Une interprétation magistrale de la part de Gary Oldman qui incarne avec brio le génial compositeur Beethoven. En fond la musique du maestro nous porte tout au long de cette biographie romantique envoutante.
Gary Oldman ne cesse donc jamais de surprendre. Il porte ce film à lui tout seul en incarnant le rôle de Ludwig van Beethoven une biographie qui n'expose pas Beethoven (le musicien virtuose) et les différentes uvres quil a composées mais qui parle plutôt de Beethoven (lhomme) et des femmes qui ont comptées pour lui. Pour le reste, la mise en scène (restitution de la période XVIIIe) nest pas mal du tout, les seconds rôles plutôt bons (Isabella Rosselini, Valeria Golino etc.). Un film correct.
Encore un film ou Gary Oldman m'a bluffée par son immense talent.Je ne comprends pas que cet acteur ne soit pas reconnu comme il le merite. Il est excellent dans bien des scenes ,mais une qui m'a particulièrement marquée est celle ou il joue la "sonate au clair de lune",la tete posée sur le piano.Sans un mot ,il nous transmet une réèlle émotion.Il est boulversant. Ce film raconte une magnifique histoire d'amour(inventée?)de deux personnages qui ont passé leur vie a se detester jusqu'a la mort a cause d'un stupide malentendu,et quand on regarde le film en connaissant la fin ,chaque scene prend un sens different...
La musique. Que dire ? C'est la plus belle de l'histoire de l'humanité. Gary Oldman. Un monstre de romantisme, brûlant et ténébreux. Le scénario, convenu mais élégant, capte intensément la souffrance, les conflits beethovéniens. Les décors sont magistraux. Certaines scènes sont sublimes.
Porté à bout de bras par un Gary Oldman d'une incroyable intensité, ce film nous fait découvrir la face caché d'un génie incompris. C'est mélancolique,beau, émouvant......Comme la musique de Beethoven, qui donne à ce film une dimension lyrique et intemporelle.
Un film d'une mélancolie extrême. Une histoire d'amour grandiose entre un génie et la femme qu'il aime à travers sa musique. Ce film est le chef d'oeuvre de Bernard Rose. Gary Oldman est époustouflant dans le rôle du maître. Isabella Rosselini est divine... Un grand moment d'images, de musiques. Un spectacle qu'on oubliera jamais !
Même si l'on s'éloigne de la réalité biographique (l'identité de l'immortelle bien-aimée est toujours inconnue et en tout cas Johanna van Beethoven n'est pas envisageable...), le film est très bien réalisé, la musique superbe, l'histoire prenante et Gary Oldman parfait dans le rôle du Génie...
Splendide Oldman ! Mais j'eusse préféré que Beethoven soit muet ! Evidemment on est très loin de ce coup de maitre qu'est Amadeus. Celà viendrait-il du fait que ce dernier soit une "adaptation libre" de la vie de Mozart, rendant le sujet plus étoffé et attrayant ? Toujours est-il qu'il n'y a pas, du moins dans la réalisation et dans le scénario, cette fougue dévastatrice qui fit le succès d'Amadeus et ce, malgré la splendide et non moins charismatique interprétation de Oldman. Ici, le propos semble vide, nous n'avons qu'une histoire d'amour où la musique n'est que simple support aux situations... Contrairement à Amadeus où chaque composition sert magnifiquement le propos, se confond avec lui, en fait partie intégrante au point d'en être indissociable. En résumé: il sagit d'une love story dramatique assez ennuyante manquant terriblement de rebondissement pour un personnage dont la vie et le caractère furent pourtant aussi passionnants et passionnés que sa musique.
J'ai beaucoup aimé ce film en tant que pianiste qui apprécie énormément le génie Beethoven, pour le jeux d'acteur formidable de Gary Oldman (que j'adore), pour toute la musique qui scande le film...
Eau de rose, coucheries et compagnie... "Il n'y a qu'un seul Beethoven!". Certes, et comme il avait raison, et mieux vaut pour le cher Tonton Ludwig être sourd. Mais néanmoins je ne me refuse pas à exploiter une séquence de ce film en cours d'Education Musicale (3è). Même si le piano Brodwood n'est pas accordé, il est curieux d'entendre la sublime interprétation (Alfred Brendel?...) de la Sonate Clair de Lune et la "découverte" pour le moins "pathétique" (et vlan que je te sers la dite sonate en fond sonore!)de sa surdité. Ach Ludwig van B?... Gross Malheur (comme dira plus tard Gustav... Mahler!).