Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Alice Antheaume
En 1h55, Chabrol, formidable portraitiste, signe avec sa co-scénariste Cécile Maistre un film saisissant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
La Fille coupée en deux est à la fois d'un pessimisme noir (...) et un film piquant et vif comme son personnage principal qui, même dans l'adversité, ne s'apitoie pas sur son sort mais reste droit (...) Chabrol est décidément un immense cinéaste et tient là une de ses oeuvres les plus puissantes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Muriel Steinmetz
Chabrol se garde bien de prendre ouvertement position. À son habitude, il agit en entomologiste, épinglant les comportements à l'aide d'indices allégoriques finement disséminés dans ce récit qui n'a au fond qu'à voir avec le bien et le mal.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Un écrivain érotomane, les coulisses de la télévision et quelques spécimens gratinés de la bourgeoisie lyonnaise : c'est la recette du Chabrol nouveau. Une cuvée 2007 aussi sombre que réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
(pour) (...) Claude Chabrol (...) signe sans conteste un des meilleurs films de sa déjà longue carrière (...) c'est l'oeuvre d'un maître. Sur la forme comme sur le fond: rien de trop. Mais rien ne manque.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Dense, grave, émouvant : un des plus beaux films de Chabrol, servi par un casting de haute volée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Philippe Rouyer
Claude Chabrol (...) livre, avec "La Fille coupée en deux", une pièce maîtresse de son oeuvre récente (...) Au côté de son nouvel acteur fétiche Benoît Magimel, une fois de plus étonnant, Ludivine Sagnier, dans l'un de ses plus beaux rôles, rayonne.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Louis Guichard
Avec un sens confondant de l'époque, Chabrol (...) rapporte [le fait divers de référence] à une problématique éminemment contemporaine que l'on pourrait libeller ainsi : vie privée, vie publique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
La Fille coupée en deux laisse une impression de vigueur, presque d'urgence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
A travers une banale histoire de triangle amoureux (...), [Chabrol] ménage un suspense coloré d'ironie dont il nous livre petit à petit les clés et qui se laisse regarder avec jubilation. Cette histoire qui prend son temps fait la part belle aux acteurs, excellents.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La rédaction
Réjouissants contrastes d'un microcosme dont la perversité est racontée avec élégance et distinction.
Première
par Sophie Grassin
(...) un film soigné et amer (...) Ludivine Sagnier (...) et Benoît Magimel (...) y sont mieux que bien.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Claude Chabrol (...) décoche de savoureuses flèches assassines. Et renoue (à l'exception de quelques clichés) avec le meilleur de son cinéma
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Le seul mystère du film est dès lors de savoir si son total manque de mystère est voulu ou subi par son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par Françoise Delbecq
(...) le nouveau Chabrol déçoit un peu. Pourtant, tous les ingrédients y sont : peinture au vitriol du milieu bourgeois, meurtres, fausse morale...
La critique complète est disponible sur le site Elle
Paris Match
par Alain Spira
On a du mal à digérer ce scénario décalé mais insuffisamment décapent (...) on ne fait que picorer ce qu'il y'a de bon à prendre, sans s'ennuyer, mais sans se régaler.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
C'est moins la fille écartelée entre le désir de deux hommes rivaux que le film avec ses incessantes ruptures de ton qui nous laisse sur notre faim. En ciblant un monde en trompe-l'oeil, Claude Chabrol joue sa partition sur un mode mineur. Mais, avec un acteur majeur : Benoît Magimel.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le spectateur ressort alors coupé en deux, partagé entre le plaisir coupable d'avoir adhéré au ton vachard d'un auteur par ailleurs au meilleur de sa forme sur le plan formel, et l'agacement d'avoir assisté à une enfilade de clichés chabroliens (...)
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Brazil
par Eric Coubard
Le nouveau Chabrol est désespérant (...) Faux-semblants, trucages, mensonge, perversion, pouvoir, l'air chabrolesque est vicié. On ne croit pas un instant à ce couple alléchant sur le papier, Berléand-Sagnier.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
(contre) Tout sonne faux dans cette satire sociale qui ne se révèle jamais mordante (...) Seule Ludivine Sagnier illumine de sa blondeur candide cette chronique sans éclat (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Alexandra Schwartzbrod
C'est un vaudeville grossier dont certains épisodes manquent cruellement de crédibilité (...) [La] seule mais immense source de plaisir [:] Ludivine Sagnier, toute en fragilité et en lumière (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Toute la panoplie du parfait petit film chabrolien est présente dans ce nouvel opus qui se laisse suivre sans déplaisir, mais sans réel enthousiasme non plus (...) Le film réserve malgré tout de bons moments.
