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    Carnosaurus
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    18 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 juillet 2021
    Film mauche film d'horreur qui fait pas peur j'avais l'impression de regarder une comédie d'horreur au lieu d'un véritable film d'horreur effets spéciaux qui sont mauvais tres mauvais et les costumes de dinosaure j'en parle même pas ses affreux j'ai mis 1 en note car je me suis bien marrer devant a voir avec des potes si on veut bien se marrer sinon a esquiver aller plutôt voir Jurassic Park ou un autre bon film de dinosaure
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 145 abonnés 7 484 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 mars 2021
    Le Dr Tiptree pratique des manipulations génétiques sur des poulets en tentant de redonner vie aux dinosaures. Pour cela, elle tente de recréer l’espèce en se basant sur la génétique de diverses espèces actuelles. Ainsi, en combinant 14% d’autruche, 13% d’iguane, 14% de vautour, 15% d’albatros, 14% de pélican, 14% de crocodile & 16% de dinde, le Dr parvient à un savant mélange qu’elle inocule dans des œufs de poules, ce qui aura pour conséquence d’engendrer un… « dino-poulet ».

    Remettons-nous dans le contexte, à sa sortie, le roman de John Brosnan (Carnosaur) ne rencontre pas le succès espéré. Quelques années plus tard, le roman de Michael Crichton (Jurassic Park) cartonne en librairie et Spielberg a dans l’idée de l’adapter au cinéma. Il en sera de même avec Corman qui se lance dans l’adaptation du roman de Brosnan. Non seulement Carnosaur (1993) est librement adapté du roman de Brosnan, mais surtout, le film surf sur l’engouement suscité par la sortie prochaine du blockbuster de Steven Spielberg pour créer la confusion auprès des spectateurs (le film est sorti un mois avant le blockbuster, permettant de tromper les spectateurs qui iraient voir ce nanar pensant aller voir ce qui deviendra le film culte de Spielberg). Nanar est le terme exact pour définir ce qu’il nous a été donné de voir. En même temps, il a été produit par le pape de la Série B (Roger Corman) alors fallait-il s’attendre à autre chose venant de sa part ?

    Bien évidemment, d’un côté, vous avez un blockbuster de 63 millions de $ et de l’autre, un navet de 850 milles $, sans réelle surprise, on devine aisément quelle gueule aura le résultat final. On se retrouve avec une intrigue capillotractée avec le sosie de Meryl Streep qui contamine des femmes pour en faire des poules-pondeuses accouchant de dinosaures… le budget étant tellement faiblards, les apparitions des dinos se comptent sur les doigts de la main et il ne faudra pas trop leur en demander. Au final, le film oscille entre le nanar (dino en caoutchouc) et l’horreur, on a droit à de nombreuses séquences craspecs où le dino dévorent d’innocentes victimes. A noter aussi, un final des plus surprenants, avec une confrontation entre un Bobcat® et un dinosaure.

    Sans réelle surprise, ce film à petit budget, avec l’engouement (au début des années 90) pour les dinosaures permettra au film de rencontrer un francs succès, d’être rentable et surtout, de donner lieu à une franchise ! Deux autres suites verront le jour (1995 & 1996), ainsi que deux spin-offs (2001 & 2006).

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 novembre 2015
    En 1993, Jurassic Park fit fureur auprès du public et du cinéma en général, remettant au goût du jour les dinosaures par le biais d’effets spéciaux d’une qualité encore aujourd’hui inégalée. Mais dans l’ombre du chef-d’œuvre de Steven Spielberg, un autre film, sur le même sujet, avait également vu le jour. Se présentant lui aussi comme l’adaptation d’un livre (publié 6 ans avant celui de Michael Crichton et qui avait été également écrit avec le nouvel engouement des gens pour ces créatures préhistoriques), qui prenait comme base la génétique et la science comme sources de leur résurrection. Problème : le film n’a coûté seulement qu’un petit million de dollars (face au 65 millions de Jurassic Park) et possède le statut de série B nanardesque qui a empêché une sortie dans les salles françaises (et sans doute dans d’autres pays). Retour donc sur Carnosaur, un long-métrage sorti de nulle part et qui, pour certains, aurait dû rester là où il était !

