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Une curiosité qui date de 93, car la même année Samuel L Jackson se retrouvait dans Jurassic Parc, et True Romance, en ce qui concerne Nicolas Cage, il avait déjà commis Sailor & Lula ou Arizona Dream; alors qu'est-ce qu'ils font dans ce petit film, presque un téléfilm.
Dès les premières notes de musique on sait que l'on va être dans le burlesque, ces flics de patelins qui jouent à John Wayne, le voisinage bien sous tout rapport légèrement bourré de stéréotype et un tantinet raciste; la communauté afro-américaine qui en rajoute une couche. Ce n'est pas complétement mauvais, mais c'est quand même un peu pénible à regarder. Deux décors, des gags qui se répètent, aucun style, d'une bêtise sans non, alors effectivement, on se demande comment ses deux pointures se retrouve là, d'autant plus qu'il y a une ribambelle de second rôles que l'on reconnait et qui sont d'ordinaire pas si mauvais. On a affaire à un film certainement réalisé avec peu de moyen, qui a été fait peut-être pour réaliser une clause d'un contrat, il n'en reste juste qu'une curiosité si l'on veut voir l'ensemble des "œuvres" des deux acteurs principaux.
Dès les premières notes de musique on sait que l'on va être dans le burlesque, ces flics de patelins qui jouent à John Wayne, le voisinage bien sous tout rapport légèrement bourré de stéréotype et un tantinet raciste; la communauté afro-américaine qui en rajoute une couche. Ce n'est pas complétement mauvais, mais c'est quand même un peu pénible à regarder. Deux décors, des gags qui se répètent, aucun style, d'une bêtise sans non, alors effectivement, on se demande comment ses deux pointures se retrouve là, d'autant plus qu'il y a une ribambelle de second rôles que l'on reconnait et qui sont d'ordinaire pas si mauvais. On a affaire à un film certainement réalisé avec peu de moyen, qui a été fait peut-être pour réaliser une clause d'un contrat, il n'en reste juste qu'une curiosité si l'on veut voir l'ensemble des "œuvres" des deux acteurs principaux.
J'ai eu un coup de cœur pour ce film plutôt bien réalisé avec un excellent Nicolas Cage, Samuel L. Jackson étant un peu en deçà, en revanche le personnage interprété par Michael Lerner est fort bien vu dans le genre je ne suis pas raciste mais je le suis quand même. Alors justement puisque le racisme est le filigrane du film, il est fort bien montré dans sa cruelle banalité mais là où le film est très fort c'est qu'il ne nous fait pas le coup du manichéisme et critique tout autant "l'antiracisme de posture". Il fallait oser le faire et c'est peut-être ça qui a déplu aux américains d'autant que tout cela est traité sur le ton de la comédie. A découvrir.
Pour un film acheté à moins d'un euro, Amos et Andrew est un film que j'ai beaucoup apprécié de par le nombre de malentendus comique que l'on peut y retrouver.
Amos & Andrew : Oui c’est vrai, ne vous fiez pas a la jaquette car elle ne correspond pas au film, ils n’ont pas ce look. Mais a part ça, je suis content d’avoir vu cette comédie policier, je l’ai trouvé a 30 centimes et vraiment, c’est une bonne surprise et vu les images derrière, ça peut toujours craindre. Ce qui ma fait regardais, c’est le casting qui fait vendre et rêver : Samuel L. Jackson et Nicolas Cage qui sont décontractés et impeccables dans leurs rôles, il forme un bon duo, surtout Samuel L. Jackson qui a toujours un personnage « raciste » car on dirait que tout ce qui est mauvais dans sa vie, qui ne va pas c’est parce que il est noir. C’est en partie vrai dans ce film et c’est ça qui est délirant. Car, il revint tranquillement chez lui, il se repose et emménagé pépère jusqu'à deux blancs, de commères de la ville le surprend et pense qui a rien à faire la et qu’il est en train de volé. Et c’est la que la police arrive, qui vont lui tiré dessus et petit a petit, ils vont comprendre l’erreur mais comme la police est fier, ils vont arranger le coup a leur manière… Donc voila, scénario délirant avec pas mal de situations cocasses qui rend la police assez ridicule, mais les otages et les « malfrats » vont être ridicule dans cette énorme bourde, enfin, c’est tourné en dérision et c’est marrant a voir. Donc voila, une bonne comédie, le duo marche bien, c’est délirant donc franchement, c’est une bonne surprise.
