me" est l'un des meilleurs James Bond qui soit.
Encore un très bon film dans cette saga.Roger Moore est encore une fois excellent et séduisant alors que Barbara Bach est aussi belle que froide.Le tandem est donc parfait.Quant à "Requin",l'acteur qui l'incarne est franchement bien choisi et très convaincant.Un peu déçue par Curd (Stromberg) qui est loin d'être le plus impressionnant des méchants dans la saga,d'ailleurs je trouve "Requin" plus imposant que lui. Le scénario est génial et les gadgets sont au rendez-vous.Pas mal de scènes spectaculaires aussi. Ce film fait partie des grands classiques de "James Bond". En revanche on repassera pour la bande originale,qui n'est pas terrible à mon goût.
« spoiler: Eh bien, eh bien... un agent britannique amoureux d'une agente russe. Détente, en effet. »
Une histoire inspirante de coopération anglo-soviétique pour révéler les manipulations d'un cerveau criminel qui veut raser New York et Moscou avec des missiles balistiques afin de régner sur son nouveau monde sous-marin.
Roger Moore incarne 007 avec toujours autant de talent, et Barbara Bach dans le rôle de la major Anya Amasova "L'Espion qui m'aimait" est la "James Bond girl" dont le personnage est le plus développé de la série.
Richard Kiel dans le rôle de "Jaws" est un second rôle captivant qui donne du mordant et Curd Jürgens honore le personnage de Karl Stromberg, un riche industriel, magnat du transport maritime, fondateur et PDG de la Stromberg Shipping Company et terroriste anarchiste.
Le style de mise en scène de Lewis Gilbert et le montage de John Glen mettent en valeur à la fois les brillantes performances des acteurs et le superbe travail de direction artistique de Ken Adam.
Enfin, une citation mémorable : « spoiler: Toutes ces plumes et il ne peut toujours pas voler ! », qui pourrait bien être la réplique la plus drôle de James Bond à ce jour.
L’espion qui m’aimait est certainement l’un des films de la saga James Bond le plus mauvais. Derrière la caméra on retrouve Lewis Gilbert et à l’affiche du film des acteurs comme Roger Moore, Curd Jürgens, Barbara Bach… Je précise tout de même que Roger Moore est parfait dans le rôle de James Bond, mais le problème du film est son scénario qui a mon goût manque un peu d’audace. C’est un film divertissant mais sans plus, 10 / 20.
1977. Assurément, la meilleure prestation de Roger Moore dans la peau du plus célèbre des espions. Le scénario semble reprendre la trame d’Opération Tonnerre, les missiles nucléaires remplacés par des sous-marins nucléaires… Barbara Bach est très convaincante en agent soviétique entêtée par sa vengeance envers 007, Richard Kiel alias «Requin» entre au panthéon des plus grands méchants du cinéma avec ses mâchoires d’acier et Curd Jurgens est un excellent Karl Stromberg, armateur mégalomane psychotique dont l’objectif est de créer un monde sous-marin ! Côté gadget, le scooter des mers fait son apparition. L’un des meilleurs épisodes de la saga James Bond indéniablement.
Enfin, il était temps que Guy Hamilton laisse la place, c'est Lewis Gilbert qui se charge de cet épisode, l'un des meilleurs avec sa petite rivalité entre un James Bond drôle et charmeur et sa "James Bond girl" sublime.
A l'origine James Bond devait affronter son pire ennemi (Ernst Stavro Blofeld), mais sans les droits d'utilisation c'est un dénommé Karl Stromberg qui s'y colle dans le rôle de l'antagoniste, et les influences du SPECTRE se ressentent grandement dans le style du film : un méchant mégalomane, un QG gigantesque et un homme de main terrifiant et indestructible. Même la James Bond Girl est intéressante : c'est une variante de l'agent 007 mais russe (de quoi faire jaser à l'époque). Ça ajoute une nouvelle dynamique a l'ensemble et James Bond a enfin quelqu'un (d'intelligent) avec qui partager son aventure.
