Derniers Avis : Christine - Page 8

Fidèle adaptation du livre de Stephen King on trouve donc vite nos repères.La réalisation n'a rien d'extraordinaire mais le casting est vraiment très bien choisi avec un Keith Gordon (Arnie) incroyablement convaincant et talentueux.En effet son personnage en peu de temps devient tout le contraire de ce qu'il était au début et..au final il est méconnaissable.John Stockwell (Dennis) et Alexandra Paul (Leigh) ne sont pas en reste bien qu'ils m'aient moins impressionné.
Le plus est également les fonds musicaux qui nous aident encore plus à entrer dans une ambiance assez sombre.
Tout est réunit pour nous faire passer un bon moment dans un univers fantastique mais sans horreur pour autant.En effet,la peur n'est pas au rendez-vous avec ce film,ce qui me convient très bien.

Christine qui est donc christine?L'histoire se passe en 1978 en Californie le jour de la rentrée ou Arnie un jeune garçon de 17 ans gauche,timide et malmené par une bande la repère en sortant du lycée et en conduisant sur une route..mais Christine n'est pas celle qu'on croit...car ce n'est pas une fille,une jolie fille mais..une voiture,oui une très belle mustang des années 50 rutilante et a vendre.Elle ,n'est pas en bon état mais Arnie en tombe amoureux et la veut spoiler: Et
est spoiler: prêt
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pour la retaper..sauf que...la voiture a une âme et gare a ceux qui s'en approchent car Christine est possessive et ne veut qu'un seul propriétaire,Arnie en personne..D'ailleurs peu a peu la personnalité de Arnie change du tout au tout ,et de timide il devient très sûr de lui,voire arrogant et pour finir violent spoiler: a
l spoiler: 'image
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spoiler: voiture
..ce film est un peu kitsch j'avoue mais je l'ai regardé sur Arte mardi soir et si il ne comporte pas d'images horrifiques,il fait peur et est stressant de même que certaines scènes ou la voiture en furie poursuit les jeunes hommes qui l'ont abimée spoiler: et
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. On assiste de plus a la déchéance d'Arnie qui fait fuir le peu d'amis qui lui reste et devient complètement envouté par la voiture jusqu'à une fin angoissante..et la voiture rouge sang m'avait quand même marquée ado car c'est le symbole aussi de l'érotisme et de la
sexualité..ce film est non seulement flippant mais il est aussi une étude psychologique des jeunes gens et leur rapport aux femmes et au sexe..je note 4 /5.

Il est difficile de relever Stephen King. Carpenter s'en tire pas trop mal, surtout si l'on songe que ce film a plus de 30 ans. Le suspense monte progressivement et la musique y est certainement pour beaucoup.

Film Réalisé par John Carpenter basé sur le livre de Stephen King sorti la même année, donc en 1983, et quand John Carpenter et Stéphen King travaillent ensemble, ça fait mal, ce film peut faire rougir certains films d'horreurs sorti récemment.

Le thriller et le suspense et l'action est au rendez vous ainsi que l'angoisse et la peur, avec Keth Gordon, au début, à la base ce n'était pas l'acteur original du film, normalement cela devait être Kevin Bacon à la place de Keth Gordon, mais malheureusement Kevin à refusé le rôle, ce qui est dommage, pour un autre film qui fit de lui aussi une Star du cinéma, et par la suite, John trouve un autre acteur, un jeune acteur qui fait son début sur le grand écran, et bien il choisi Keth Gordon, et bien cela fût un excellent choix, car cet acteur fait bien son travail, on le remarque tout de suite, il prend son rôle très au sérieux.

spoiler:



Tout commence lorsque Arni commence son travail chez Arnel, la ou il travail le soir après le Lycée, mais cette première journée commence pas très bien, il se fait harcelé dès le premier jour, une bagarre commence, au couteau dans l'atelier, Arni se fait fauché son déjeuner, cela fait de la peine à voir quand on se fait presque tabassé par une bandes de voyous sans scrupules ni éducations, et qui sont là pour embêter les plus faibles au lieu de travailler.

Urni commence à se faire tabasser, il glisse et tombe parterre, tous le monde se marre, son ami Denis intervient et commence à empoigner l'un des voyou, qui possède un cran d’arrêt qui tombe sur le sol, et se fait écraser les lunettes en deux, mais au final, cela fut une bonne chose, mais hélas, ce voyou aurait put lui sauver la vie .

