Si l'émotion a un peu de mal à passer, cette version longue de l'étonnant court-métrage du même nom reste un divertissement tout à fait recommandable et visuellement abouti, qui peut se vanter d'avoir un univers très marquant.
Trés bon film d'animation, un début un peu perturbant qui commence bizarrement mais qui ne met pas trop longtemps a nous expliquer ce qui se passe!! Bref un bin film ou l'on s'accroche bien au personnages dans ce monde futuriste ou plus personne ne vie !! Bref un superbe film.
Que dire si ce n'est que ce beau film d'animation est véritablement un petit bijou. Très agréable a regarder avec des personnages attachant et une belle histoire. On découvre comment le monde a été ravagé en même temps que Numéro 9 le découvre. Le seul point faible de ce film réside dans sa durée: je trouve que 1h20 n'est pas suffisant car on est vraiment plongé dans le film et les 80 minutes passent a une telle vitesse qu'on en veut encore. 20 minutes de aurait été parfait. Le scénario est aussi assez simple mais il est très interessant des le début du film. Au niveau de l'animation je ne trouve rien a redire car le travail fait pour le film est éblouissant. (les détails des personnages, les décors...) En bref, une belle fresque fantastique que nous offre la Shane Acker et produit par Tim Burton.
Un très bon film de science - fiction qui s'impose par l'originalité de son scénario et de ses effets - visuels savoureux . Un petit bijou signé par Shane Acker , joué par des acteurs splendides , dans ce superbe film d'animation post - apocalyptique à la sauce " Terminator " , ou nous sommes pas prêt à en sortir vivant .
Un film d'animation original et beau. Malheureusement le scénario n'est pas des plus emballant et procure au final que trop peu d'émotions.C'est tout de même une belle prouesse technique qui se regarde avec plaisir.
Insistant sur l'avenir de l'humanité et la dépendance des hommes envers les machines, "9" est une petite réussite ne serait-ce que par sa réalisation vraiment jolie (choix de couleurs, ambiance visuelle en général) et par ses nombreuses bonnes idées (l'humanité symbolisée par 9 petits personnages très fascinants). On pourrait lui reprocher un manque de profondeur scénaristique ou bien une durée un peu faiblarde, mais "9" reste un film d'animation vraiment sympa et qui a le mérite de se démarquer de tous ces disney, pixars, dreamworks et autres grâce à une ton plus "adulte" au niveau du contexte.
Quel dommage !! Franchement, ce film semblait sympa et pas trop gnangnan comme certains films d'animations. Mais malheureusement, l'histoire manque d'intérêt et elle est surtout mal expliquée avec beaucoup d'incohérences et de réponses sans questions. Au lieu de miser sur la beauté de l'animation et des images, le scénariste et réalisateur auraient pu s'attarder un peu plus longtemps sur le scénario, la présentation des différents personnages ainsi que plus de détails concernant cette fameuse guerre entre les humains et les machines,... Une bonne animation et de belles images ne suffisent pas pour rendre un film intéressant. Déçu.
Sérieux du début à la fin, Numéro 9 charme par ses animations de poursuites et de combat, par les décors apocalyptiques très détaillés et surtout par le réalisme de ces poupées de chiffons. On regrettera peut être un scénario "déjà vu". Grande maitrise.
Il faut croire que le buzz marche beaucoup plus souvent qu'on ne le croit... Impressionné par le court-métrage éponyme de Shane Acker (datant de 2005 et fortement récompensé), Tim Burton s'est intéressé au jeune réalisateur américain et lui a permis de réaliser l'adaptation de son propre court sous forme d'un long-métrage pour le cinéma, avec gros moyens et doublage de qualité en prime. Et si la qualité graphique est au rendez-vous, le rendu final de Numéro 9 n'est malheureusement pas du même gabarit... En effet, un peu trop surestimé, l'adaptation reste certes plaisante, très bien rythmée et visuellement quasi-irréprochable, elle n'en demeure pas moins une légère déception au niveau du scénario, imaginé par Acker himself mais écrit par Pamela Pettler, co-scénariste des Noces Funèbres et de Monster House. Vue et revue et sans une seule once d'originalité, cette quête d'identité fantastico-steampunk située dans un univers post-apocalyptique n'est ni inédite ni vraiment impressionnante. Nous suivons donc l'éveil puis l'aventure de 9, une poupée de chiffon vivante, qui va rencontrer ses huit autres semblables et non seulement tenter de découvrir leurs mystérieuses origines mais également échapper aux griffes d'une dangereuse machine capable de créer divers monstres robotiques lancés à leurs trousses. L'histoire est donc banale en soi, assez courte, contrebalancée par de nombreuses séquences d'action certes époustouflantes mais aucune scène ne viendra nous faire oublier l'intensité du court-métrage original. De plus, manque également cette poésie certaine qui faisait le charme du court-métrage, ici à peine esquissé le temps de quelques scènes hélas trop vite évincées (lors du repos de nos héros bercé par "Over the Rainbow" de Judy Garland par exemple). Et si les nouveaux personnages sont bien variés quoique classiques, il demeure néanmoins une monotonie persistante dans le long-métrage, la faute à une production hollywoodienne voulant sûrement plaire au public à grands coups d'action et d'explosions qui fait défaut à la volonté du réalisateur de proposer une œuvre vraiment personnelle...
Les humains ont disparu de la terre après avoir été » exterminés par les machines qu’ils ont eux-mêmes créées. On ne peut pas faire plus actuel quand tout le monde s’interroge sur l’avenir de notre planète. Ce sont de minuscules poupées héritières de la conscience fragmentée du dernier savant de la terre qui vont devoir comme l’homme en son temps construire le monde à venir. Mais auparavant elles devront lutter pour leur survie. Le film est tout à la fois terrible par sa vision apocalyptique et formidablement optimiste par la capacité de ces minuscules poupées de chiffon à faire face à l’adversité. Les caractères de chacune d’entre elles est fort bien brossé et le metteur en scène par ce respect du canon rend un hommage appuyé aux films d’expédition. Mais ce qu’on retiendra surtout c’est la grande beauté du graphisme qui place ce métrage très haut dans l’échelle des films d’animation.
Un pantin découvre qu'il est seul face à une terrible bête qui lui veut du mal, il se charge donc de l'éliminer. Le scénario était tout à fait crédible sur 5 minutes mais sur la durée d'un long métrage, j'étais quasiment sûre que le scénario changerait de perspective. C'est donc une catastrophe. Au lieu de tirer partie de l'ambiance apocalyptique du scénario de base. Je reste pourtant convaincue du potentiel de l'univers visuel du gros point faible : on donne la parole aux personnages. Ils sont sans émotions et dans le cliché pour enfant.