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Votre avis sur Michael ?
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bsalvert
Un film qui ne reste pas dans les annales. John Travolta joue au minimum et l'histoire tient peu la route.
Une comédie pétillante, drôle et émouvante de Nora Ephron avec un John Travolta touchant de légèreté et d'humour dans ce rôle d'ange qui n'est finalement pas un saint. Les autres acteurs qui constituent ce casting de pointe (William Hurt, Andy McDowell...) sont à leur aise et semblent réellement s'amuser, tout comme nous d'ailleurs.
Michael est le film où John Travolta joue un ange mais cela n'a aucun sens. Comment l'acteur de La fièvre du samedi soir ou celui de Grease et le tueur à gages de Pulp Fiction peut-ils être pris au sérieux en tant qu'ange. Eh bien c'est peut-être le seul l'intérêt du film. Les anges prennent des formes mystérieuses et vous devez avoir une foi totale même si ça n'a pas de sens. Ainsi lorsque John boit fume et apparaît comme le contraire de ce que l'on attend d'un ange il faut renforcer sa foi et continuer à croire. Si vous n'êtes pas d'humeur à cela et que vous préférez que vos anges ressemblent et agissent comme Cary Grant vous n'aimerez pas ce film. John vit avec Jean Stapleton et lorsqu'un journal a vent de cette histoire absurde il envoie un groupe de reporters pour vérifier. William Hurt, Andie MacDowell et Robert Pastorelli forment l'équipe sceptique qui est la première à voir les ailes plumeuses de John sortir de son dos. Avec une telle preuve sous les yeux ils sont obligés de le croire n'est ce pas. Vous devrez regarder le film pour savoir comment ils réagissent à son égard mais gardez à l'esprit que c'est un peu étrange. Je n'ai pas aimé ce film mais là encore moi je suis plutôt du genre Cary Grant...
Santu2b
Sorti en 1996, "Michael" n'est pas la meilleure comédie de Nora Ephron. Le film, pourtant assorti d'un beau casting, se réduit néanmoins à une idée de départ intéressante, peu ou pas exploitée par la suite. La perspective de voir John Travolta en ange ne tient pas ses promesses, hormis le fait de constater combien l'acteur a pris du poids pour ce rôle. On aurait aimé de sa part davantage de mordant et de décalé. Mais c'est plus globalement tout le film qui se situe en deçà des attentes : à peine y tirera-t-on un sourire de temps en temps. Les trouvailles scénaristiques sont aux abonnés absents. Ce sont plutôt les poncifs de la comédie romantique qui font surface, avec immanquablement la bluette amoureuse en fin de partie. On espérait un film décalé, on a eu droit à un road movie bien creux.
"Michael", comédie fantastique américaine réalisée par Nora Ephron, sortie en 1996.
Un film bien réalisé avec une bonne distribution : John Travolta, Andie MacDowell, William Hurt, Robert Pastorelli et Bob Hoskins (plus le chien). Une comédie fantastique, mais aussi romantique, un road-movie très sympathique.
Un film bien réalisé avec une bonne distribution : John Travolta, Andie MacDowell, William Hurt, Robert Pastorelli et Bob Hoskins (plus le chien). Une comédie fantastique, mais aussi romantique, un road-movie très sympathique.
Une équipe de journalistes part dans la cambrousse américaine sur les traces d'un ange installé chez une vieille dame. Sorti pour Noël 1996 aux États-Unis, cette comédie réalisée part une spécialiste du genre avait été un gros succès là-bas. On se demande pourquoi...le scénario tente d'entremêler des situations rocambolesques ou attendrissantes dans un fatras de mièvrerie et de spiritualité. Tout cela n'a finalement aucun sens, les situations s'enchaînent sans qu'il y ait un véritable fil conducteur. Les personnages ne sont pas mieux lotis, pourtant interprétés par des acteurs sympas.Alors au top de sa carrière, John Travolta cabotine comme jamais.
Une comédie assez curieuse et singulière dans la forme comme dans son propos, mais qui ne rime à rien.
Une comédie assez curieuse et singulière dans la forme comme dans son propos, mais qui ne rime à rien.
Malgré un casting de choix, "Michael" n'est certainement pas la meilleure comédie de la regrettée Nora Ephron, mais elle reste plaisante à regarder.
Travolta en archange aux manières peu conventionnelles fait sourire . Il manque toutefois un bon scénario (celui-ci est beaucoup trop creux) pour en faire une comédie marquante !
Travolta en archange aux manières peu conventionnelles fait sourire . Il manque toutefois un bon scénario (celui-ci est beaucoup trop creux) pour en faire une comédie marquante !
NeoLain
L'archange Travolta se tape des Corn flakes à pleine cuillère comme un porc. Il danse aussi et il danse, c'est quand même une de ses signatures notamment sur un morceau avec des filles qu'il hypnotise. Que dire de le voir crier "bataille" !!! par exemple lors d'une baston dans un bar ou pour foncer tout droit devant un taureau, je vous cite le positif. Quand au final du film, c'est faible, la mission de Michael est mise d'une façon très simpliste.
Audrey L
Comment ne pas sourire dans la scène (longue) où tous les personnages dissertent sur les tartes, ces curieux desserts à la fois gourmands et très sucrés (astuce : mettre deux fois moins de sucre que dans la recette), alors qu'on cherchait jusque-là un adjectif pour qualifier ce film incroyablement niais et bienpensant. Voilà, c'est exactement ça : le film est tarte. Michael est un film où l'on suit un ange (un vrai, avec des ailes dans le dos) incarné par John Travolta, interviewé par trois journalistes (et leur petit chien, c'est très important pour la fin) pour écrire un article dans leur journal qui s'intéresse aux phénomènes paranormaux. Sauf que l'ange Michael ne ressemble pas à un ange, et sa présentation au spectateur, sans aucune finesse, nous le fait comprendre : il est en slibard, et va se chercher une bière en se grattant les parties. Ce n'est pas forcément ce qu'on voit sur les vitraux, ou aux cours de cathé. Le principe est peut-être drôle, mais la réalisation est loin d'être bonne : le film accuse un rythme faiblard (il ne se passe rien, les journalistes baladent l'ange en voiture, et vont manger des tartes), John Travolta a l'air constamment "parti" dans les limbes (il fait semblant de boire... non ?), et la construction narrative est tellement cucul qu'on peut prédire la fin sans se tromper (ambiance mauvais téléfilm Disney Channel). Alors, comme on remarque que le chien ne sert à rien depuis le début, mais qu'on nous en rebat les oreilles de son "importance" pour le journaliste, qu'on voit que l'ange ne sera "angélique" de nouveau que quand il aura réussi un vrai acte de bonté... Oui, vous avez déjà commencé à sentir le coup-fourré arriver :
spoiler:
le chien se fait renverser par la seule voiture qui passe sur cette départementale dans la semaine, et Michael se sacrifie en le ressuscitant.
Oui, c'est déjà un peu niais, mais ce n'est que la phase 1 de la happy-end, puisque les spoiler: journalistes finissent avec de meilleurs jobs que le précédents
(les 5 minutes où Bob Hoskins est en réalité dans ce film, c'est pour cette fin tirée par les cheveux, ou plutôt par le bas du pantalon), et phase 3 : spoiler: les deux journalistes principaux se retrouvent et tombent amoureux.
C'est-y-pas-mignon... Soupir. Michael est un film plus qu'épuisant avec sa niaiserie constante, son manque cruel d'humour décapant (il y avait tellement de bonnes vannes grinçantes à faire, mais non, le film reste dans des blagues gentillettes), et un final qui conclut le tout d'encore plus de guimauve. Mieux vaut avoir la tarte dans l'assiette, qu'être tarte.
Oui, c'est déjà un peu niais, mais ce n'est que la phase 1 de la happy-end, puisque les spoiler: journalistes finissent avec de meilleurs jobs que le précédents
(les 5 minutes où Bob Hoskins est en réalité dans ce film, c'est pour cette fin tirée par les cheveux, ou plutôt par le bas du pantalon), et phase 3 : spoiler: les deux journalistes principaux se retrouvent et tombent amoureux.
C'est-y-pas-mignon... Soupir. Michael est un film plus qu'épuisant avec sa niaiserie constante, son manque cruel d'humour décapant (il y avait tellement de bonnes vannes grinçantes à faire, mais non, le film reste dans des blagues gentillettes), et un final qui conclut le tout d'encore plus de guimauve. Mieux vaut avoir la tarte dans l'assiette, qu'être tarte.
Bon film qui m'a beaucoup plu.Bonne comedie a la fois dramatique et fantastique avec beaucoup d'emotion.
A voir absolument.
A voir absolument.
🎬 RENGER 📼
Avec à peine dix films au conteur, la réalisatrice Nora Ephron aura connu des hauts et des bas du métier. A en voir sa filmographie, les échecs sont plus souvent présents que les réussites, comme Mixed Nuts (1994), Le Bon Numéro (2001) avec John Travolta ou encore le pitoyable Ma sorcière bien-aimée (2005), seul Vous avez un message (1999) s’en sort avec les honneurs !
Car même Michael (1997) n’arrive pas à nous satisfaire, c’est pourtant regrettable, car avec une distribution aussi alléchante, on s’attendait à une bien belle comédie. Au lieu de cela, le ridicule s’impose dans cette comédie délurée, qui n’a aucun sens, pour ne pas dire vide (de sens). On suit des protagonistes dans leurs périples, où aventures et histoires amoureuses essayent tant bien que mal de nous distraire. Mais le scénario est tellement plat que finalement, le seul atout du film ne réside non pas grâce aux prestations de Bob Hoskins, William Hurt ou encore Andie MacDowell, mais plutôt grâce à John Travolta qui de justesse ne nous fera pas trop regretter cette perte de temps.
Car même Michael (1997) n’arrive pas à nous satisfaire, c’est pourtant regrettable, car avec une distribution aussi alléchante, on s’attendait à une bien belle comédie. Au lieu de cela, le ridicule s’impose dans cette comédie délurée, qui n’a aucun sens, pour ne pas dire vide (de sens). On suit des protagonistes dans leurs périples, où aventures et histoires amoureuses essayent tant bien que mal de nous distraire. Mais le scénario est tellement plat que finalement, le seul atout du film ne réside non pas grâce aux prestations de Bob Hoskins, William Hurt ou encore Andie MacDowell, mais plutôt grâce à John Travolta qui de justesse ne nous fera pas trop regretter cette perte de temps.
J'ai assez hésité pour cette note mais bon, avec Travolta, Andie Mac Dowelle et John Hurt qui s'amusent là-dedans, j'ai décidé de mettre un peu au dessus. Surtout que l'histoire est un joli conte, un peu facile mais ça se laisse regarder avec tellement de facilité...
John Travolta est un ange, oui, mais pas un saint: dans "Michael", il boit, fume, danse et se bagarre à la moindre occasion! Envoyè sur Terre pour sauver la belle Andie MacDowell (il faut la voir chanter dans un saloon) et William Hurt, il ne pense en fait qu'à s'amuser dans les casinos et à regarder la tèlè en slip avec son bide et sa barbe de trois jours...Cet ange loufoque et sympathique n'a donc rien de très chrètien! ça ne l'empêche pas de mener à tire-d'aile cette comèdie pètillante, d'accomplir quelques miracles (quelques jolis pas de danse aussi) et de parodier joyeusement "Les routes du paradis"! Un joli moment en perspective...
Comment ne pas apprécier ce film? C'est léger, touchant, agréable, drôle, dynamique et à aucun moment on ne s'ennuie à suivre ce road-movie rural et angélique. Et en prime nous avons droit à un excellent casting, alors que demander de plus?
Le scénario était aguichant. La réalisation l'est moins. Si le sujet d'un ange qui n'est pas un saint était parfaitement exploitable, certaines scènes créées juste pour valoriser Travolta danseur et attirant toutes les femmes à lui, d’autres pour mettre en avant le visage de McDowel comme canon de beauté imposé alors qu'elle demeure totalement quelconque, ajoutent de la lourdeur à une histoire qui perd de son sens et devient brouillon par moment. Film divertissant et tous publics à regarder dans son salon exclusivement.
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