Au retour, Arni et Denis roulent sur le retour de la maison,ils se racontent des blagues, et c'est là que cela devient intéressant, Arni tourne juste la tête vers Denis que lorsque du coin de l'oeil il aperçoit Christine et demande à Denis de faire demi tour pour aller voir, une fraction de seconde , et c'est là qu'on voit le talent de John, et c'est à cet instant là que le film commence et prend une autre tournure, Arni qui est timide, et se laisse casser la gueule sans ce défendre, un souffre douleur, et voit cet Furie 1958 sur une vieille propriété d'on le proprio est bizarre, et c'est la qu'il va acheter cette voiture, et depuis Arni va changer, il va se faire respecter, et se venger de tous les connards qui vont se mettent au travers de lui et de Christine, et le film commence, Arni n'est plus Arni, dumoin plus celui du début, il change, devient sur de lui, arrogant, possédé, car Christine va le changer, il y a plus que pour cette voiture, plus rien n'a d'importance pour lui.

Ce film est un modèle de films d'horreurs qui n'a pas eu de suite, mais je me pose la question, qu’aurait donné le film avec Kevin Bacon, j'imagine, l'acteur ayant la tête parfaite pour ce rôle, il suffit de regarder Sleepers pour se rendre compte du talent de l'acteur, je pense qu'avec lui à la place de Keth Gordon le film aurait été encore plus terrifiant, à regarder si vous aimez l'angoisse.

Carpenter eu un jour l'idée d'adapter un des nombreux romans de l'immense Stephen King, "Christine". Et bonjour la nostalgie, portée par une bande son très typée. Avant de se risquer à voir pour la 1ère fois cette oeuvre (relativement proche du bouquin), il faut choisir la vo ou la vost car le doublage est exécrable. Ne pas non plus s'arrêter sur les dégaines de l'époque. L'introduction, dans l'usine de fabrication, permet de rapidement s'immerger. Toute la magie de ce film s'opère dans le changement d'attitude de Arnie Cunningham (Keith Gordon) dès lors qu'il se trouve possédé par Christine, plantureuse Plymouth 57 rouge sang. Les effets spéciaux utilisés pour l'auto-réparation de cette voiture maléfique rendent toujours aussi bien aujourd'hui. Un coup de maître de Carpenter. Si presque tous les personnages manquent de profondeur, les mises en scène font mouche à chaque fois, bien portées par un rythme lancinant, hypnotique et stressant, comme la plupart des bandes son que compose le John. Les scènes de vengeance de Christine et la démence de Arnie font monter l'adrénaline progressivement. spoiler: Seule la scène finale déçoit par sa relative facilité.
Loin d'atteindre la perfection de son précédent film, "The Thing", "Christine" est une honnête série B des 80's qui, bien qu'elle accuse le poids des années, se laisse agréablement regarder.

John Carpenter (The Thing, Halloween), adapte le célèbre roman de Stephen King - Christine - dans un film à mi-chemin entre le fantastique et le film d'horreur, avec une ambiance très « fin 70's, début 80's ». Arnie est un adolescent complexé, persécuté qui trouvera passion dans sa nouvelle voiture qu'il baptise Christine. Celle-ci, prendra vie petit à petit.

Keith Gordon - acteur principal - joue particulièrement bien, et aura tout au long du film une évolution intéressante. Cependant, la véritable star du film reste Christine qui derrière un concept qui pourrai prêter à sourire aujourd'hui, a marquée les esprits dans les années 80's, aidée par des effets spéciaux et astuces excellents pour l'époque.

Le film a malgré ses qualités, quelques faiblesses: Des allures de teen movie prononcées, certaines inégalités au niveau du scénario et des choix prises par les personnages peu pertinents à certains moments du film.

Début du film : un moteur qui rugit pendant une trentaine de secondes, puis le cultissime "Bad to the bone" de George Thorogood and the Destroyers. Voilà comment adhérer à un film en 3 minutes chrono. La suite, on la connait : une sorte de "La Coccinelle à Mexico" version méchante. Des acteurs qui ont tout compris au rôle qu'ils interprètent, une bande son "du tonnerre", et pour ma part une nostalgie puissance 1000. Les "Fast & Furious" peuvent aller se rhabiller, vous voulez un film de voiture ? Voilà celui qu'il faut voir!

