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TheTycker
14 abonnés
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3,0
Publiée le 15 juillet 2014
Arf, après un cinquième film sombre et froid, Yates nous sert la suite de la saga mythique... Mais non. Ca ne colle pas, c'est sûrement celui que j'aime le moins. Il y a un air humoristique dans celui-là qui est assez gênant, je n'ai pas pu me faire à cette atmosphère qui se voulait drôle. Vraiment horrible.
Si on met à part cette atmosphère, on a un superbe film. Bon acteurs et musiques, effets spéciaux géniaux, comme d'habitude j'ai envie de dire.
Je n'ai pas lu les livres et pourtant, j'ai adoré les quatre premiers opus mais ce dernier m'a littéralement ennuyée pendant deux heures trente, je n'ai pas retrouvé la magie qui m'avais émerveillée dans les précédents films et je n'ai pas compris pourquoi l'action était mise de côté pour s'attarder sur des amourettes agaçantes. Parce que oui, c'est agaçant de devoir supporter des niaiseries pareilles pendant les 3/4 du film et frustrant de voir les rares scènes à rebondissements bâclées, trop courtes. Et puis, parlons de la mort du professeur qui m'a laissé totalement de marbre alors que c'est censé être une scène émouvante, elle aussi à été bâclée et vidée de toute émotion. Cet opus devait être le plus sombre et on était censé sentir le danger plus que jamais à l'intérieur même de l'école mais tout ce qu'on voit, c'est des élèves qui passent leur temps à se bécoter comme le répète si bien Ermione. Ma déception est d'autant plus grande que j'attendais ce film avec tellement d'impatience et d'entrain, je ne comprend vraiment pas ce qui déclare avoir aimé ce film et qui n'ont pas été indigné par les répliques ridicules du genre : Tu devrais te raser harry --'
Mais pourquoi ? pourquoi ce filtre bleu omniprésent ? c'est la mode on dirait. Déjà avec Twilight, et le précédant Harry Potter… Les adaptations de romans pour ados prépubères se doivent-ils donc de paraître dark en adoptant ce filtre bleu immonde ? si on me posait des questions sur le film je répondrai : "bleu" sinon le film en lui même est pas intéressant, on a perdu la magie pour gagner des ados libidineux sans intérêt vu que les personnages n'ont aucune existence, ils sont tous vides… La réalisation est exécrable dans les scènes de combat. Le film fait dans la guimauve pour mon plus grand plaisir en tant qu'amateur de scènes nanardisante, et bien HP6 en a plusieurs, dont certaines absolument énormes. On a plein de personnages, mais ils servent à rien, même Harry Potter n'a pas de personnalité et pourtant on le voit bien pendant plus de deux heures trente à l'écran… C'est quoi ce vide continuel ? cette absence de direction d'acteur ? Et dire que ce réalisateur qui a déjà commit HP5 va commettre les deux parties du 7… pourquoi ne pas garder le réalisateur intéressant du troisième volet ? quelqu'un qui a une vision et qui l'impose ? quelqu'un qui a le sens de l'art ? Ou bien le réalisateur du 4 qui arrive à faire du mauvais quatrième livre un divertissement très sympathique… là où tout s'animait par le passé, la magie, tout est bleu pour faire genre c'est sombre… mais ou est la subtilité là dedans ? nulle part…
C'est pas possible un film pareil!!! Une vraie dégringolade au fil des années. Yates a tout foutu en l'air. Qqn peut me dire quand commence ce 6ème film, où est le début exactement. Franchement il faudra prendre un peu de recul dans 5-6 ans et en faire une vraie adaptation cohérente avec une équipe sur toutes les années et surtout, racontez nous une histoire, un peu comme les premiers films mais en moins enfantin svp
Plus sombre et plus posé, HARRY POTTER & THE HALF-BLOOD PRINCE est un opus qui mise tout sur son ambiance et sa volonté de contaminer le spectateur de sa détresse et sa nostalgie. Hypnotique et captivant, le film peine toutefois à convaincre en terme d'intrigue, peu motivé à rendre excitante une adaptation difficile.
Là ça commence à sentir la fin, de gros bouleversements en vue, et ce n'est pas pour nous déplaire. Étrangement Le Prince de Sang-Mêlé était un des films m'ayant le plus déçu à l'époque, car il faut dire que par moment il peut facilement laisser pantois, mais j'ai décidé de noter plus globalement en prenant en compte l'histoire et les données que l'on a plutôt qu'uniquement le film en lui-même. En effet, les petites choses qui me tracassaient possèdent plus de charme aujourd'hui, comme par exemple les histoires de cœur bien voire trop présentées ici malgré un climat plus qu'anxiogène avec le retour proclamé de Vous-savez-qui. Mais en même temps il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'aventures pour et sur les ados, alors ne pas développer un minimum leur sexualité serait une erreur. Et puis la fascination pour cet épisode est bien là car il s'agit bel et bien de la dernière année "normale" à Poudlard, et ça, ce n'est pas rien. Certains passages sont funs voire drôles (spoiler: comment Harry découvre le secret de Slughorn ), quand d'autres sont d'une tristesse absolue (spoiler: la mort de Dumbledore moi qui croyait qu'il était immortel le bonhomme... . Et puis en fait on explore un peu de tout dans cet épisode, c'est vertigineux. Notamment avec ce fameux livre des potions du Prince de Sang-mêlé. Ginny épanouie, Ron bourreau des cœurs, Drago dangereux, Hermione jalouse, et Harry faisant équipe pour une aventure inquiétante avec ce bon vieil Albus. Sans oublier le plus que jamais ambivalent professeur Snape - Rogue. Certes quelques défauts qui peuvent être frustrant post-lecture, mais cet épisode demeure un des plus puissants de la saga.
Bof, pas terrible... La saga devient de plus en plus décevante à chauqe épisodes depuis la coupe de feu... Je n'ai pas du tout accroché à ce volet. Par contre, Helena Bonham Carter est tout simplement géniale dans le film, même en méchante !
Harry Potter et le Prince de Sang-mêlé était l'occasion de remonter le niveau de la saga mais reste une déception car il ne le fait qu'à moitié. En effet, le pari est réussi sur la forme puisque la réalisation s'est nettement améliorée par rapport au précédent film. La narration est ici plus fluide, fini le patchwork de scènes trop rapides et sans lien entre elles. Le film en est donc plus agréable à suivre, en ajoutant également une musique sympathique bien que discrète, un visuel soigné et des acteurs plutôt corrects, mention à Jim Broadbent alias Horace Slughorn. C'est surtout dans le contenu que le bât blesse. Le film passe à côté du plus important pour mettre en avant toutes les futilités du livre. Si on retrouve presque toutes les intrigues dans le film, leur degré d'importance n'est pas respecté. Ainsi, le film met l'accent sur les émois amoureux des héros au détriment du plus important et du plus intéressant : le passé de Voldemort et les horcruxes qui passent en second, voire en troisième plan. Certains personnages ne sont également pas utilisés à leur maximum (Hagrid, Fenrir Greyback et surtout, Severus Rogue) mais d'autres ont droit à un traitement surprenant et plaisant (Bellatrix Lestrange, ici plus présente et Cormac McLaggen, un second rôle plutôt réussi même si pas forcément utile). Les autres intrigues comme le Prince de Sang-Mêlé et la mission de Drago Malefoy sont, en revanche, correctement traitées mais auraient pu l'être davantage si le film avait insisté sur la suspicion qui entoure ces intrigues. Leur dénouement n'obtient pas toujours le résultat escompté. Au final, on a donc un teen movie ennuyeux même si l'humour fait parfois mouche. Et ce ne sont pas les ajouts de scènes d'action et les scènes censées être fortes émotionnellement qui arrangent les choses tant celles-ci manquent de puissance, d'intensité. En conclusion, Harry Potter 6 est une déception mais ce n'est plus surprenant. A l'image du titre sur l'affiche : un film bancal et incomplet.
Un Harry Potter maitrisé de bout en bout avec une mise en scène spectaculaire. Pas mal d'humour avec notre trio de sorciers, et aussi beaucoup de magie. Le réalisateur ne fait pas dans le tapage, c'est une oeuvre honnête au rythme "magique". Beaucoup de talent!