    À première vue, Carnosaur est un film raté. Un navet de premier ordre qui, sur le papier, ose se prendre au sérieux, n’allant jamais dans le second degré, préférant se préoccuper de ses personnages d’une platitude et d’un cliché exaspérants (mal joués, qui plus est !) et de situations plus ridicules les unes que les autres. Tout en reprenant les bases mêmes du livre (sans pour autant en faire un copié-collé), qui fait renaître les dinosaures grâce à une sorte de virus forçant les êtres vivants de sexe féminin (d’abord des poules puis des femmes) à donner naissance à ces reptiles. Une intrigue tirée par les cheveux, initiée par une scientifique farfelue qui exécute ce plan de son plein gré, juste histoire de décimer l’espèce humaine et d’offrir aux dinosaures une seconde chance de peupler la Terre. Il ne manque plus qu’une musique à base d’orgues et la foudre en fond quand celle-ci évoque son plan à l’un des héros, et la connerie aurait été des plus parfaites !

    Un constat qui se renforce avec l’aspect visuel du film, qui ne vole jamais bien haut. En même temps, avec un budget d’un million de dollars, l’équipe du film ne pouvait rivaliser avec Jurassic Park. Aussi, ne soyez donc pas étonnés de voir des dinosaures en carton de pâte d’une laideur incommensurable, représentés par des effets spéciaux (principalement des robots et des marionnettes) bas de gamme, à l’échelle jamais respectée (un coup le dino est plus grand, un autre sa queue n’a pas la même dimension que sur le plan précédent…). Sans oublier une mise en scène inexistante, qui n’arrive jamais à relever le niveau ne serait-ce qu’un minimum !

    Et pourtant, nous pouvons trouver un petit charme à ce Carnosaur. Car en y regardant bien, le long-métrage à quelque chose de jouissif qui aide à passer le temps. D’accord, le film est mauvais, cela ne fait pas l’ombre d’un doute ! Mais il peut se laisser regarder sans déplaisir grâce à un seul détail : contrairement à ce que Carnosaur pourrait laissait croire, cette série B ne se prend nullement au sérieux. Affirmant sont statut de nanar sans aucune pudeur, ne cachant jamais ses effets pathétiques et s’enfonçant dans un gore à outrance au risque de n’avoir qu’un script où pleuvent les victimes par dizaines (le film a quand même été déconseillé aux moins de 16 ans). Le film ne cherche pas à se démarquer des gros blockbusters, il préfère amuser avec son concept à deux balles, ses séquences de tueries et ses personnages clichés plutôt que d’imposer une envergure qu’il n’aurait jamais pu atteindre. Bref, le film se lâche dans le n’importe quoi, et se permet même un final inattendu, assez pessimiste, bien loin des standards du genre. Un rendu finalement assez sympatoche pour déconner entre copains !

    Une série B qui aura un étonnant succès lors de son exploitation en vidéo et qui donnera donc naissance à plusieurs suites de bien piètre qualité. Bien que celle de ce Carnosaur ne soit pas vraiment au rendez-vous, le film n’en reste pas moins un bon gros nanar un chouïa jouissif qui lui permet de sortir du lot de tous les divertissements de ce genre qui passent directement par la case vidéo lors de son exploitation à l’international. Pas inoubliable, mais pas catastrophique non plus !
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    81 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 décembre 2014
    En 1993, Jurassic Park fit fureur auprès du public et du cinéma en général, remettant au goût du jour les dinosaures par le biais d’effets spéciaux d’une qualité encore aujourd’hui inégalée. Mais dans l’ombre du chef-d’œuvre de Steven Spielberg, un autre film, sur le même sujet, avait également vu le jour. Se présentant lui aussi comme l’adaptation d’un livre (publié 6 ans avant celui de Michael Crichton et qui avait été également écrit avec le nouvel engouement des gens pour ces créatures préhistoriques), qui prenait comme base la génétique et la science comme sources de leur résurrection. Problème : le film n’a coûté seulement qu’un petit million de dollars (face au 65 millions de Jurassic Park) et possède le statut de série B nanardesque qui a empêché une sortie dans les salles françaises (et sans doute dans d’autres pays). Retour donc sur Carnosaur, un long-métrage sorti de nulle part et qui, pour certains, aurait dû rester là où il était !