20 Minutes
En 1h55, Chabrol, formidable portraitiste, signe avec sa co-scénariste Cécile Maistre un film saisissant.
Chronic'art.com
La Fille coupée en deux est à la fois d'un pessimisme noir (...) et un film piquant et vif comme son personnage principal qui, même dans l'adversité, ne s'apitoie pas sur son sort mais reste droit (...) Chabrol est décidément un immense cinéaste et tient là une de ses oeuvres les plus puissantes.
L'Humanité
Chabrol se garde bien de prendre ouvertement position. À son habitude, il agit en entomologiste, épinglant les comportements à l'aide d'indices allégoriques finement disséminés dans ce récit qui n'a au fond qu'à voir avec le bien et le mal.
L'Obs
Un écrivain érotomane, les coulisses de la télévision et quelques spécimens gratinés de la bourgeoisie lyonnaise : c'est la recette du Chabrol nouveau. Une cuvée 2007 aussi sombre que réjouissante.
Le Journal du Dimanche
(pour) (...) Claude Chabrol (...) signe sans conteste un des meilleurs films de sa déjà longue carrière (...) c'est l'oeuvre d'un maître. Sur la forme comme sur le fond: rien de trop. Mais rien ne manque.
Les Inrockuptibles
Dense, grave, émouvant : un des plus beaux films de Chabrol, servi par un casting de haute volée.
Positif
Claude Chabrol (...) livre, avec "La Fille coupée en deux", une pièce maîtresse de son oeuvre récente (...) Au côté de son nouvel acteur fétiche Benoît Magimel, une fois de plus étonnant, Ludivine Sagnier, dans l'un de ses plus beaux rôles, rayonne.
Télérama
Avec un sens confondant de l'époque, Chabrol (...) rapporte [le fait divers de référence] à une problématique éminemment contemporaine que l'on pourrait libeller ainsi : vie privée, vie publique.
Le Monde
La Fille coupée en deux laisse une impression de vigueur, presque d'urgence.
Le Parisien
A travers une banale histoire de triangle amoureux (...), [Chabrol] ménage un suspense coloré d'ironie dont il nous livre petit à petit les clés et qui se laisse regarder avec jubilation. Cette histoire qui prend son temps fait la part belle aux acteurs, excellents.
Ouest France
Réjouissants contrastes d'un microcosme dont la perversité est racontée avec élégance et distinction.
Première
(...) un film soigné et amer (...) Ludivine Sagnier (...) et Benoît Magimel (...) y sont mieux que bien.
TéléCinéObs
Claude Chabrol (...) décoche de savoureuses flèches assassines. Et renoue (à l'exception de quelques clichés) avec le meilleur de son cinéma
Cahiers du Cinéma
Le seul mystère du film est dès lors de savoir si son total manque de mystère est voulu ou subi par son auteur.
Elle
(...) le nouveau Chabrol déçoit un peu. Pourtant, tous les ingrédients y sont : peinture au vitriol du milieu bourgeois, meurtres, fausse morale...
Paris Match
On a du mal à digérer ce scénario décalé mais insuffisamment décapent (...) on ne fait que picorer ce qu'il y'a de bon à prendre, sans s'ennuyer, mais sans se régaler.
Télé 7 Jours
C'est moins la fille écartelée entre le désir de deux hommes rivaux que le film avec ses incessantes ruptures de ton qui nous laisse sur notre faim. En ciblant un monde en trompe-l'oeil, Claude Chabrol joue sa partition sur un mode mineur. Mais, avec un acteur majeur : Benoît Magimel.
aVoir-aLire.com
Le spectateur ressort alors coupé en deux, partagé entre le plaisir coupable d'avoir adhéré au ton vachard d'un auteur par ailleurs au meilleur de sa forme sur le plan formel, et l'agacement d'avoir assisté à une enfilade de clichés chabroliens (...)
Brazil
Le nouveau Chabrol est désespérant (...) Faux-semblants, trucages, mensonge, perversion, pouvoir, l'air chabrolesque est vicié. On ne croit pas un instant à ce couple alléchant sur le papier, Berléand-Sagnier.
Le Journal du Dimanche
(contre) Tout sonne faux dans cette satire sociale qui ne se révèle jamais mordante (...) Seule Ludivine Sagnier illumine de sa blondeur candide cette chronique sans éclat (...)
Libération
C'est un vaudeville grossier dont certains épisodes manquent cruellement de crédibilité (...) [La] seule mais immense source de plaisir [:] Ludivine Sagnier, toute en fragilité et en lumière (...)
MCinéma.com
Toute la panoplie du parfait petit film chabrolien est présente dans ce nouvel opus qui se laisse suivre sans déplaisir, mais sans réel enthousiasme non plus (...) Le film réserve malgré tout de bons moments.