La fille coupée en deux
Note moyenne
2,3
1685 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur La fille coupée en deux ?

374 critiques spectateurs

5
33 critiques
4
78 critiques
3
19 critiques
2
95 critiques
1
89 critiques
0
60 critiques
Trier par :
Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
Dominique V.
Dominique V.

17 abonnés 221 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 18 septembre 2009
Consternante histoire platissime d’une jeune présentatrice de météo folle amoureuse d’un vieil écrivain tordu alors qu’elle est courtisée par un bellâtre oisif et torturé de riche extraction. On sent que personne n’y croit, à commencer par nous !
Et jusqu’à l’apothéose finale qui nous éclaire du titre !!!!! Risible.
Seemleo
Seemleo

69 abonnés 888 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 1 octobre 2007
Chabrol n'est pas en forme. Tout sonne faux dans ce film qui se laisse malgré tout regarder grâce au casting attrayant. L'histoire semble datée, peu réaliste. Chabrol se carricature. C'est sans profondeur, pas neuf pour un sou et surtout on n'y croit pas. Une mise-en-scène maniérée et sans âme. Bof, bof, bof. Dur de se renouveler et surtout de suciter l'intérêt.
al111
al111

23 abonnés 348 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 20 août 2007
Comme souvent avec Chabrol, le film regorge de citations, de clins d’oeil, d’hommages. Deux références retiennent l’attention, Balzac et Woody Allen, parce que le scénario, écrit d’après un fait divers du début du 20ème siècle, s’appuie sur une mécanique du récit et un certain nombre de scènes-clés entre comédie et drame, procédure chère au metteur en scène américain. La description des milieux sociaux (très grande bourgeoisie en légère décadence, et tenants du pouvoir des médias) est quand à elle typiquement balzacienne.
Mais Chabrol n’est plus ce qu’il était, il fabrique ses films à la chaîne, avec beaucoup de laisser-aller, une grande paresse dans la mise en scène et dans la direction d’acteurs. Il en ressort une grande mollesse, d’autant plus palpable que certaines scènes, hélas trop rares, ont une qualité formelle indéniable. Mais la plupart des plans sont sans saveurs, sans vibrations.
On suit tout de même l’histoire jusqu’au bout, avec un certain intérêt, dû essentiellement à Ludivine Sagnier, tout à fait crédible en belle désirée de tous, pleine de nuances, en équilibre entre innocence et compromission, séduction et naturel. Berléand est très prévisible, d’un bloc. Magimel en fait des tonnes dans son rôle de déséquilibré, avec beaucoup d’effets, et peu de crédibilité.
Math719
Math719

197 abonnés 726 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 26 août 2007
Je n'ai pas aimé ce film on s'ennui pendant tout le long on croit à un moment que ça va changer que ça va s'activer mais non même pas. Je trouve que Benoît Magimel joue vraiment mal. Il en fait beaucoup trop dans son rôle de fils de bourge sans cervelle. Sinon les autres acteurs sont très moyens aussi, on à l'impression que le film dure vraiment trop longtemps! Juste certaine scène sont intéréssante mais bon cela ne reléve qu'à peine le tout..
cristal
cristal