    À première vue, Carnosaur est un film raté. Un navet de premier ordre qui, sur le papier, ose se prendre au sérieux, n’allant jamais dans le second degré, préférant se préoccuper de ses personnages d’une platitude et d’un cliché exaspérants (mal joués, qui plus est !) et de situations plus ridicules les unes que les autres. Tout en reprenant les bases mêmes du livre spoiler: (sans pour autant en faire un copié-collé), qui fait renaître les dinosaures grâce à une sorte de virus forçant les êtres vivants de sexe féminin (d’abord des poules puis des femmes) à donner naissance à ces reptiles.
    Une intrigue tirée par les cheveux, spoiler: initiée par une scientifique farfelue qui exécute ce plan de son plein gré, juste histoire de décimer l’espèce humaine et d’offrir aux dinosaures une seconde chance de peupler la Terre.
    Il ne manque plus qu’une musique à base d’orgues et la foudre en fond quand celle-ci évoque son plan à l’un des héros, et la connerie aurait été des plus parfaites !

    Un constat qui se renforce avec l’aspect visuel du film, qui ne vole jamais bien haut. En même temps, avec un budget d’un million de dollars, l’équipe du film ne pouvait rivaliser avec Jurassic Park. Aussi, ne soyez donc pas étonnés de voir des dinosaures en carton de pâte d’une laideur incommensurable, représentés par des effets spéciaux (principalement des robots et des marionnettes) bas de gamme, à l’échelle jamais respectée (un coup le dino est plus grand, un autre sa queue n’a pas la même dimension que sur le plan précédent…). Sans oublier une mise en scène inexistante, qui n’arrive jamais à relever le niveau ne serait-ce qu’un minimum !

    Et pourtant, nous pouvons trouver un petit charme à ce Carnosaur. Car en y regardant bien, le long-métrage à quelque chose de jouissif qui aide à passer le temps. D’accord, le film est mauvais, cela ne fait pas l’ombre d’un doute ! Mais il peut se laisser regarder sans déplaisir grâce à un seul détail : contrairement à ce que Carnosaur pourrait laissait croire, cette série B ne se prend nullement au sérieux. Affirmant sont statut de nanar sans aucune pudeur, ne cachant jamais ses effets pathétiques et s’enfonçant dans un gore à outrance au risque de n’avoir qu’un script où pleuvent les victimes par dizaines (le film a quand même été déconseillé aux moins de 16 ans). Le film ne cherche pas à se démarquer des gros blockbusters, il préfère amuser avec son concept à deux balles, ses séquences de tueries et ses personnages clichés plutôt que d’imposer une envergure qu’il n’aurait jamais pu atteindre. Bref, le film se lâche dans le n’importe quoi, et se permet même un final inattendu, assez pessimiste, bien loin des standard du genre. Un rendu finalement assez sympatoche pour déconner entre copains !

    Une série B qui aura un étonnant succès lors de son exploitation en vidéo et qui donnera donc naissance à plusieurs suites de bien piètre qualité. Bien que celle de ce Carnosaur ne soit pas vraiment au rendez-vous, le film n’en reste pas moins un bon gros nanar un chouïa jouissif qui lui permet de sortir du lot de tous les divertissements de ce genre qui passent directement par la case vidéo lors de son exploitation à l’international. Pas inoubliable, mais pas catastrophique non plus !
    90
    90

