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Votre avis sur Payback ?
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Payback, avec Mel Gibson, Maria Bello et Lucy Liu, fut à l'ordre du jour hier soir. Interdit aux moins de 16 ans (j'aurais mis -12 ans), le film est à l'image de sa tagline : finie la plaisanterie. Mel Gibson use de tous les stratagèmes possibles pour tuer, frapper et corrompre ses ennemis. Il est ainsi possible de voir, ce qui est très rare, des femmes se faire frapper à 3 reprises. Ca peut en soulager certains car elles finissaient par être agaçantes ! Mais, à l'image du film Clones, on ne retient pas grand chose de ce film.
Un film d' action sympathique avec un très très bon Mel Gibson, il y a un fort côté parodique dans cette histoire de vengeance, mais le film ne tombe jamais dans le ridicule.
Payback est un bon film d'action et de thriller,mais les acteurs manque de caractère,l'histoire est banale.
C'est un polar sombre plutôt que vraiment noir.
spoiler:
Mel Gibson
contribue d'ailleurs aux nuances plus pastels et joue et surjoue aussi d'un personnage quelque peu fantasque. La vengeance est ici un plat qui se déguste donc tiède. Outre un casting hétéroclite mais finalement qui tient la distance, on assiste au jeu puissant et mélo dramatique d'un acteur à l'aise..et peut être un peu trop. L'acteur est toujours un peu trop attaché à la série de spoiler: l'Arme fatale
et son image de spoiler: Bad Boy
sur le retour sonne aussi comme un petit cliché comique . Cela étant, le film passe rapidement et laisse une bonne impression d'ensemble. Une requalification en comédie policière serait plus juste, comme un pied de nez aux vilains pas beaux et leur toute puissante fragile comme un château de carte. désinvolte et décomplexé.
contribue d'ailleurs aux nuances plus pastels et joue et surjoue aussi d'un personnage quelque peu fantasque. La vengeance est ici un plat qui se déguste donc tiède. Outre un casting hétéroclite mais finalement qui tient la distance, on assiste au jeu puissant et mélo dramatique d'un acteur à l'aise..et peut être un peu trop. L'acteur est toujours un peu trop attaché à la série de spoiler: l'Arme fatale
et son image de spoiler: Bad Boy
sur le retour sonne aussi comme un petit cliché comique . Cela étant, le film passe rapidement et laisse une bonne impression d'ensemble. Une requalification en comédie policière serait plus juste, comme un pied de nez aux vilains pas beaux et leur toute puissante fragile comme un château de carte. désinvolte et décomplexé.
Mel Gibson au sommet de sa forme et de son art. Personnage déluré, débridé et ultra-charismatique, le film part en vrille dès les premières minutes, on en redemande jusqu'à la fin !
Magnifique Mel Gibson, il est carrément génial. Un excellent polar qui se regarde tout seul. Une bonne dose de violence bonifie encore plus ce film ! a voire !
Excellent comment la vengence et la trahison d'un homme peut le rendre froid et détérminé. Mel Gibson est excellent dans son personnage voulant uniquement récupérer son bien et partir enfin libre.
Super thriller oscillant entre les vieux films noir (genre Rocco et ses frères) et une dose d'humour noir glaciale
Super thriller oscillant entre les vieux films noir (genre Rocco et ses frères) et une dose d'humour noir glaciale
Le scénario est très abouti, les dialogues sont exceptionnels avec la petite pointe d'humour qu'il faut. Tous les acteurs sont tops, même les seconds rôles, Gibson en tête.
Les scènes avec Lucy Liu sont truculentes ("j'ai quelques minutes"..."fais-toi cuire un œuf"). Elle est géniale et affreusement sexy !
Une ode au jusqu'au-boutisme !
Les scènes avec Lucy Liu sont truculentes ("j'ai quelques minutes"..."fais-toi cuire un œuf"). Elle est géniale et affreusement sexy !
Une ode au jusqu'au-boutisme !
Excellent !!!
Un film sombre qui vous en mettra plein les yeux et les oreilles. On plonge avec "Porter"(Mel Gibson) dans cet univers glauque de l'Organisation où règne la violence, le cynisme, le sado-masochisme, la corruption. Des personnages differents au caractere bien trempé avec qui Porter engage simultanement des parties d'echec et de poker. Il manipule, il bluffe. Un film haletant à voir absolument.
Un film sombre qui vous en mettra plein les yeux et les oreilles. On plonge avec "Porter"(Mel Gibson) dans cet univers glauque de l'Organisation où règne la violence, le cynisme, le sado-masochisme, la corruption. Des personnages differents au caractere bien trempé avec qui Porter engage simultanement des parties d'echec et de poker. Il manipule, il bluffe. Un film haletant à voir absolument.
Un pure délire dans la lignée d'un ""arnaque, crime et botanique". On suit avec régale ce voyou sans limites. La touche d'humour décalée est géniale.
Bref: un bon délire.
Bref: un bon délire.
Vraiment réussi. C'est très prenant et Mel Gibson joue très bien.
Mel Gibson est implacable dans ce film policier de bonne facture, de très bonne même. Un rythme éreintant, une histoire prenante. Du très bon cinéma !
Dans ce thriller dècalè à l'esthètique très "Blaxploitation", Mel Gibson interprète un voleur soupe au lait que son complice croit avoir èliminè avant de s'enfuir avec le magot! Rèsultat: le dur à cuire survit à ses blessures et il est bien dècidè à se venger...Producteur principal du film, Gibson n'a rien laissè au hasard! Derrière la camèra, il a choisi le scènariste chevronnè Brian Helgeland, oscarisè pour l'ècriture de "L.A Confidential" (d'après James Ellroy)! Leur ètroite collaboration apporte beaucoup de dynamisme et de style à ce polar sec qui conjugue violence et humour! Un mèlange des genres illustrè par les prestations de Lucy Liu en ètonnante tueuse à gages sado-maso et de Maria Bello en prostituèe de luxe au grand coeur! Solide...
🎬 RENGER 📼
Val et Porter organisent un hold-up contre la mafia chinoise, mais l’opération tourne mal lorsque Val décide de s’approprier l’intégralité du butin et abat froidement Porter. Ce dernier, laissé pour mort, est bien décidé à récupérer sa part du pognon…
Seconde adaptation du roman "Comme une fleur" de Donald Westlake, après la version influencée par la Nouvelle Vague de John Boorman (Le Point de non-retour - 1967), c’est au tour du scénariste Brian Helgeland de s’y coller et pour son premier long-métrage, il faut bien admettre qu’il nous en met plein la vue. Une ambiance glaciale avec cette colorimétrie bleutée, une violence sans concession, des dialogues truculents et une magnifique distribution (Mel Gibson, Gregg Henry, Maria Bello & David Paymer), en font un excellent polar qui semble ne pas subir les affres du temps.
Malgré cela, la version qu’il nous a été donnée de voir n’est pas celle de son réalisateur (dans son entièreté). La Warner & Mel Gibson (qui produisait) ont jugé le film trop violent et glauque, incompatible avec ce qu’ils souhaitaient en faire (à savoir un film grand public). Il avait été demandé au réalisateur de faire des reshoot, ce qu’il refusera. Il a donc été replacé (viré) pendant post-production afin de permettre des retouches et tourner de nouvelles scènes (ce qui représente 30% du montage sorti au cinéma). Si bien qu’il existe aujourd’hui 2 montages différents, dont une version Director’s Cut appelé "Payback Straight Up" où les différences notables sont les suivantes : spoiler: le chien de Rosie meurt après s’être pris une balle, le big boss est une femme (que l’on entend uniquement en voix off), le personnage de Bronson (Kris Kristofferson) n’y apparaît qu’une poignée de secondes et son fils n’est plus victime d’un kidnapping.
Quel que soit la version, Payback (1999) n’en reste pas moins un polar âpre et nihiliste, qui se démarque complètement de l’œuvre originale et offre un superbe rôle à Mel Gibson. Le film nous tient aisément en haleine jusqu’au dénouement final.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2023)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Seconde adaptation du roman "Comme une fleur" de Donald Westlake, après la version influencée par la Nouvelle Vague de John Boorman (Le Point de non-retour - 1967), c’est au tour du scénariste Brian Helgeland de s’y coller et pour son premier long-métrage, il faut bien admettre qu’il nous en met plein la vue. Une ambiance glaciale avec cette colorimétrie bleutée, une violence sans concession, des dialogues truculents et une magnifique distribution (Mel Gibson, Gregg Henry, Maria Bello & David Paymer), en font un excellent polar qui semble ne pas subir les affres du temps.
Malgré cela, la version qu’il nous a été donnée de voir n’est pas celle de son réalisateur (dans son entièreté). La Warner & Mel Gibson (qui produisait) ont jugé le film trop violent et glauque, incompatible avec ce qu’ils souhaitaient en faire (à savoir un film grand public). Il avait été demandé au réalisateur de faire des reshoot, ce qu’il refusera. Il a donc été replacé (viré) pendant post-production afin de permettre des retouches et tourner de nouvelles scènes (ce qui représente 30% du montage sorti au cinéma). Si bien qu’il existe aujourd’hui 2 montages différents, dont une version Director’s Cut appelé "Payback Straight Up" où les différences notables sont les suivantes : spoiler: le chien de Rosie meurt après s’être pris une balle, le big boss est une femme (que l’on entend uniquement en voix off), le personnage de Bronson (Kris Kristofferson) n’y apparaît qu’une poignée de secondes et son fils n’est plus victime d’un kidnapping.
Quel que soit la version, Payback (1999) n’en reste pas moins un polar âpre et nihiliste, qui se démarque complètement de l’œuvre originale et offre un superbe rôle à Mel Gibson. Le film nous tient aisément en haleine jusqu’au dénouement final.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2023)
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Polar second degré, avec des protagonistes hauts en couleur, un scénario abracadabrant, des cascades, des pitreries, Mel Gibson. Et il y a un police-partner noir. Vous pensez à ? à ? à L’arme fatale pardi ! Eh bien non, voici Payback. Le réalisateur s’appelle Brian Helgeland, et il n’a pas fait grand-chose depuis. Du moins à ce poste, car le bougre est aussi un très bon scénariste, celui de Mystic river et de LA confidential notamment. En revanche, visiblement, c’est un réalisateur de commande. Tout ceci est en effet bien convenu, au point même d’en devenir lassant. L’humour est pataud, les acteurs en font trop, ou au contraire semblent ailleurs. Heureusement la musique vient mettre une touche funky à l’action, évoquant presque un Tarantino du pauvre avant l’heure. C’est mince. Mais ajoutez-y un paquet de pop-corn et des cornetto (cornetti ?), vous allez voir que la soirée passera toute seule.
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