AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,4
5771 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Numéro 9 ?
5
97 critiques
4
209 critiques
3
82 critiques
2
129 critiques
1
66 critiques
0
21 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Un très beau graphisme pour ce film d horreur d animation à voir. Dans la lignée du scénario post apocalyptique de Wall E et des séquences terrifiantes de Coraline, Numéro 9 se montre comme étant un excellent mélange de tout ça, très enrichissant à voir et à écouter. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5
mon film préféré, incroyable triste, je pleure à chaque fois mais malheureusement, il demande un publique spécial donc je ne m'étonne pas des mauvaises notes......
Graphiquement c'est somptueux. Les couleurs sont superbes et les gueules des personnages miniatures plein de poésie. Le souci c'est l'intrigue un peu maigre et le final un peu poussif. Un beau petit film d'animation mais qui est quand même un peu passé à côté de quelques choses qui aurait pu être magnifique.
Il est tellement bien, très sous-coté, on en parle jamais alors qu'il est bien mieux que certains film d'animations d'aujourd'hui et pourtant je ne suis pas fan de ce genre cinématographique.
Peut-être le côté sombre et le style du film que j'ai bien kiffé 👍
Peut-être le côté sombre et le style du film que j'ai bien kiffé 👍
Numéro 9 est un film d'animation très réussie. Le film n'est pas long à regarder et l'histoire est intéressante. Ce film se déroule dans un monde apocalyptique où l'espère humaine est éteinte après un combat contre les machines. Subsiste dans ce monde des créatures fabriqués par un scientifique, des sortes de poupée. Tout basculera lorsque le numéro 9 va se réveiller...
Bref : un conte moderne, intense et magnifiquement réalisé.
Bref : un conte moderne, intense et magnifiquement réalisé.
film d'animation très sombre et émouvant
le film fait le taff
avec une histoire très intéressante dans un univers post apocalyptique très prenant
le film fait le taff
avec une histoire très intéressante dans un univers post apocalyptique très prenant
"Numéro 9" est l'un des films d'animation les plus sombres et les plus glauques que j'ai vu de ma vie. Et pourtant, contrairement à ce que je croyais, c'est pas un film d'animation réalisé par Tim Burton, bien qu'il l'ait produit. Comme quoi, il n'y a pas que Tim Burton qui est capable de réaliser ce genre de choses. Concernant mon avis sur "Numéro 9", j'ai trouvé ça vraiment bien, sans crier au chef-d'oeuvre, c'est un film d'animation ultra sombre, sérieux et glauque, mais qui a une ampleur profonde surprenante et un aspect dramatique fort. "Numéro 9" est avant-tout un film d'animation mature qui fait preuve de créativité, qui propose quelque chose de vraiment intéressant, avec une histoire tragique dans un contexte post-apocalyptique, où les machines ont exterminé l'humanité sur Terre. Le film dégage également beaucoup de mystère jusqu'à la toute fin où les révélations sont surprenantes. Même si le film adopte quelques traits comiques très rares, le drame est nettement plus présent avec des scènes émouvantes, mais aussi très sombres. Le design de chaque personnage est bien, l'animation reste toujours potable même avec les années qui ont passé. Y'a également des scènes d'action palpitantes qui donnent de la pêche au film et qui le rehausse fortement. Au niveau des personnages, tout est réussi. Chaque personnage sont bien travaillés, aussi bien au niveau du design que du développement. Ils ont chacun une personnalité qui leur correspond : le courage, la peur, la combativité, le savoir, etc... ils sont tous attachants du côté des protagonistes. Les machines sont tout aussi réussies graphiquement, et sont bien terrifiantes et impressionnantes dans leur design, mention spéciale à la grande machine qui est vraiment imposante et impressionnante. La musique de Danny Elfman manque un peu d'impact, mais rentre très bien dans le concept. Niveau doublage, la VO est aussi bonne que la VF. Dans la VO, on retrouve beaucoup de tête connues, comme Elijah Wood pour la voix de 9, Christopher Plummer pour la voix de 1, Jennifer Connelly dans le rôle de 7, John C. Reilly dans le rôle de 5, ou encore Crispin Glover pour la voix de 6. On peut aussi noter la présence d'Alan Oppenheimer dans le rôle du scientifique. En conclusion, "Numéro 9" est un film d'animation à l'aspect inquiétant et sombre, mais ça reste un film d'animation qui donne un autre point de vue qu'on voit d'habitude en terme d'animation. Les plus jeunes seront peut-être un peu trop impressionnés, mais en tout cas, je le recommande fortement, du moins pour un public plus tolérant.
Un bon film d'animation visuellement réussi mais sombre au niveau de l'atmosphère générale (monde dévasté par la guerre avec des robots), les personnages, qui ne sont que des poupées numérotées jusqu'à neuf avec chacune leur propre personnalité, sont attachants. Le scénario est simple (la poupée n°9 réveille accidentellement le robot redoutable à l'origine de la destruction de l'humanité mais le numéro 9 va fédérer autour de lui les autres poupées survivantes pour vaincre cette impitoyable machine et permettre un nouveau départ à la vie sur Terre) mais enchainement des scènes est efficace. Un film d'animation méconnu qui mérite d'être vu.