    16 abonnés 777 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 décembre 2014
    Mais qu'est ce que je viens de regarder ? Carnosaur a franchement un bon potentiel nanar, mais mon Dieu pourquoi ça ce prend au sérieux ? A cause de ça ce film devient juste un vieux navet. Tout est mauvais, la réalisation, le scenario qui est ridicule, les dinosaures en plastiques, les acteurs ( en plus dans le DVD que mon pote m'a prêté il y a que la VF, donc j'ai du me taper ce chef-d’œuvre avec une VF catastrophique ) et même les bruitages sont mauvais ! A éviter a tout prix.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 27 juillet 2014
    Un film avec un dinosaure géant produit par Roger Corman ?
    Bah oui, on voit venir le nanar de loin : malheureusement, à part les séances de biologie pour les nuls administrés pendant de longues minutes pour expliquer cette "chose", on s'ennuie plus qu'on ne rigole.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 juillet 2014
    OH LE NAVET (de toute façon, je ne connais pas un mockbuster qui soit bon) ! Le scénario est limite parodique, c'est une honte spoiler: (le Carnosaur qui sort du cul de la poule suite à une expérience chimique... il y a quand même des limites)
    ! Ok le budget est faible mais il faut quand même avouer que les "dinosaures" ressemblent à des legos ! Le jeu d'acteur est horrible ! C'est gore, il y a en effet pas mal de sang mais ça ne fait pas du tout peur ! En gros, ce film est... ce n'est même pas chiant, parce que les défauts de ce long-métrage m'ont limites fascinés tellement ils sont nombreux et flagrants... Disons que c'est ridicule donc si vous voulez rire, Carnosaur est fait pour vous !
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 376 abonnés 4 417 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 avril 2013
    Sorti la même année que Jurassic Park, Carnosaur n’est malheureusement pas de la même trempe, mais je ne vais pas non plus l’assassiner. Il a quelques bons cotés, à commencer par ses acteurs. S’ils ne sont pas géniaux, ils tiennent un peu la baraque. Tandis que certains la joue plutôt profil bas, avec des prestations sobres bienvenues, d’autres, à l’image de Diane Ladd sont plutôt dans une interprétation un peu excessive qui donne au film une dimension légèrement second degré sympathique. Au niveau du scénario, bon, là l’histoire est certes farfelue, voir franchement bidon. L’idée des poules pourquoi pas (après tout si les oiseaux sont les descendants des dinosaures !), mais la boisson chimique ca ne passe pas, la bifurcation style Alien c’est hautement foireux aussi. Je note néanmoins un rythme pas désagréable, et une fin sans pitié réjouissante.
    C’est en fait surtout visuellement que Carnosaur fait mal. Le film a certainement fortement vieilli ces 20 dernières années, mais en 1993 il était déjà dans le ventre mou des films d’horreur (et encore, s’il ne flirtait pas avec les mauvais élèves). La photographie est assez horrible, la mise en scène est très approximative et plante systématiquement les scènes d’attaques. Les décors sont ultra-restreints (quelques pièces, une ferme, un ou deux coins de campagnes), et les effets spéciaux, mazette ! Certes Carnosaur avait un projet ambitieux pour un budget d’ 1 millions de dollar rachitique, mais là je ne peux pas tout excuser. A part peut-être le combat final, qui n’est pas si médiocre que cela, le reste c’est totalement raté, et les dinosaures ont un look qui nous ramène directement dans les années 30 ! Je ne parle pas des effets horrifiques, évidemment d’une profonde médiocrité, avec quelques barbouillages sanglants, un ou deux membres en latex, et point barre.
    Certes Carnosaur est mal foutu, et encore une fois tout n’est pas imputable au faible budget. Mais tout n’est pas à jeter malgré tout, et bien que largement inférieur à Jurassic Park (on est dans deux dimensions différentes !), ce film a un petit charme. Il nous ramène à une époque bien rétro du film de monstre, avec son laboratoire dans lequel on produit des trucs improbables, ses créatures miteuses qui envahissent la planète (via des œufs contaminés ici), ses héros à trois francs six sous. Carnosaur est un film très imparfait, mais sympathique, avec du rythme, et une réelle générosité qui pour moi est méritante. Ce n’est pas un vulgaire produit sans saveur qui ne vous donne rien alors qu’il a beaucoup. Non ! Simon donne beaucoup (même si ce n’est pas terrible), avec rien et je salue cela. La note ne peut malheureusement pas être mirobolante malgré tout.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 mars 2013
    Les images de synthèses sont horriblement mal faites. L'histoire est débile et sans intérêt. Il n'y a rien qui fasse peur comme dans d'autres films d'horreur. Les personnages sont mal joués. Super mauvais film.
    Melvin Guilmet
    Melvin Guilmet

