Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Les Echos
par La rédaction
"Autopsie d'un meurtre", mis en scène par un Preminger au somment de son talent, est de ces chefs-d'œuvre lancinants qui hantent les mémoires et gagnent à chaque vision. Les Echos, 16 juillet 92
France Soir
par Robert Chazal
Parfaitement mis en scène, "Autopsie d'un meurtre" nous révèle deux talents neufs : Ben Gazzara et Lee Remick. France-Soir, 16 octobre 59
Libération
par La rédaction
Le film est-il bon ? Il est long, très long (…) et serait même insupportable à suivre si le très brillant dialogue ne traduisait pas l'intention de l'auteur de faire de ce cas une satire à la fois juste et féroce de l'appareil judiciaire américain. Libération, 24 octobre 59
Positif
par Gérard Legrand
La dramatisation obtenue par Preminger se redoublant, à l'intérieur du tribunal, d'un travail de caméra qui touche à la virtuosité. Positif 334, décembre 88
Le Monde
par Jean De Baroncelli
L'une des causes principales de la déception (…) est, si je puis dire, d'ordre physique. L'ouvrage dure près de trois heures. C'est trop, d'autant que Preminger, dans son souci de jouer le jeu et de nous placer dans la situation exacte des jurés, n'a pu éviter les longueurs et les redites. Le Monde, 18 octobre 59
Les Echos
"Autopsie d'un meurtre", mis en scène par un Preminger au somment de son talent, est de ces chefs-d'œuvre lancinants qui hantent les mémoires et gagnent à chaque vision. Les Echos, 16 juillet 92
France Soir
Parfaitement mis en scène, "Autopsie d'un meurtre" nous révèle deux talents neufs : Ben Gazzara et Lee Remick. France-Soir, 16 octobre 59
Libération
Le film est-il bon ? Il est long, très long (…) et serait même insupportable à suivre si le très brillant dialogue ne traduisait pas l'intention de l'auteur de faire de ce cas une satire à la fois juste et féroce de l'appareil judiciaire américain. Libération, 24 octobre 59
Positif
La dramatisation obtenue par Preminger se redoublant, à l'intérieur du tribunal, d'un travail de caméra qui touche à la virtuosité. Positif 334, décembre 88
Le Monde
L'une des causes principales de la déception (…) est, si je puis dire, d'ordre physique. L'ouvrage dure près de trois heures. C'est trop, d'autant que Preminger, dans son souci de jouer le jeu et de nous placer dans la situation exacte des jurés, n'a pu éviter les longueurs et les redites. Le Monde, 18 octobre 59