Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Trafico met en scène un art de la dérision dont la principale mission consiste à révéler une mise en scène préalable, celle-là même de la société, dont les usages sont régis par le faux-semblant, l'artifice et les rapports de force.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Olivier Séguret
Jamais l'ahurissant échafaudage élevé par Tráfico ne paraît décousu. Son babélisme est un modèle d'équilibre aérien et léger.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
par Sandrine Chicaud
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Stéphanie Lamome
Malgré de bonnes idées stylistiques et narratives, il ne suffit pas de flanquer des cheveux rouges à un personnage pour qu'on ait envie de gratter sous la perruque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Vincent Rémy
Tráfico, qui emprunte son titre à Tati, ses hallucinations à Buñuel et tout le reste à un Botelho "nettoyé" de sa mélancolie, est une farce féroce, où le cinéaste pratique le récit à saute-mouton.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Trafico met en scène un art de la dérision dont la principale mission consiste à révéler une mise en scène préalable, celle-là même de la société, dont les usages sont régis par le faux-semblant, l'artifice et les rapports de force.
Libération
Jamais l'ahurissant échafaudage élevé par Tráfico ne paraît décousu. Son babélisme est un modèle d'équilibre aérien et léger.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Malgré de bonnes idées stylistiques et narratives, il ne suffit pas de flanquer des cheveux rouges à un personnage pour qu'on ait envie de gratter sous la perruque.
Télérama
Tráfico, qui emprunte son titre à Tati, ses hallucinations à Buñuel et tout le reste à un Botelho "nettoyé" de sa mélancolie, est une farce féroce, où le cinéaste pratique le récit à saute-mouton.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr