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    L'Antre de la folie
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    267 critiques spectateurs

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    Yetcha
    Yetcha

    881 abonnés 4 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 novembre 2017
    Pff pff pfff... Bien barré le film quand même. Explorant la psyché d'un auteur à succès, la mise en image de la démence psychologique, du moi, du sur-moi et des syndromes psychiatriques divers sont comme empilés sans lien et rende le visionnage difficile à suivre par moment. J'aime Carpenter, mais ici je ne suis jamais rentré dans le trip.
    Wagnar
    Wagnar

    82 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 septembre 2018
    Dans la trilogie de l'Apocalypse par John Carpenter, c'est le film que j'aime le moins, je lui préfère "The Thing" et "Prince des Ténèbres" que je trouve beaucoup plus effrayants. Est ce que cela signifie que j'ai été déçu par "L'Antre de la Folie" ? Oh non, j'aime ce film. Ce long métrage de Carpenter est très sombre, inventif et étonnant et il a une ambiance extraordinaire. Quant à Sam Neill il est littéralement habité par son rôle. A mes yeux, ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais c'est tout de même un très bon film, proposant plusieurs niveaux de lecture et il bénéficie d'une vraie richesse narrative.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 août 2017
    Le meilleur
    Excellent
    Du grand john carpenter
    De l épouvante avec un scénario génial
    Et un acteur époustouflant
    A voir et revoir
    Un Classic
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 juin 2017
    Ce n'est pas un chef d'oeuvre mais ça se laisse regarder. J'avoue avoir du mal avec ce genre de fin. L'acteur est très bon et les effets spéciaux ont pas trop mal vieillis
    Roy R.
    Roy R.

    16 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 novembre 2016
    Le début m'a intéressé c'était effrayant, mais plus le temps passait plus j'étais perdu, c'est dommage que je n'ai pas aimé l'histoire parce que vu les effets et maquillages, il y avait moyen d'avoir un excellent film. 2/5
    Cyril J.
    Cyril J.

    27 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2016
    Un détective des fraudes aux assurances est engagé par une maison d’éditions pour retrouver un célèbre auteur de romans d’épouvante qui a disparu en emportant ses droits et son dernier roman. Au fil de l’enquête il réalise que l’abominable scenario qu’il est en train de vivre correspond à celui dudit roman.
    Spectacle à suspense, avec l’indulgence due aux effets spéciaux d’il y a 20 ans, comme sait les réaliser John Carpenter. Pour une fois l’intrigue n’est pas posée clairement à l’entrée du film ; il nous invite au contraire à la réaliser tout du long de ce thriller d’horreur, de psychologie et de science fiction, en la faisant s’auto-construire. Cette stratégie scénaristique où réalité et fiction se mordent la queue peut être géniale ou paraitre lourde et facile, selon la qualité de la mise en scène. Un peu des deux habite cette enquête où se confondent rêve de réalité et fabrication de réalité par le rêve.
    dagrey1
    dagrey1

    98 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 septembre 2016
    Pour retrouver Sutter Cane, un auteur de best-sellers d'épouvante qui s'est volatilisé, un détective privé va pénétrer dans l'univers romanesque et épouvantable de l'écrivain jusqu'à se retrouver dans la ville imaginaire qu'il a créé.

    L'antre de la folie a été réalisé par John Carpenter en 1995. Dès le début du film, l'atmosphère respire la fin du monde avec une folie collective autour de la publication du dernier bouquin de Sutter Cane, "In the mouth of madness". Embauché par la société d'édition, le détective privé JohnTrent se lance sur ses traces accompagnée de Linda Styles, son agent. Arrivé dans la ville que l'auteur a créé de toutes pièces, Hobbes end, les 2 poursuivants sont confrontés à des difficultés qu'ils n'avaient pas anticipées.

    Le déroulement de "l'Antre de la folie" se situe entre "le prisonnier" et "un jour sans fin". Le coté psychologique et répétitif du script (la scène où John Trent essaie de sortir vainement de la ville de Hobbes...) ne fait pas entrer ce film de John Carpenter parmi mes préférés. Pour autant, c'est assurément un de ses films les plus noirs....le script évoque la folie collective qui s'abat sur toute la population et aboutit à la fin du monde.

    Le casting est un des plus brillants avec lequel John Carpenter a travaillé: Sam Neil (Trent) omniprésent, Jurgen Prochnow (Sutter Cane) l'écrivan qui transforme ses cauchemars en réalité, David Warner (le docteur Wrenn) et Charlton Heston (Jackson Harglow, directeur de la maison d'édition).