3éme James Bond avec Roger Moore, toujours aussi bien et avec toujours sa pointe d'humour célébre a la partie de cet acteur!! Ce nouveau film nous présente l'un des plus célébre énemi de James Bond en la personne de Requin!! Culte!
Le meilleur Bond de l'ami Roger et surtout le plus complet. Pour une fois, l'acteur délaisse ses plaisanteries a deux balles au profit d'une interprétation plus sobre de 007 (c'est si rare, autant en profiter) ce qui donne l'occasion de très belles scènes où l'on en viendrait presque à oublier le bouffon bondien des deux épisodes précédents (l'évocation de la mort de sa femme par Anya). Grande innovation du film: l'entrée en scène d'une nouvelle catégorie de Bond girl, l'alter ego, ici interprétée par la sublimissime Barbara Bach, la plus efficace dans ce type de role à ce jour (même si son accent russe est pour le moins bancal). Sa rivalité avec Bond, exacerbée par le fait que celui ait sans doute tué son amant, sous tend tout le film et offre des dialogues percutants. L'espion qui m'aimait renoue avec la tradition des méchants bigger than life, notamment à l'aide de Jaws (Richard Kiel) et sa machoire d'acier. Curd Jurgens incarne quant a lui un mégalo original voulant recréer une société sous marine. Ceci dit, le pitch reprend quand même de nombreux éléments de "On ne vit que deux fois" avec le coup des missiles nucléaires. La démesure coutumière aux films de Bond est enfin de retour grâce aux décors soignés (rien que l'Atlantis, tentaculaire vaisseau de Stromberg vaut le coup d'oeil) qui accompagnent de l'action de qualité dans le supertanker (le "plateau 007" ayant été construit spécialement pour). Valeur ajoutée; la Lotus Esprit de Bond qui rivalise sans peine avec l'Aston Martin de Goldfinger. En gros, heureusement que ce film existe, la période Moore apparaitrait bien fade sinon. Enfin, c'est juste mon avis !
Assurément l’un des sommets de la franchise mais surtout le meilleur James Bond avec Roger Moore. A noter cependant que cette mission présente certaines similitudes avec celle de «on ne vit que deux fois» également réalisée d’ailleurs par Lewis Gilbert. Suite à la disparition d’un sous-marin nucléaire, les agences des services secrets britanniques et soviétiques s’unissent via leurs plus vaillants agents pour contrecarrer les plans d’un diabolique amateur du monde aquatique. Richement écrite, l’histoire de «l’Espion qui m’Aimait», tout comme sa mise en scène, se veut brillante, agrémentée d’efficaces et spectaculaires séquences d’actions. Un pré-générique vertigineux, une voiture amphibie mythique, de l'humour et des décors grandioses ainsi qu’un excellent casting, de la très belle Barbara Bach à Curd Jürgens, sans oublier Richard Kiel dans le rôle mémorable de "Jaws". Un must.
En 1977, le réalisateur Lewis Gilbert reprend les rennes pour ce dixième numéro de la saga « James Bond ». Et cela fait du bien après plusieurs épisodes franchement mauvais. En pleine guerre froide, le célèbre agent secret britannique est associé à une charmante espionne soviétique (Barbara Bach) pour retrouver des sous-marins disparus. Les scènes d’action sont plutôt réussies compte tenu d’un montage efficace et de l’utilisation de gadgets ingénieux (la Lotus amphibie notamment). Roger Moore impose enfin son élégance en tant que James Bond. Mais c’est également la présence du méchant au sourire carnassier (Richard Kiel) qui renforce l’intérêt de ce film. Bref, un des meilleurs opus.
Un des bons James Bond, le casting, le scénario, l intrigue du méchant "maître du monde", tout y est avec les scènes d actions qui font la marque de fabrique de la franchise