Époque guerre froide, États-Unis versus Union Soviétique, le match a commencé, ça donne cette science-fiction fantastique, leurs espions sont exposés au risque nucléaire, un lien avec la miniaturisation atomique bien sûr, c'est de la cohérence scientifique de cinéma.
Bons effets spéciaux sixties, l'ambiance est inquiétante, musique pour mettre la pression dans une mise en scène superbe, la plongée in extrémiste dans un corps humain possédant tout ce qui a de plus bizarre dans l'histoire, de bonne explication de science spéculative.
On peut dire que l'on retient notre souffle avec cette ventilation respiratoire jusqu'à l'électron libre cervical, ce sera pour la bonne cause, l'expérimentation humaine, pas d'effets secondaires médicamenteux.
Les globules blancs policiers contre des étrangers d'un corps comateux, une réponse à l'agression anticorps, leurs réactions défensives sont normales, c'est perspicace pour des éléments considérés tels visibles qu'au microscope, ainsi la complexité de la vie, se trouve à l'intérieur est viral.
Une intrigue très intéressante et incroyable, n'oublions pas les rouges globules aspects réels dans ce monde anatomique fabuleux, notre sang vital liquide à l'air libre, surtout vers la fin, tout rentre dans l'ordre, le sabotage est révélé, les bons flics globuleux blancos s'en chargent et le reste au séjour délai expiré mission accomplie est expulsé.
Un happy ending de soulagement, trouver un moyen de le soigner en envoyant ce sous-marin miniaturisé expédition de membres scientifiques, tous minis acteurs dans la plus profonde de la conscience de l'homme.