    A noter que le script l"'antre de la folie" présente une certaine similarité avec "la fin absolue du monde" (cigarette burns) réalisée par John Carpenter quelques années plus tard pour la série Masters of Horror.

    La bande originale, à laquelle John Carpenter a de nouveau participé, est également remarquable.
    dougray
    dougray

    239 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2016
    Troisième et dernier volet de la "Trilogie de l’Apocalypse" de John Carpenter (après le fantastique "The Thing" et le décevant "Prince des Ténèbres"), "L’Antre de la folie" est un film gentiment atypique qui, sans être un chef d’œuvre, rappelle que la réalisateur fait partie des grands noms de cette époque. Il propose, ici, un univers vraiment intéressant (on pense à Stephen King et à Lovecraft, les deux références assumées de Carpenter ici) et, comme toujours, un pitch des plus alléchants spoiler: (un enquêteur est engagé pour retrouver un auteurs à succès, disparu mystérieusement, et découvre que le monde apocalyptique décrit dans ses livres est bien réel)
    . "L’Antre de la folie" est, dès lors, très référencé et parlera forcément aux amateurs de ce genre de littérature, qui n’ont pas tant de films que ça à se mettre sous la dent. Il n’y a guère que "Shinning" qui peut venir à l’esprit (toute proportion gardé, bien évidemment) avec sa folie ambiante, son écrivain possédé et ses phénomènes inexpliquées. Le concept du livre dans le film est, également, très plaisant... surtout de la façon dont il est exploité, c'est-à-dire en refusant de forcément tout expliquer. Car, comme son titre l’indique, "L’Antre de la folie" est un film sur la folie… et sur ce point, il propose une approche vraiment intéressante du sujet, pas forcément rationnelle, pas toujours parfaitement structurée mais qui créé incontestablement une perte de repère payante. Le maître aime, d’ailleurs, à nous titiller dès la déroutante scène d’introduction, qui voit le héros John Trent (excellent Sam Neill qui éclabousse le film de sa présence) se faire interner dans un asile sans qu’on sache vraiment pourquoi, le tout sur fond de menace extérieure latente et d’apparition spectrale. Beaucoup de questions se posent alors sur ce que va raconter le film… qui opère, alors, un flash-back nous ramenant aux origines de l’histoire. Le procédé a beau être connu, il est utilisé ici avec une certaine pertinence puisqu’il permet de ramener le récit dans une certaine réalité, ce qui tranche avec l’introduction et qui permet d’apprécier, à sa juste valeur, l’évolution… et, par la même, le parcours du héros, qui va devoir remettre en cause ses certitudes pour accepter ce qu’il voit et ne comprend pas. Quelle grande idée, d’ailleurs, d’avoir fait de du héros un enquêteur en assurance censé débusquer les escrocs ! Le personnage n’est, dès lors, pas seulement, septique (ce qui est le minimum pour un héros dans ce genre de production) mais, également, cynique et sûr de lui (ce qui est déjà plus original). Son obstination à chercher une explication rationnelle à ce qu’il voit apporte une véritable plus-value au film... et crédibilise son propos. Il aurait été difficile d’adhérer à une histoire où le héros accepte, sans problème, que spoiler: tout ce qu’il vit résulte de l’imagination d’un écrivain qui peut plier les événements à sa volonté
    . Il valait, d’ailleurs, mieux que le personnage soit réussi, puisqu’il est de presque tous les plans, au point d’étouffer un peu les seconds rôles. Heureusement, Carpenter aime le jeu d’acteur, ce qu’il prouve encore en confiant des rôles, pourtant peu écrits, à de vraies gueules de cinéma comme Jürgen Prochnow, Donald Glover, David Warner, Wilhelm Von Himburg, Frances Bay ou encore Charlton Heston. Seule Julie Carmen ne m’a pas totalement convaincue en partenaire imposée dont la prestation ne marquera pas les esprits. Autre petit bémol, la BO de Carpenter, qui est normalement un des ses très gros points forts, est, ici, moins marquée… et ce alors que le sujet était vraiment propice aux envolées habituelles du maître. Il est vrai que "L’Antre de la folie" est sorti en 1995 et que Carpenter est, avant tout, un réalisateur typique des années 80, avec tout ce que cela suppose sur le plan formel et musical. Le film est, d’ailleurs, vraisemblablement le dernier opus vraiment réussi du réalisateur et il porte déjà les marques de la fin de son règne en rognant sur ses points forts, plus forcément au goût du jour. "L’antre de la folie" n’est, donc, pas le film qui caractérise le mieux le talent de Carpenter mais il reste un bonne petite surprise, gentiment déroutante qui mérite le coup d’œil, aujourd’hui encore.
    pietro bucca
    pietro bucca