J'ai autant aimé que les autres bien qu'il semble plus rapide que dans le livre, évidemment. Il se suit facilement et les amourettes de nos trois héros sortent enfin de leur coquille ! Les personnages s'impliquent davantage et doivent faire un choix. L'école et les cours sont beaucoup moins présents, idem pour le quidditch. Il faut avoir oublié une partie des livres pour apprécier au mieux le film (Hélas) et c'est mon cas.
Le Potter nouveau est arrivé. Et comme son homologue vinicole, est n’est pas bon et donne mal à la tête. Les 20 premières minutes sont pourtant assez impressionnantes visuellement. On nous en fout plein la vue, il y a des flammes dans tous les sens, on se croirait presque à un concert de Rammstein. Mais on nous ressert une histoire vaseuse à laquelle on ne pige décidément rien. Pis, on a l’impression à un moment donné de regarder « Hartley cœurs à vif » : machin sort avec truc, mais bidule-chouette qui est gay aimerait bien que le frère de truc rompe, et… On s’en branle de vos histoires les puceaux ! Vous êtes là pour apprendre des sorts, pas pour vous envoyer en l’air avec le premier venu ! Alors on se sort les doigts du cul et on se met au travail ! Non mais. Et le vieux, enfin Dumbledore je veux dire, a une fâcheuse tendance dans cet épisode à se gandalfiser : cheveux au vent, projections de boules de feu sur des Gollums, … Moi, je serais le producteur du « Seigneur des anneaux », je porterais plainte. Que dire d’autre ? Que Potter a toujours une bonne tête de con (un peu gênant pour un soi-disant héros), que le personnage d’Hermione passe malheureusement de plus en plus au second plan (il est à parier qu’au prochain épisode elle finisse en train de faire le ménage et d’élever les enfants, elle n’a plus aucune influence sur l’histoire), que le rouquin soi-disant beau bosse n’est pas crédible dans son rôle de tombeur de ces demoiselles. Bref, le meilleur des Potter selon moi, mais si l’on ne prend pas en compte les autres épisodes, c’est un semi-navet.
Après un 5e épisode en dessous, la saga "Harry Potter" reprend des couleurs avec ce "Prince de Sang-mêlé" toujours signé par David Yates qui gomme les défauts du précédent opus. Certes, sa mise en scène n’est toujours pas parfaite (la 2nde partie est plus inégale que la 1ere, l’ensemble n’est pas parfaitement maîtrisé…) mais le réalisateur a su injecter un rythme, un humour et surtout une dose de magie qui manquaient cruellement à "L’Ordre de Phénix" trop réaliste. Aidé par un scénario qui joue habilement avec les métaphores de l’adolescence (les flirts, la drogue, l’alcool…), David Yates compte également sur son formidable casting avec l’arrivée de Jim Broadbent en truculent Professeur Slughorn mais surtout l’importance (enfin !) prise par Alan Rickman en ambigu Rogue et Tom Felton en détestable Drago Malefoy (ils compensent l’absence de Voldemort, comme dans le livre). Une importance donnée aux "méchants" qui s’explique par le ton de plus en plus sombre de ce 6e opus qui nous réserve quelques scènes chocs impressionnantes, surtout pour les plus jeunes (la scène dans la grotte avec les Inferis, le duel entre Harry et Drago…). On pourra (comme toujours) reprocher certaines coupes (l’enterrement de Dumbledore, Rogue ne supportant pas qu’on le traite de "lâche"…) ou la sous-exploitation de certains éléments du livre (l’ombre de Voldemort semble se limiter ici à 5 Mangemorts qui se courent après, Harry ne parait pas traumatisé outre mesure par la perte de Sirius…) mais ce 6e film réussit à redresser la barre avant un final qui s’annonce époustouflant. En tout cas, on l’espère…
« Harry Potter et le Prince de Sang-mêlé » est vraiment bien conçu, moins fantaisiste que ces prédécesseurs. On peut saluer la mise en scène, les effets visuels, la conception comme la production, l’action plus intense et la trame encore plus sombre. Ce sixième opus de la franchise est singulièrement musclé et vigoureux. La photographie en décors naturels est tout simplement somptueuse. La distribution livre encore une fois de très bonnes prestations et notamment Michael Gambon et Alan Rickman. Un divertissement beaucoup moins teenager et beaucoup plus adulte, ce qui le rend très intéressant.