La violence des clichés de ce film m'a fait mal. Quel que soit le niveau de cliché, que ce soit dans le script, les paroles toutes montées (sérieux, les dialogues les plus basiques du monde), l'enchaînement des plans, la musique, c'en est vraiment trop... Amos & Andrew est digne d'un film de série B des années 80. Je l'ai regardé parce que j'adore Samuel Jaskson et j'apprécie Nicolas Cage bien que ses films ne soient pas dignes d'un acteur d'une parfaite renommée. C'est un bon navet que j'aurais oublié demain matin.
Pourquoi le nom d'Andrew Sterling ne vous dit pas grand chose ? Parce qu'on oublie neuf fois sur dix ce qu'il fait dans la vie, mais on est sûr d'une chose ? C'est qu'il est Noir! Avec toute cette agitation de quartier, on s'ennuie tout de même beaucoup dans cette comèdie essoufflèe et prèvisible de bout en bout! Nicolas Cage (Amos / deux condamnations pour ivresse publique et une pour dèlit sur mineure) et Samuel L. Jackson (Andrew / ècrivain noir qui ne demande que la calme et qu'on a connu dans de meilleurs jours) font le minimum syndical! Le voisinage est assez ridicule (le masque et la muselière sado maso donnent le niveau, c'est dire), les flics aussi, si ce n'est pire! Et puis quelle tristesse de voir un acteur comme Brad Dourif dans l'art du camouflage, obligè de jouer n'importe quoi pour payer ses factures! On sauvera les scènes entre Nicolas Cage et la craquante Aimee Graham qui roucoulent avec conviction vers un Canada qui verront peut-être ensemble (?). On l'espère en tout cas même si le final ne nous le dit pas...
1993 est une dure année pour Nicolas Cage : il est à la fois à l'affiche du pitoyable Deadfall - Les Pros de l'arnaque et à celle de ce Amos & Andrew, deux films qui ne sortiront en France que directement en vidéo dans l'indifférence la plus totale. Même aux États-Unis, les films ont fait un flop. Sorti de la sympatoche comédie Lune de miel à Las Vegas, Cage enchaine donc avec ce buddy-movie du pauvre écrit et réalisé par un sombre inconnu dont c'est le premier long-métrage et partage l'affiche avec Samuel L. Jackson qui continue quant à lui de tenir l'un des premiers rôles après Alarme Fatale, sorti la même année... Le postulat de départ est pourtant rigolo : un célèbre écrivain noir débarque dans une petite ville du Sud où il vient d'acheter une maison de campagne mais est pris pour un cambrioleur par ses voisins, conservateurs trop curieux. La police surenchérit dans la bavure en l'imaginant preneur d'otages. Pour éviter de salir son image, cette dernière va introduire un véritable prisonnier dans la maison en faisant croire à la presse que c'est un blanc qui est le véritable preneur d'otages, évitant dès lors toute polémique de racisme. Hélas, cet enchaînement de quiproquos s'avère intense au début mais retombe vite à plat une fois la péripétie commencée. Le manque de savoir-faire, les dialogues sans réel panache et l'absence totale de direction d'acteurs empêchent le film d'être clairement captivant. Ainsi, alors que Nicolas Cage continue d'en faire des tonnes en taulard allumé, Samuel L. Jackson semble s'ennuyer comme un rat mort. Le casting est heureusement sauvé par la présence au générique de Dabney Coleman (WarGames,Tootsie) et Brad Dourif (inoubliable Chucky dans la saga éponyme) en policiers gaffeurs ainsi que de Michael Lerner (Barton Fink) et Margaret Colin (Trois hommes et un bébé) en voisins mal intentionnés. Ainsi, cette prise d'otages virant au vaudeville s'avère un tant soit peu distrayante mais aucune scène ne la rendra mémorable (alors qu'il y avait matière à en faire une bonne comédie bien déjantée). À classer parmi les erreurs de parcours des deux stars, sans aucun doute.
