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Napoléon
142 abonnés
1 565 critiques
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2,5
Publiée le 19 mai 2022
Une solide mise en scène avec une interprétation très juste. Par contre, le rythme est très mou pour un scénario très limité où on admire juste le jeune Antoine Doinel essayant de trouver sa voie professionelle malgré son manque de talent.
Que dire de plus sur ce film admirable? L'années 68 s'y fait constamment sentir et l'on devine tous les combats qui se livrent à ce moment là, notamment pour la liberté du cinéma, de ses auteurs et de Henri Langlois. Les rôles secondaires sont à mon avis les plus intéressants et les plus drôles (mention spéciale pour Michel Lonsdale et Delphine Seyrig).
4eme film des aventures d'Antoine Doinel 9 ans se sont écoulés depuis les 400 coups , un doinel qui se cherche et débute dans la vie active .un film juste avec la superbe Claude Jade qui joue les jeunes filles innocente et la femme fatale et très parisienne chic interprétée par delphine Seyrig, un hymne à la sortie de l'adolescence pour pénétrer dans le monde des adultes, nous sommes juste après mai 68 d'où le clin d'oeil l de la scène de l'armée début du film, un hommage à Jacques Tati scène du métro ;un très beau film plein de légèreté avec un paris nostalgique bercé par le que reste-t-il de nos amours de charles trenet .
Troisième apparition du personnage d’Antoine Doinel après Les 400 coups (1959) et le moyen-métrage Antoine et Colette (1962), Baisers volés (1968) est un plaisir de tous les instants. Porté par de magnifiques acteurs (Jean-Pierre Léaud évidemment, Claude Jade, Delphine Seyrig,...) ce film inspiré de Balzac nous plonge dans les pérégrinations amoureuses et professionnelles d’un jeune homme constamment surprenant, dans le Paris de la fin des années 60. Frais, drôle (mais qui savait que Truffaut pouvait être si drôle ?), émouvant, bourré de trouvailles de mise en scène, ce long-métrage léger et poétique nous embarque au fil d’une histoire dont on souhaiterait qu’elle ne se finisse jamais. Avec une séquence mettant en scène un Michael Lonsdale génialement névrosé qui est à mourir de rire. Et une magnifique musique signée Antoine Duhamel, que complète la rengaine Que reste-t-il de nos amours ? de Charles Trenet. Un petit bijou, à la fois marqué par une époque délicieusement surannée et d’une modernité absolue.
Un tout petit film, dont malheureusement Truffaut, cinéaste dont la réputation et l’aura m’étonne, a été coutumier. Les incertitudes et déboires amoureux du personnage d’Antoine Doinel, ne dépassent pas la gentille anecdote. Seules surnagent quelques bons mots (comme la différence entre la politesse et le tact) et la chanson de Charles Trenet, qui crée à elle seule la nostalgie visée par le film.
Encore un bon film de Francois Truffaut, je ne les ai pas encore tous vu mais à part "Tirez sur le pianiste" je ne vois pas d'ombre au tableau. Jean Pierre Leaud pète encore le feu, je ne sais pas ce que je préfère chez Truffaut, lui et ses films ou son acteur fétiche Jean Pierre Léaud, beaucoup d'homme toute génération confondu se sont un jour reconnu dans les actions ou les paroles de Jean pierre Léaud ! Il joue là un jeune homme qui bouffe la vie à pleine dents, le minimum que l'on pouvait attendre du tandem Léaud-Truffaut. Cette fois peut être plus qu'ailleurs Paris y est célébré, la capitale rayonne sous la caméra de Truffaut, la ville semble joyeuse, la période années 60-70 semble avoir été plutôt bien retranscrite ici. L'humour, la mise en scène, la direction d'acteur, le sentiment de bien être, une nouvelle fois tout est réuni dans ce film du grand François.
"Baisers volés" marque les débuts dans la vie adulte, après "Les quatre cents coups" (et le sketche du film collectif "L'amour à 20 ans"), d'Antoine Doinel. Tout juste réformé du service militaire pour insoumlssion- une des références autobiographiques bien connues de François Truffaut- Antoine aborde l'existence aussi démuni que désinvolte.spoiler: Il renoue avec Christine, jeune fille de bonne famille, et multipliera les petits boulots.