Un célèbre écrivain comme Stephen King. Un excellent réalisateur comme John Carpenter. Le tout pour un excellent film plein de suspense. Un scénario très simple à comprendre pour une voiture diabolique. Le casting est pas mal du tout. Particulièrement l'interprétation de l'acteur principal qui joue magnifiquement son rôle. On se laisse captiver pendant la lecture du film et voir comme le déroulement se met en place d'un rythme bien soutenu. Plus le film avance, plus on reste captivé jusqu'à la fin. Admirer une belle voiture est déjà une bonne chose de regarder le film. C'est bien filmé. On sent quelques frissons. Les décors sont pas mal. Un film dont on reconnait bien le style de John Carpenter. Peut-être pas son meilleur film mais reste assez sympa à regarder.

Les adaptations de bouquins au cinéma sont rarement réussis mais quand une telle histoire est racontée par un Carpenter alors au sommet de sa forme cela donne un film culte qui n'a pas pris une ride. La preuve qu'il est inutile de verser dans le sanguinolent et le gore pour faire un film angoissant. Une fois encore chez Carpenter la musique, basique et glaçante, est un élément déterminant de la réussite de son film. Les jeunes acteurs (qui étonnamment ne feront pas une grande carrière par la suite) sont vraiment très convaincant.

Bénéficiant d'une mise en scène classe, une des qualités indéniable de John Carpenter, Christine oscille entre thriller et fantastique, et baigne dans une ambiance rétro des plus sympathiques. Un peu daté sur certains points, notamment les réactions des personnages dans les scènes d'action, le film se laisse néanmoins regarder avec plaisir, et son concept ne manque pas d'éveiller l'attention !

Rencontre rouge mécanique entre deux maîtres du genre, Christine est un pur produit horrifique des 80's aussi grisant qu'effrayant, les drames viscéraux de l'adolescence dans son rétroviseur. Choisissant de ne jamais montrer l'entité spectrale qui contrôle cette voiture de l'enfer, John Carpenter, maître de la représentation, fait du véhicule hanté le moteur physique du récit, des émotions et ses sensations, l'ultra-violence de sa furie mystérieuse ne se dessinant que dans le rouge variant de sa carrosserie et la lumière hypnotique de ses phares. Du 'Bad to the Bone' de George Thorogood aux touches de synthé paralysantes du réalisateur, le film passe du teenage movie au conte funeste et désabusé, alors que la figure évidente du vampirisme s'impose : cette création ébène de l'Homme devient pur objet maléfique de fascination, glorifié par le cadre, faisant se dépérir par l'amour et l'addiction le jeune protagoniste principal. Cet effet de succion devient vecteur d'un constat amer de déshumanisation dans le passage à l'âge adulte, nourriture d'une infernale et indestructible machinerie américaine qui les dépasse. Ballet rock'n'roll de convoitises et de frustrations qui n'échappe certes pas aux clichés, Christine est une œuvre de commande pas si mineure qu'elle en a l'air, John Carpenter y étouffant l'horreur pure dans une ambiguïté sexuelle aussi caustique que romantique.

Y a-t-il un film plus culte que Christine? Comme pour beaucoup de films des années 80, le casting est très bon, l'histoire est moyenne mais la mise en scène est juste parfaite. On est rapidement imprégné dans le film.

Dans leur domaine, Stephen King et John Carpenter s'équivalent. Tous deux maîtres de l'horreur, mais dans leur univers, ils sont deux grandes figures à la renommée internationale, deux emblèmes d'un genre qu'ils ont su défendre, valoriser et bonifier tout au long de leur carrière. Christine n'est peut-être pas une oeuvre majeure dans l'image qu'ils véhiculent respectivement, mais elle rechigne probablement le concept horrifique le plus excitant et le plus nonchalant qui soit dans ce genre. Une idée des plus originales, un thème des plus intemporels que celui de l'automobile surnaturelle et malveillante, qui prend peu à peu le contrôle psychologique de son propriétaire. Rien que pour cela, Christine, livre comme film, vaut indéniablement le coup d’œil, d'autant que les deux formats sont sortis en même temps.

John Carpenter se voit donc confier l'oeuvre sortie tout droit de l'imaginaire de Stephen King, l'association des deux artistes se fait donc en toute logique, sans pour autant faire preuve à l'avance de certitude ou d'assurance surestimée du réalisateur. Carpenter croit indéniablement en son film et y délivre une conviction extraordinaire. Christine libère dès les premières minutes sa nonchalance assumée avec la construction de l'automobile, rouge parmi les blanches, déjà démoniaque, puis une troublante mélancolie à travers son personnage principal, complexé et mal dans sa peau, accompagné par son meilleur ami, parfait opposé. Le savoir-faire du maître de l'horreur se ressent d'emblée, qui prend bien le temps de mettre en place son contexte, tout d'abord réaliste.