    67 abonnés 1 229 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juin 2016
    On dirait un vieux téléfilm de série z, tellement cela sonne faux. Ce qui est assez dommage, car l'idée de départ etait plutôt pas mal. Dommage.
    Nicothrash
    Nicothrash

    370 abonnés 3 030 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 décembre 2015
    Coup d'essai pour Big John dans un genre parallèle de fantastique/épouvante et une belle réussite à la clé. Le maître instaure une belle atmosphère dans son métrage en nous faisant naviguer entre fiction et réalité sans jamais vraiment savoir où l'on se trouve. On retrouve complétement l'univers de Lovecraft si difficile à porter à l'écran et le nom de l'écrivain fantasque du film Sutter Cane n'est pas sans rappeler l'illustre Stephen King. C'est franchement bien foutu et bien écrit, les créatures bénéficient d'une bonne réalisation et n'ont pas tellement vieillies, en outre on passe du rire à l'effroi assez souvent dans un univers extrêmement étrange et envoutant. C'est fun et bien barré et même si ça sent bon la série B, on ne s'ennuie aucunement et le visuel est très réussi ainsi que le final, plutôt ambigüe, et qui laissera le spectateur avec bon nombre d'interrogations. Un bon Carpenter en somme.
    mimylovesjapan
    mimylovesjapan

    1 abonné 41 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2015
    Avec l'antre de la folie, on nage en plein film sephen kingesque. De l'horreur littéraire bien classique. Mais il faut dire que ça fout bien les pétoches ! On entre facilement dans la folie du personnage principal, narrateur et auteur, mangé par son propre travail d'écriture. Et la frontière entre fiction et réalité s'efface également pour le spectateur. Sam Neil est très bien dans le rôle !
    Tiger V.
    Tiger V.

    93 abonnés 1 248 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 septembre 2015
    John Carpenter n'a rien perdu de son talent pour nous entraîner dans des environnements de grande suspense. Un scénario assez alambiqué mais très captivant et surtout très original. Un très bon casting d'acteurs dont l'acteur principal qui est très sympa à le regarder dans l’interprétation de son rôle. Le film ne met pas beaucoup de temps à mettre le déroulement qui rentre progressivement. On est captivé par la folie fantastique qu'un écrivain peut imaginer. Comme dans pas mal de films du réalisateur, le film nous fait éprouver quelques frissons. Une fin inattendue qui conclut bien le film. Des costumes simples. Des décors magnifiques. Un des meilleurs films de John Carpenter dont j'ai pris un réel plaisir à le regarder.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 août 2015
    Un film qui porte bien son nom...

    Une plongée hallucinante dans la folie avec des sensations de train fantôme en chaîne. Du grand Carpenter et peu être sa dernière grande oeuvre.
    Baron Jack - Le Scarifié - L'Explorateur
    Baron Jack - Le Scarifié - L'Explorateur

    51 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 avril 2015
    Maintenant que j'ai vu Prince des ténèbres, et qu'ainsi j'ai complété ce qu'il me restait de la "trilogie de l'apocalypse" de John Carpenter, j'ai pensé que c'était le moment le plus approprié pour parler de l'épisode qui la close de la plus brillante manière, de mon point de vue encore meilleure que l'oeuvre avec laquelle elle avait commencé (the Thing).
    Ah... Autant commencer par le commencement... The thing... Ce film culte est renommé pour son atmosphère très travaillés, ses effets extrêmement réussis et pour la réalisation de celui qui est considéré parfois (bien que je ne sois pas de cette avis) comme le maître de l'horreur, trônant au-dessus de tous ceux qui ont pu s'essayer au genre. Si cette place, je l'attribuerais à Tobe Hooper, il faut reconnaître que porter le nom de John Carpenter c'est quand même la classe! The Thing commençait d'une excellente manière cette trilogie de l'apocalypse. Prince des ténèbres m'avait un peu déçu. Il est bon dans l'ensemble mais j'en attendais plus, et il faut avouer qu'il fait pâle figure face à son prédécesseur. On aurait pu craindre la suite, mais John Carpenter, ce n'est pas un tâcheron et autant le dire: L'Antre de la folie n'a rien à envier à the Thing. L'histoire est absolument géniale, l'univers est incroyable, l'atmosphère est brillante et la réalisation met très bien tout cela en valeur.
    Tout d'abord, l'intrigue nous offre plusieurs possibilités. John Trent est-il simplement fou, est-ce que le livre rends fou tout ceux qui le lisent (tout comme le film qui en est adapté), est-ce que l'écrivain est réellement en train de recréer son univers? En tout cas tout cela nous offre d'excellentes scènes comme lorsqu'à la fin spoiler: le héros se retrouve dans une salle de cinéma pour la projection du film
    Y a tellement de trucs à dire sur l'histoire que je ne pourrais pas tout expliquer, et en plus si je tentais de le faire j'oublierais des tas de trucs. Comme quoi quand certains disent qu'on ne peut pas espérer d'un film d'horreur un bon scénario, ils se trompent.
    Bref, poursuivons sur l'univers. Et là encore c'est du génie total. L'utilisation de l'imagination de l'écrivain par Carpenter est parfaitement bien dosée, et en plus est impressionnante. Les maquillages et effets sont très réussis et donnent lieu à des créatures et un univers assez hors-norme pour fasciner. On peut aussi retrouver du surréalisme, lors de la scène où l'écrivain se met devant la porte, se déchire lui-même, et déchire en même temps la porte, laissant une ouverture.
    La fascination devant cette oeuvre est aussi dû à son atmosphère. L'atmosphère c'est un petit peu un résultat de tout, le scénario, l'univers, et la réalisation. Les trois points sont réussis, on a donc droit à une atmosphère très efficace.
    Bref, on est en face d'une oeuvre très réussie que je vous recommande vivement si vous regardez cette critique. John Carpenter maîtrise totalement son sujet, l'Antre de la folie en est la preuve. Pour l'instant, le meilleur film du réalisateur (de mon avis bien entendu), en attendant de découvrir ceux que je n'ai pas encore vu.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2015
    Un film d'horreur sympathique, surtout pour la mise en abyme que Carpenter en fait. Évitant de s'enfermer dans son seul univers, le maître de l'horreur sur pellicule convoque les univers de deux de ses plus fameux alter ego littéraires - Lovecraft et King - pour construire une fable sur le pouvoir de la contamination de la fiction sur le réel, voire sur la place d'un auteur et sa portée créatrice. Certes, Big John ne s'engage pas trop loin dans les réflexions, évitant les parti pris clairs qui ôteraient le mystère sur ses intentions et rendraient forcément son film plus lisible, donc moins angoissant. Mais c'est déjà appréciable, une fois de plus chez lui, de voir de l'horreur dépasser le simple quota de flip' du genre pour s'engouffrer dans quelque chose d'un peu plus profond. Dans la mise en forme de ce récit, en revanche, il y aurait à redire, notamment sur une emphase incontrôlée, qui amène des idées qui marchent et d'autres beaucoup moins (les bestioles difformes et monstrueuses, la femme à l'envers...). De plus, je reste un peu surpris par la mise en scène, qui ne dément en rien le talent de Carpenter pour utiliser l'espace, mais ne s'en sert qu'avec parcimonie, élargissant fréquemment le champ d'action, qui n'a dès lors plus rien de très anxiogène puisqu'il offre trop de portes de sortie. Peut-être Carpenter veut-il suggérer que la folie se répand à grande échelle, qu'elle n'est pas celle d'un enfermement claustrophobe mais d'un monde à la rationalité déliquescente. Dans ce cas, la fusion entre fond et forme demeure trop imparfaite puisqu'on nous laisse trop respirer. Dans le même ordre d'idée, Carpenter construit plutôt son film comme une montée dans l'angoisse, mais se sert paradoxalement de plusieurs jump-scares basiques qui font toujours de l'effet mais m'ont un peu agacé, parce que de la part d'un réalisateur aussi talentueux et spécialisé, on peut s'attendre à plus construit, plus marquant. En contrepartie, on a droit à quelques idées géniales (les réveils successifs qui brouillent les repères sur le degré de réalité et indiquent qu'on pourra toujours êtres surpris, la multiplication des symboles...) qui me font dire que débarrassé de certaines scories et d'effets visuels un peu cheap, In the mouth of madness aurait pu devenir un film d'horreur majeur. En l'état, c'est un bon moment, mais pas aussi marquant qu'un Halloween, par exemple.
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