Ainsi se présente le quotidien bohème d'Antoine Doinel. Celui-ci ne poursuit aucun but, aucun projet préconçu; de cette vie professionnelle chaotique et des hésitations sentimentales de Doinel, François Truffaut fait un récit plein d'humour, de charme et de subtilité. L'irrésolution amoureuse ou les coups de foudre d'Antoine déterminent un parcours initiatique, voire un marivaudage, où le héros est simultanément attiré spoiler: par la grâce virginale de Christine, affolé par la beauté d'une femme plus agée ...et client des prostituées.
Le talent de Truffaut est d'entourer son personnage de seconds rôles cocasses, originaux sans être extravagants, et chacun d'eux, par de simples expressions et par la justesse de la mise en scène et de la direction d'acteurs, existe pleinement, témoigne d'une vérité qui l'éloigne de toute bouffonnerie ou caricature. Chacun règle son compte au cinéma de papa décrié par Truffaut... Au bout du compte, les uns et les autres n'expriment-ils pas une quête de l'amour, jusqu'au spoiler: mariage pour ce qui concerne Antoine Doinel?
J'ai bien aimé ce film de François Truffaut. 'Baisers volés' possède un visuel travaillé, et une belle réalisation. De plus, le scénario parvient à nous toucher grâce à sa simplicité, et sa sincérité. Se qui fait qu'on s'identifie sans aucune difficulté au personne d'Antoine ! A voir.
Peu de choses volés en ce cas présent, puisque le héros passe la plupart de son temps à payer pour obtenir ce qu'il veut; quand le récit n'est pas encombré par des episodes fictionnels + ou - heureux sinon mièvres. Toutefois il est vrai que l'ensemble a peu vieilli dans le genre.
Ce volet des aventures de Antoine Doisnel est sympa mais je n'ai rien trouvé d'emballant. Claude Jade et Delphine Seyrig sont lumineuses et il y a plusieurs jolies répliques.
Le film de Truffaut le plux complexe de sa Filmographie. Un film de romance assez spéciale et originale. Truffaut nous montre une approche différente de nous présenter l'amour. Que dire de la mise en scène de Truffaut qui est très réussi dans ce film. Bon surprise et je pense qu'il peut être apprécié par plusieurs visionnages. Un bon Truffaut
Revu en effet bien meilleur que dans mes souvenirs, déjà je suis me pas ennui c'est toujours sa, déjà la BO est top, cote acteur on a un très bon Jean-Pierre Léaud, se rôle d'Antoine doinel lui va vraiment bien et cote actrice, il y a la belle Delphine Seyrig malgré le peu de présence c'est sans doute sa Perf qui aurait marque, cote casting je la préfère mémé à Claude Jade, qui elle pour le coute ma vraiment pas marque, le souci je ne me suis pas ennui certes mais pas passionné plus que sa, et pourtant je trouve certains dialogues très beaux comme l'homme a la fin, et quelle scène qui m'ont fait sourit, en bref j'aime bien, mais j'ai peur dans quel jour il reste plus grand-chose de ce film.
Pas le meilleur "Doinel" mais de jolies séquences ponctuent cette succession de vignettes.Le film n'a pas vraiment de structure narrative et se voit comme des épisodes de la vie d'Antoine Doinel.Certains ont beaucoup vieilli mais d'autres sont encore assez poétiques et bien vus comme les dernières scènes du film avec la belle Delphine Seyrig et la délicieuse Claude Jade.Jean-Pierre Léaud s'écoute un peu trop jouer et ne parait pas assez mature...mais c'est peut-etre le role qui demande cela.Toujours est-il que ce film est toujours plaisant à revoir et apporte beaucoup de fraicheur.
La vie professionnelle et sentimentale toujours aussi mouvementée d'Antoine Doinel, le héros de Truffaut qui passe d'un métier à l'autre sans réussir à se caser avec Christine (Claude Jade, très convaincante), la femme qu'il aime. D'une maîtrise technique et narrative toujours aussi parfaite, François Truffaut en tire le meilleur à travers un déluge de scènes à la fois droles et tendres. Une fois de plus, Truffaut a frappé très fort !
Les années avant mai 68, Charles Trenet, le courrier par pneumatiques, la DS, les petits boulots et les amours difficiles... Un bon Truffaut, suite des 400 coups, original et tendre, qui sonne juste, avec une touche de poésie, et une Delphine Seyrig aussi éclatante qu’elle sera deux ans plus tard dans le téléfilm « Le Lys dans la vallée » tiré du roman de Balzac dont il se serait inspiré.