Le réalisateur maintient au chaud son spectateur pour ensuite lui faire subir un remaniement d'ambiance saisissant. L'arrivée de la sublime Plymouth Fury de 1958 bouleverse d'emblée tous les codes gentiment établis auparavant dans le film pour libérer une rage intérieure remarquablement perverse. La venue de cette voiture dans la vie de cet adolescent lui est un étonnant bon en avant, vers les vices d'une adolescence dépravée et pervertie, que Carpenter arpente ici avec ferveur et virtuosité. Rien n'est laissé au hasard, malgré la simplicité du concept principal et le réalisateur met en image une descente aux enfers lente, douloureuse et progressive. Les différentes psychologies mises en avant au début du film, assez caricaturales quoique vues comme archétypes, prennent en complexité et s'assombrissent à mesure que le temps passe.

Pourtant, tout semble encore et toujours accentué dans l'horreur avec Carpenter. L'épouvante qui ressort des séquences horrifiques prouve tout le talent. Il y règne une ambiance nullement partagée ailleurs, une noirceur visuelle et allégorique du démon aux quatre roues, accentuée par une bande sonore sophistiquée et alternative signée "on sait qui", il n'y a pas à dire, cela relève du virtuose ! Le spectateur assiste à une succession d'instants magiques et démoniaques, encore intacts à l'époque actuelle. La première poursuite meurtrière en pleine nuit, l'autoguérison de Christine, ou encore cette fin si longue... Christine plait, influe et tourmente, tout ce que fait le film, tout ce que le spectateur ressent.

Christine doit être l'un des films les plus ambitieux et les plus aboutis de John Carpenter. L'accès tardif d'un adolescent à la puberté, l'émancipation et l'affranchissement d'une personne en marge, la saisie de cette unique opportunité de se rebeller contre l'incompréhension du monde. L'ascension jouissive, perverse et incontrôlable d'Arnie Cunningham... John Carpenter adapte Stephen King et livre un chef d'oeuvre du cinéma fantastique et horrifique. Une perle authentique et surprenante, unique et intemporelle, qui par son concept simpliste, parvient à délivrer un propos d'une puissance inouïe. Christine, c'est Stephen King, c'est John Carpenter, c'est aussi la voiture la plus terrifiante du vingtième siècle, une Cadillac démoniaque ne renfermant que pessimisme et sinistrose.

On dit de Stephen King qu’il est le maître absolu du suspense, surtout dans le genre fantastique plus ou moins horrifique. Une fois de plus, je n’ai pas lu le roman éponyme qui a inspiré ce film, mais je crois que je peux dire sans m’avancer que John Carpenter a su retranscrire ce suspense inquiétant. Certes le film a un peu vieilli, notamment au niveau des tons, mais ce n’est en fait pas très gênant, puisque la voiture est alors âgée d’une vingtaine d’années, et que l’histoire se passe au plus tard au tout début des années 80. Eh bien justement, malgré ses 30 piges, "Christine" bénéficie d’effets spéciaux qui eux, n’ont absolument pas vieilli. L’effet produit par la voiture qui se reconstruit est très convaincant, et pourtant les moyens de l’époque étaient très limités par rapport à aujourd’hui. Evidemment, à une intrigue somme toute rock’n roll, il fallait une bande originale rock’n roll. On commence d’entrée avec un des titres les plus mythiques de George Thorogood ("Bad to the bone") et repris avec succès par le groupe ZZ Top, et s’ensuivent quelques titres très connus. Pour autant, la musique est assez peu utilisée, si on excepte celle qui sort du poste de la caractérielle Plymouth Fury… laquelle n’annonce rien de bon. La bande originale sera d’ailleurs complétée par une composition de John Carpenter lui-même, mais sa partition reste assez discrète bien qu’elle appuie efficacement l’intrigue. Dans le casting, on ne retiendra que la performance de Keith Gordon. Il ne joue pas seulement le rôle, il le vit ! On croirait aisément qu’il subit l’influence néfaste de ce petit bolide à quatre roues. Le tout fait qu’une certaine inquiétude nous envahit, nous faisant dire au passage que "Christine" devait être bien flippant lors de sa sortie en salles.

Très bon film des années 80. Les effets spéciaux sont toujours très sympa en les voyant aujourd'hui. Un film ovni, un peu horreur, un peu fantastique. On ne sait pas trop le définir. Il n'en reste pas moins à voir.