Quand on sait qu'il existe encore de nos jours des orientations ségrégationnistes dans certains états (officieuses, bien entendu), par ex dans certaines écoles ou encore dans les prisons, ce film qui a manifestement vieilli, nous propose une satire du manichéisme ordinaire, ou pour dire les choses autrement, que personne n'est tout blanc ou tout noir. On regrettera certaines scènes grand-guignolesques qui nuisent à d'autres passages empreints d'humour...noir.
Sur le même genre de sujet, on préférera le dramatique chef-d'oeuvre "Mississippi burning d' Alan parker avec Gene Hackman (1988) ou encore les délicieux "Driving miss daisy" avec Morgan Freeman (1989) et "Fried green tomatoes" avec Kathy Bates (1991).
Amos & Andrew reste un film à regarder, ne serais ce que pour voir Samuel L. Jackson avec des cheveux!
Sur le même genre de sujet, on préférera le dramatique chef-d'oeuvre "Mississippi burning d' Alan parker avec Gene Hackman (1988) ou encore les délicieux "Driving miss daisy" avec Morgan Freeman (1989) et "Fried green tomatoes" avec Kathy Bates (1991).
Amos & Andrew reste un film à regarder, ne serais ce que pour voir Samuel L. Jackson avec des cheveux!
Amos et Andrew est un de ces films tombé dans l'oublie le plus total , le film est une comédie et propose au début une situation original et vraiment drôle sauf que le rythme ne va pas suivre , après 50 minutes environ ça devient un peu loud et ringard , un humour typique des années 90 qui a plutôt mal vieillit .
Le film ne fait pas vraiment rire mais on garde le sourire c'est deja ça , le tout est agréablement soutenue grâce au duo Samuel L Jackson et Nicolas Cage , sans eux ce film aurait probablement été un navet .
Bref une comédie assez moyenne dans l'ensemble malgré une idée de base qui était bonne mais ça faiblit trop sur la fin , le film se laisse tout de même bien voir , mais une fois pas deux .
Le film ne fait pas vraiment rire mais on garde le sourire c'est deja ça , le tout est agréablement soutenue grâce au duo Samuel L Jackson et Nicolas Cage , sans eux ce film aurait probablement été un navet .
Bref une comédie assez moyenne dans l'ensemble malgré une idée de base qui était bonne mais ça faiblit trop sur la fin , le film se laisse tout de même bien voir , mais une fois pas deux .
Excellent film devenu culte avec ses réplique qui font mouches. Un film intelligent mais raté par ses longueurs et son manque évident de rythme.
Film asser marant, bonne histoire mais pas asser aprofondi ,,,,
Un film assez médiocre mal grès la qualité des acteurs que l'on y retrouve. Ceci dit, seul point positif, le scénario bien que très pauvre a comme mérite de ne pas être très commun. En conclusion, cela ne vaut vraiment pas la peine de le voir.
Ma plus grande déception , c'est de ne pas pouvoir mettre moins de 0.5/5 ! Ce film est ennuyeux du début à la fin. Les personnages sont fades et la pseudo critique envers les Wasp et le racisme est totalement ratée, peut être est-ce le coté humour de ce film ? En résumé un navet à éviter de toute urgence
Film moyen mais on passe quand même un bon moment
Vous aimez le cinéma ? Passez votre chemin. Vous aimez les performances d'acteurs ? Passez votre chemin. Vous aimez l'humour bien senti ? Passez votre chemin. Vous aimez les scénarii intéressants ? Passez votre chemin. Bien résumé, il me semble. En dehors d'un casting alléchant, ce film est d'une inutilité aberrante ! RIEN ici ne présente le moindre intérêt, même les deux stars sont navrantes, c'est dire... C'est à se demander pourquoi Allociné a attendu plus de 10 ans pour ajouter cette fiche. Un comédie dramatique(ment mauvaise) dont on se passe sans scrupules et que les êtres dotés d'un minimum de sens critique et de ... neurones ne peuvent que renier.
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