Un grand bravo pour ce film d’animation réellement original (chose étant de plus en plus rare au cinéma), bourré d’imagination et très réussi visuellement.
C’est dans un décor post-apocalyptique proche de l’univers de Tim Burton (normal, il en est le producteur) que nous embarque Shane Acker à travers ce film. Ici tout est sombre, dévasté, ce qui tranche d’avec ce qu’on a l’habitude de voir dans les dernières animations sorties : c’est d’ailleurs très intéressants de voir Numéro 9 et Là haut pour comprendre toute l’étendue des possibilités qu’offrent l’animation car ces 2 Grands Films sont à des années lumières l’un de l’autre et pourtant sont tous deux excellents.
En effet, Numéro 9 frappe tout d’abord par la qualité de ces images qu’on a parfois du mal à imaginer être de simples animations tant le rendu est sublime. Que ce soit les personnages dont les expressions font immédiatement oublier que ce ne sont pas des humains, les décors somptueux, les scènes de poursuite avec la Bête ou bien encore la scène final de libération, le rendu visuel est absolument magnifique et permet de créer un monde totalement fictif mais qu’on pourrait croire réel aux vus des détails et de la précision distillés à l’écran par le numérique.
L’autre point fort de ce film réside dans l’histoire et les émotions qui sont véhiculées à travers ces personnages atypiques mais extrêmement attachants. Chacun a sa propre personnalité, ses propres émotions qui vont dicter ses actions tout au long du récit et donner une réelle impression d’humanité. Le scénario quand à lui est plutôt bien traité et permet de faire du neuf avec une histoire déjà vue et la dernière scène est très poétique, onirique même et arrive à émouvoir le spectateur médusé par la beauté des images et tristes à la fois de devoir quitter ses petits bonhommes au bout d’1h20 de bonheur un peu court tout de même…
En résumé, une vraie réussite visuelle, avec des images d’une grande beauté et un atmosphère vraiment atypique et reconnaissable de la marque de Tim Burton. Mais aussi et surtout une réussite émotionnelle qui transportera le spectateur dans un univers imaginaire et poétique au fil d’un récit riche en rebondissements.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
C’est dans un décor post-apocalyptique proche de l’univers de Tim Burton (normal, il en est le producteur) que nous embarque Shane Acker à travers ce film. Ici tout est sombre, dévasté, ce qui tranche d’avec ce qu’on a l’habitude de voir dans les dernières animations sorties : c’est d’ailleurs très intéressants de voir Numéro 9 et Là haut pour comprendre toute l’étendue des possibilités qu’offrent l’animation car ces 2 Grands Films sont à des années lumières l’un de l’autre et pourtant sont tous deux excellents.
En effet, Numéro 9 frappe tout d’abord par la qualité de ces images qu’on a parfois du mal à imaginer être de simples animations tant le rendu est sublime. Que ce soit les personnages dont les expressions font immédiatement oublier que ce ne sont pas des humains, les décors somptueux, les scènes de poursuite avec la Bête ou bien encore la scène final de libération, le rendu visuel est absolument magnifique et permet de créer un monde totalement fictif mais qu’on pourrait croire réel aux vus des détails et de la précision distillés à l’écran par le numérique.
L’autre point fort de ce film réside dans l’histoire et les émotions qui sont véhiculées à travers ces personnages atypiques mais extrêmement attachants. Chacun a sa propre personnalité, ses propres émotions qui vont dicter ses actions tout au long du récit et donner une réelle impression d’humanité. Le scénario quand à lui est plutôt bien traité et permet de faire du neuf avec une histoire déjà vue et la dernière scène est très poétique, onirique même et arrive à émouvoir le spectateur médusé par la beauté des images et tristes à la fois de devoir quitter ses petits bonhommes au bout d’1h20 de bonheur un peu court tout de même…
En résumé, une vraie réussite visuelle, avec des images d’une grande beauté et un atmosphère vraiment atypique et reconnaissable de la marque de Tim Burton. Mais aussi et surtout une réussite émotionnelle qui transportera le spectateur dans un univers imaginaire et poétique au fil d’un récit riche en rebondissements.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Dans un monde désolé, ravagé par la guerre, les hommes ont déclaré forfait face à leur propre création: les machines. Il ne reste des villes que décombres et cadavres. Ce film nous immerge sans préambule dans un décor post-apocalyptique sombre et sans vie, proche de celui de Fallout 3, pour les puristes. Autant dire que ce n'est pas la joie et qu'un public trop jeune ne sera pas aux anges comme devant la Reine des Neiges. En lorgnant à ce point sur les classiques de la SF, Shane Acker vise un auditoire avertit, qui plus est sous l'influence d'une production Burtonienne. Néanmoins, cela reste très différent d'une base graphique aux contours anguleux et filiformes, comme l'étrange noël de Mr. Jack. C'est beaucoup plus raffiné et moderne, riche de détails et de contrastes. A commencer par le design des personnages, sortes de poupées de chiffon évoluant en mode survival en quête d'objets de récupération et de réponses au but ultime de leur existence. Numéro 9 sort du lot par son déterminisme. Il est en quelque sorte la pierre angulaire à cette étrange civilisation déchue. Un animé assez unique en son genre, ce qui lui confère une originalité peu commune. Il en résulte une aventure épique et dramatique, rythmée au cœur de l'action et du retranchement. Même si le second degrés n'est pas au goût du jour, on passe un agréable moment. 4/5
Un tres beau film, un tres beau message, une belle trame et un scenario reflechit ! Les emotions sont tres bien transmises. Seul bemol pour ma part, des moments parfois trop effrayant pour le jeune age, et quelques moments trop enfantin pour le grand public !