    16 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 janvier 2013
    Film vraiment pourri, Nanar n'en parlons même pas sinon la même année il y a Jurassik Park qui est nettement mieux mais qui c'est peut-être que Spielberg en a fait son remake mais ne faudrait mieux pas connaître l'original si J-P en est un parce que c'est 1h25 perdu de votre vie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 juillet 2012
    Premier Opus d'une trilogie exceptionnelle par bien des aspects, la nullité de ce film le rend incontournable, tout dans ce film est ridicule et hilarant... Les acteurs sont incroyablement mauvais, les effets spéciaux dignes d'un film du 16eme siècle et le scénario... M'a fait tellement rire que j'ai cru me faire dessus la première fois. Mention Spéciale à la scène d'intro sur fond vert qui est unique en son genre!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 juillet 2011
    J'ai beau être habitué aux Nanard, je trouve que Carnosaur a le scénario le plus incongru jamais vu au cinéma. Une scientifique folle décide de faire revivre des dinosaures et d'éradiquer l'éspèce humaine en créant un virus à inoquler à des poulets qui contamineront ensuite les femmes (seulement elles) qui accoucheront par le ventre (comme dans alien) de créatures mi humaines mi dinosaures-poulets. Ajoutez à cela des effets spéciaux très médiocres à base de caoutchouc (nous sommes en 1993 quand même) et vous avez une bouse même pas drôle dont le seul intérêt est de découvrir le scénario totalement hallucinant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 septembre 2010
    Avec la sortie de Jurassic Park, l'année 1993 allait devenir l'année des dinosaures et l'inénarrable Roger Corman l'avait bien compris en produisant ce surprenant rip-off qui, malgré sa nullité technique, réussit l'exploit d'être aussi divertissant que son modèle grâce à son scénario à haute teneur débilitante, ses incalculables attaques de dinos et l'absence totale de gêne qu'a le réalisateur à montrer ses créatures quand bien même elles ne se résument qu'à un costume en caoutchouc ! C'est cette générosité dans l'action qui fait de cette série B fauchée une véritable réussite car le spectateur n'a jamais le temps de s'ennuyer et va de surprise en surprise de la première à la dernière minute.
    jamesluctor
    jamesluctor

    133 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mars 2011
    Mouhahaha ! Ca, c'est du Z !! On dirait du Poultrygeist, mais en encore moins bien fait. L'image est dégueu, les personnages sont d'un mauvais (les écolos sont hilarants) et le gore en hors champs. On admirera aussi les monstrueux effets spéciaux du film, à savoir pour faire croire que le tyrannosaure est grand, faire jouer une marionnette devant un écran. Et ne faites pas comme tout le monde ! Si vous voyez que vos oeufs de poules contiennent un liquide vert, ne le mangez pas ! Même si vous avez faim ! La fin, de son côté, permet d'affirmer haut et fort : "le film ne sert à rien !!". Que du bonheur !
    Najou
    Najou

    13 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mars 2010
    Je ne peux pas donner plus d'étoiles à ce royal navet, ce serait fort déplacé, mais pourtant il a ce je ne sais quoi du navet d'antan qui le rend très sympathique! Histoire franchement marrante, effets spéciaux dignes d'un film d'Ed Wood et dialogues mythiques rendent ce nanar irrésistible. Vous ne regarderez plus jamais vos œufs de poules comme avant....
    Et pour les plus grands fans, il n'y a pas une mais PLUSIEURS suites!!
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