185 abonnés 789 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 8 mai 2011
Pour une énième fois,Chabrol fait du Chabrol.Et c'est justement la pire chose que l'on puisse lui reprocher.Bourgeoisie,étude des moeurs,critique du puritanisme et de l'amour lié au pouvoir,il passe son temps à ressaser des thèmes que l'on a déjà vu mille fois chez lui,et toujours de la même manière.Avec une certaine froideur et une évidente théâtralité (ses personnages en sont la preuve),il filme dans "La fille coupée en deux" (métaphore qu'il nous fait croire plus subtil dans une fin inutile) la chute de deux hommes,Charles Saint-Denis (François Berléand,toujours les mêmes tirades et les mêmes expressions),écrivain pervers à succès,et Paul Gaudens (excellent Benoît Magimel),un gosse de riche détraqué et souffrant de pulsions liées au fond à un rejet de son statut,en même temps que de traumas datant de son enfance.Au milieu de ces deux hommes,Gabrielle DeNeige (sublime Ludivine Sagnier),présentatrice météo qui ne tarde pas à infiltrer la présentation d'émissions (dans l'une desquelles Edouard Baer se livre en guest le temps de 5 minutes pour un dialogue tordant sur Woody Allen),blonde angélique et candide,ingénieusement manipulée et involontairement manipulatrice (?).Elle est le vecteur du drame de ces deux hommes (drame qui se densifie vers la fin,mais de manière bien trop rapide),et Chabrol de suivre son réçit linéairement,sans aucune audace et avec très peu d'humour.Tout est tellement pris au sérieux et filmé avec une telle prétention qu'on ne finit par ne plus croire à la relation entre Gabrielle DeNeige et Charles Saint-Denis,et encore moins entre celle de la même Gabrielle DeNeige et Paul Gaudens.Un triangle amoureux archi-aseptisé et banal,dont les décors (le bar favori de Charles Saint-Denis ou son amoureuse se livre à des jeux sexuels,son appartement miteux nommé "Paradis",où l'ange y passe le plus clair de son temps -hasard?-,ou encore la grande demeure des Gaudens) sont en permanence filmés avec un recul agaçant,comme si Chabrol ne voudrait surtout pas f
galau7
galau7

30 abonnés 719 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 13 août 2007
Une histoire sans relief ni surprise, un amour à trois dont les épices( la perversion du vieux et la folie du jeune) ne relèvent pas la banalité.
Le minable jeu de mot du titre associé à la scène finale constitue l'apothéose de l'incompréhension du spectateur qui attend désespérément un rebondissement qui n'arrive jamais.
Les acteurs tirent malgré tout leur jeu de ce désastre cinématographique.
ninilechat
ninilechat

76 abonnés 564 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 28 août 2007
Que de bonheurs il nous aura donné, Chabrol, au fil d’une carrière aussi longue que dense. Petits films troussés à la va vite, mais avec du rythme, du mauvais esprit... Et grands films, (souvent avec Isabelle Huppert); Chabrol peut être un cinéaste de premier plan. Malheureusement, depuis quelque temps, il fait n’importe quoi –hélas, un n’importe quoi qui s’y croit.
Içi, Ludivine Sagnier est une petite allumeuse égocentrique, « folle amoureuse » d’un écrivain sexagénaire –disons qu’elle le veut comme un môme capricieux, un paquet de malabars au supermarché. Sauf à la fin où elle pleurniche un peu, expression unique: un large sourire qui se veut conquérant. Performance d’actrice : zéro. Mais elle est ravissante… Elle est désirée avec la même frénésie par le rejeton dégénéré, psychopathe d’une famille d’industriels lyonnais, Benoît Magimel grimaçant, mauvais comme un cochon, un acteur pourtant qui peut être excellent. Heureusement il y a le vieux vicieux, le sexa qui s’empresse d’entraîner sa nouvelle partenaire dans des boites échangistes select du vieux Lyon (là, on retrouve « notre » Chabrol), et ment à sa femme avec une exemplaire mauvaise foi : Berleand, extra. Il nous console du reste. Les personnages secondaires sont généralement bien, et on repère au passage quelques excellentes tables de la « capitale des Gaules ». Là, l’auteur n’a pas perdu la main.
Mais tout cela est inutile, on s’en fiche, on s’ennuie. C’est exactement cela : un film inutile. Tout est tellement convenu, mille fois vu…
Chabrol est génial lorsqu’il décrit la bourgeoisie de province. Ah, ces soupers fins, à l’Auberge du Grand Cerf, entre un notaire véreux, un assureur louche et un médecin plein de secrets inavouables….. Malheureusement, son truc maintenant semble être de s’attaquer à la très haute société, et là, il est à côté de la plaque. Il en donne une caricature grossière, attendue, donc donc pas drôle.
Chabrol, on se reprend ou on se consacre à temps plein aux joies de la table..
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 28 mai 2010
Brouillon et sans direction...
Berléand fait du Berléand, et Magimel en fait des tonnes...
sebvde
sebvde

9 abonnés 68 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 19 avril 2020
Pas le plus grand film de Chabrol, inspiré d un fait d'hiver qui eu lieu a New-York au debut du 20ème siècle. Dans ce film Chabrol nous dis tout sans rien nous montrer Un film sensuel pas du tout érotique qui nous plonge dans les relations d'un ecrivain qui pervertis une jeune fille qui est adule par un fils et un papa.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 9 août 2007
De moins en moins étonnant, de moins en moins crédible .Chabrol donne la décevante impression de peindre une toile supposée "de maitre" en oeuvrant à la truelle, avec une peinture incolore.
Alexandre B
Alexandre B

8 abonnés 116 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 29 août 2007
Pour une fois que la presse donne une meilleure note que les spectateurs, il faut que cela soit sur un film qui intellectualise à outrance des thèmes finalement assez simples et courants. c'est dommage.

J'ai trouvé la trame du film assez décousue, le montage fait à la va-vite où l'on saute d'une scène à l'autre sans ménagement... toute la fraîcheur de Ludivine Sagnier, la belle gueule énervante de Benoit Magimel et le charisme de François Berléand ne peuvent permettre à ce film d'être réussi selon moi. c'est dommage, on avait déjà de bons ingrédients mais la sauce n'a pas prise.
Eric C.
Eric C.

256 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 9 juin 2016
C’est sur, c’est du Chabrol . Une gentillette intrigue, la bourgeoisie de Province, ici lyonnaise, et ses acteurs habituels à quelques variantes prêt. On y retrouve une critique quasi bobo et caricaturale des travers de cette bourgeoisie, de ces notables riches et importants dans leur environnement et bien sûr on insiste sur leur perversité, leur inévitable pulsion à tromper les autres, en particulier les plus faibles. Parfois Chabrol livre de véritables perles, parfois il se contente de se caricaturer lui même, d’être paresseux dans la direction d’acteurs et dans l’intrigue et de seulement répéter ses gammes. C’est le cas avec ce film globalement raté avec en prime une fin bâclée car on sent que Chabrol ne sait pas comment finir son film. Alors en route pour la grosse ficelle pour nous servir le symbolisme qui justifiera le titre du film mais nous laissera totalement en plan au lieu de nous surprendre par un final en feu d’artifice ou coup de théâtre final qui aurait pu donner un sens à tout cela. Les acteurs se fondent dans ce confort global et seule Ludivine Sagnier apporte quelques éclairs de fraîcheur mais globalement Chabrol arrive même à l’anesthésier elle aussi. Un Chabrol décevant et peu utile.
calamarboiteux
calamarboiteux

29 abonnés 440 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 13 août 2011
Gabrielle, une jeune présentatrice de météo à la télévision (Ludivine Saignier), tombe sous le charme d’un quinquagénaire (François Berléant). Mais le jeune Paul Gaudens (Benoît Magimel), qui déteste son rival, la veut pour lui.
Schéma oh combien convenu donc, mis en scène de manière très professionnelle et très classique, avec d’intéressants dialogues et de riches décors. Nous sommes encore une fois dans la satire sociale de la grande bourgeoisie, dans l’opposition entre parvenus et établis, univers où Gabrielle détonne. Tous les acteurs sont bons, le milieu littéraire et les coulisses de la télévision sont crédibles.
Mais le déroulement est tellement prévisible, le scénario manque tellement d’invention, les perversions, supposées ou réelles, sont si peu étonnantes, que l’intérêt faiblit et que l’on a hâte d’arriver au dénouement. La partie finale rehausse le ton, le dilemme dans lequel est prise la jeune femme la brise, elle devient pathétique et dérive à la manière de l’héroïne de La Strada, avec d’ailleurs parfois le même regard. De beaux moments d’émotion donc, mais, hélas, après une heure trente d’un ennui certes diffus, mais tenace.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 21 septembre 2007
pas grand interet à ce film . on essaie de suivre l histoire qui n aboutit à rien de concret. dommage.
weihnachtsmann
weihnachtsmann

1 236 abonnés 5 271 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 3 février 2022
Je n'ai pas été si emballé que ça. J'ai trouvé qu'au final, il y avait beaucoup de bruit pour pas grand chose. Un montage parfois hyper nerveux, des humeurs des personnages parfois incompréhensibles et une froideur qui n'aide pas au récit sauf peut-être à justifier cette fin qui est plutôt moyenne.
Pas mon préféré en tout cas.
Les meilleurs films de tous les temps
  • Meilleurs films
  • Meilleurs films selon la presse