Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Brazil
par Jean-Sébastien Thirion
Celui qui n'acceptera pas le parti pris jusqu'au-boutiste du Mexicain ne pourra aller au bout de cette expérience sensorielle ultime. Ce film est un envoûtement purulent qui va changer à tout jamais votre vision des conquêtes de l'ouest.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Humanité
par Jean Roy
(...) une flamboyante approche picturale qui laisse certaines scènes comme autant de moments inoubliables du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Mad Movies
par Marc Toullec
(...) une oeuvre sans équivalent, qui confine à l'exploit en mariant naturalisme et fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
La force du film, formidablement cadré et presque toujours tourné à hauteur d'homme, est de miser sur la lenteur et l'empathie, sans aucun artifice de post-production.
Critikat.com
par Vincent Avenel
Un fantasme d'Eldorado, mythe d'un prosaïque horrible devenu, par le truchement du langage, synonyme d'un rêve peut-être plus pur, moins intéressé. C'est vers cet Eden sensoriel que tend le film de Nicolás Echevarría - un Eden où la bienveillance n'est pas dupe de ses chances face à la marche de la conquête, mais où le discours demeure celui d'une foi véritable en l'être humain, malgré tout.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Romain Le Vern
La violence n'est pas seulement dans les actes, elle est aussi dans le silence et le mensonge. C'est l'un des enseignements les plus forts de cette merveille de cinéma primitif et viscéral.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Et si la révélation de l'année n'était pas plutôt ce "Cabeza de vaca" (...)?
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) "Cabeza de Vaca" est plus tourné vers la contemplation des corps, des rites et des paysages. Incarné avec une rare intensité par l'acteur espagnol Juan Diego (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Echevarría et son équipe ont trouvé le juste équilibre entre le spectacle et sa mise au service du sujet et des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Agnelli
(...) Cette révélation tombée du ciel se situe quelque part entre "Aguirre, la colère de Dieu" et " La montagne sacrée".
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
L'illustre récit (repris du journal de bord de Cabeza de Vaca) et la pente ethnographique naturellement suivie par Echevarria sont le double atout et la claire limite du film. Dans cette double exigence quelque chose, étrangement, semble faire barrage à la fiction, même si le film a pour lui quelques beaux moments isolés.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Ecran Fantastique
par Sébastien Socias
Ou quand le fantastique émane paradoxalement de l'humanité des êtres...
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Libération
par Philippe Azoury
Le film est affecté de ces deux boulets (la musique et l'acteur), mais il avance quand même et gagne au fur et à mesure dans des détails ce qu'il perd en impact. Et n'atteint son but que dans une dernière scène, magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un "Aguirre..." fauché mais nullement bricolé.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Samuel Douhaire
Les premières séquences de "Cabeza de Vaca" font redouter une copie fauchée d'"Aguirre, la colère de Dieu". Mais le film de Nicolas Echevarria se démarque du chef-d'oeuvre de Werner Herzog par son approche quasi documentaire (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
Celui qui n'acceptera pas le parti pris jusqu'au-boutiste du Mexicain ne pourra aller au bout de cette expérience sensorielle ultime. Ce film est un envoûtement purulent qui va changer à tout jamais votre vision des conquêtes de l'ouest.
L'Humanité
(...) une flamboyante approche picturale qui laisse certaines scènes comme autant de moments inoubliables du cinéma.
Mad Movies
(...) une oeuvre sans équivalent, qui confine à l'exploit en mariant naturalisme et fantastique.
Cahiers du Cinéma
La force du film, formidablement cadré et presque toujours tourné à hauteur d'homme, est de miser sur la lenteur et l'empathie, sans aucun artifice de post-production.
Critikat.com
Un fantasme d'Eldorado, mythe d'un prosaïque horrible devenu, par le truchement du langage, synonyme d'un rêve peut-être plus pur, moins intéressé. C'est vers cet Eden sensoriel que tend le film de Nicolás Echevarría - un Eden où la bienveillance n'est pas dupe de ses chances face à la marche de la conquête, mais où le discours demeure celui d'une foi véritable en l'être humain, malgré tout.
Excessif
La violence n'est pas seulement dans les actes, elle est aussi dans le silence et le mensonge. C'est l'un des enseignements les plus forts de cette merveille de cinéma primitif et viscéral.
L'Obs
Et si la révélation de l'année n'était pas plutôt ce "Cabeza de vaca" (...)?
Le Monde
(...) "Cabeza de Vaca" est plus tourné vers la contemplation des corps, des rites et des paysages. Incarné avec une rare intensité par l'acteur espagnol Juan Diego (...).
Les Inrockuptibles
Echevarría et son équipe ont trouvé le juste équilibre entre le spectacle et sa mise au service du sujet et des personnages.
Première
(...) Cette révélation tombée du ciel se situe quelque part entre "Aguirre, la colère de Dieu" et " La montagne sacrée".
Chronic'art.com
L'illustre récit (repris du journal de bord de Cabeza de Vaca) et la pente ethnographique naturellement suivie par Echevarria sont le double atout et la claire limite du film. Dans cette double exigence quelque chose, étrangement, semble faire barrage à la fiction, même si le film a pour lui quelques beaux moments isolés.
L'Ecran Fantastique
Ou quand le fantastique émane paradoxalement de l'humanité des êtres...
Libération
Le film est affecté de ces deux boulets (la musique et l'acteur), mais il avance quand même et gagne au fur et à mesure dans des détails ce qu'il perd en impact. Et n'atteint son but que dans une dernière scène, magnifique.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Un "Aguirre..." fauché mais nullement bricolé.
Télérama
Les premières séquences de "Cabeza de Vaca" font redouter une copie fauchée d'"Aguirre, la colère de Dieu". Mais le film de Nicolas Echevarria se démarque du chef-d'oeuvre de Werner Herzog par son approche quasi documentaire (...).