1 ; Du suspens, de la poésie
2 ; Pareil
---------------------------------------
---------------------------------------
2 ; Pareil
---------------------------------------
---------------------------------------
Arthur Debussy
« Numéro 9 » est un beau film d'animation, qui malheureusement n'exploite pas tout le potentiel qu'il semble promettre dès le début. Les toutes premières secondes sont décidément très belles, une merveille d'animation : le jeu des mouvements, de la lumière et du temps, qui s'écoule lentement, la qualité et la beauté de l'image... Et l'histoire se révèle émouvante : 9 faibles créatures, amas de chiffons et de fermetures éclairs, boutons et autres épingles à nourrice sont éveillées à la vie par un créateur un peu fou, et doivent se débattre dans un monde apocalyptique qu'elles doivent sauver de la destruction. A l'aide de ces 9 créatures de bric et de broc, les scénaristes dépeignent toute une palette de sentiments, chaque personnage ayant son caractère, ses forces et ses faiblesses, représentant en quelque sorte les différentes facettes de l'humanité. Car dans un monde sans humains, peuplé de machines infernales, ce sont finalement ces 9 poupées de chiffons qui restent seules à porter le peu d'humanité qu'il reste. Je dois donc dire que le concept, l'idée de base du film est très originale, et pour tout dire très bonne. C'est seulement le traitement, le déploiement de cette idée qui reste décevant. Car si l'on excepte ces 9 personnages et la raison (touchante elle aussi) de leur existence, bref le cadre et le fond de l'histoire, le déroulement des péripéties est on ne peut plus linéaire, et relativement prévisible. On reste dans le film d'aventure initiatique type outre-Atlantique... Je n'ai pas vu le court métrage à l'origine de ce film, mais on sent qu'il s'agit d'une idée étirée bien plus qu'une histoire suffisamment riche pour se suffire à elle-même 1h30... Mais ne boudons pas notre plaisir, ça nous change des « Cendrillon 3 - Le Retour » en pilotage automatique ! Un film à voir, mais peut-être un peu sombre pour les jeunes enfants : à réserver aux adolescents et aux adultes.
Nicolas V
L'interet de numéro 9 est son ambiance post apocalyptique soigné réservé à un publique ados adulte ( pas aux enfants ). L'ambiance est réussie avec une histoire originale et des scènes visuellement maitrisées.
Cet univers de "gentils monstres" à la mécanique magique fait penser au style du grand Tim Burton mais numéro 9 va dans une autre direction : celle de l'action. De nombreux combats et un suspence due aussi à cette ambiance macabre.
Les personnages sont , hélas , tous assez classiques niveau caractère ( le gros balaise, le vieux suspicieux , le héros gentil etc.... ).
Numéro 9 n'est pas pour toute la famille et ce n'est pas une mauvaise chose car cela fait du bien un bon film d'animation sans princesse ni chanson.
Cet univers de "gentils monstres" à la mécanique magique fait penser au style du grand Tim Burton mais numéro 9 va dans une autre direction : celle de l'action. De nombreux combats et un suspence due aussi à cette ambiance macabre.
Les personnages sont , hélas , tous assez classiques niveau caractère ( le gros balaise, le vieux suspicieux , le héros gentil etc.... ).
Numéro 9 n'est pas pour toute la famille et ce n'est pas une mauvaise chose car cela fait du bien un bon film d'animation sans princesse ni chanson.
Je ne m attendais pas du tout à un film d animation aussi bien penser et original. J ai adore le décor post apocalyptique et teinte de machine robotique sur fond de fin de la race humaine... On dirait Terminator le scénario.... Mais le film file à cent à l heure plein d action sur une très belle mise En scène plein de noirceur et de décors futuriste... Les personnages bouts de chiffons au final sont très attachants et sont tous différent et surprenants... Le film regorge d idée et d inventions.même si beaucoup de chose sont prévisibles au final quand on le regarde mais aussi plein de message sur notre monde l'être humain les machine notre société..... Peut être un peu trop noir pour des enfants ce film d animation fera le bonheur des plus grand
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse