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    L'Antre de la folie
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    267 critiques spectateurs

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    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2020
    L'antre de la folie plonge le spectateur lui même à travers son personnage entre suggestion et évidence. On n'en sort pas indemne !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 août 2019
    Pas vraiment convaincu par ce Carpenter très baroque, qui revisite par beaucoup d’aspects les autres films du réalisateur, mais avec une certaine mollesse et un scénario bien fumeux. Je sauverais quand même plusieurs beaux moments de mise en scène et une poignée de bonnes idées (ça reste du Carpenter), mais il y a trop de kitsch et d’ésotérisme pour moi. En plus, le couple d’acteurs principaux est assez mauvais.
    carbone144
    carbone144

    89 abonnés 772 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 août 2019
    Mauvaise caricature des films d'horreurs. Une base scénaristique sans subtilité pour justifier une suite de péripéties cumulant tous les genres de l'horreur/épouvante. A partir de l'idée qu'un objet livre dans lequel on a pu écrire n'importe quoi devient réel, toutes les facilités sont permises. Et il n'y a pas pour but de faire rêver un enfant comme dans Alice au pays des merveilles. C'est simplement ridicule. John Carpenter a été capable de beaucoup mieux, de beaucoup plus de subtilité dans l'émotion de ses films. The Thing ou New York 1997 vieillissent bien mieux en ce sens.
    Alfredibut
    Alfredibut

    21 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2019
    Un excellent film de John Carpenter qui réussit à merveille à nous immerger dans un univers horribilo-fantastique, tout simplement jouissif. L'immersion est totale, que ce soit via les images, magnifiques, légèrement granuleuses, comme évoquand un rêve éveillé, que par la musique, dont le thème principal pète franchement bien, légèrement inspiré du Enter Sandman de Metallica. On sombre doucement dans l'univers fou et maléfique de l'écrivain Sutter Cane, copie à peine dissimulée de Stephen King, et dans ses romans horribles, gores, qui rendent les gens fous. Décors magnifiques, ambiance malsaine, personnages intéressants et au caractère marqué, effets spéciaux réussis sans une tonne d'images de synthèses bas de gamme comme on voyait pas mal à l'époque, histoire complexe et captivante, tout est réussi. Le cadre Amérique des années 80-90 est très plaisant, de même que le petit village d'Hobb's End, qui réussit immédiatement, avec ses personnages, ses lieux, son atmosphère, à nous plonger dans un bouquin de Lovecraft. La fin est incroyable ! A voir d'urgence si vous êtes amateur d'horreur, de fantastique, d'action, de mystère. A ne pas montrer à tout le monde.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 mars 2019
    De la bombe sensationnelle à l’encontre de ce pure cinéma série B assumé, dans la gueule du monstre angoissant allégorie de la folie. Un écrivain envoyé spécial chez un romancier à succès disparu sans laisser de trace à quelques instants de la sortie de son dernier bijou horrifique, un obscur personnage au style d’écriture à sensation prédestiné à ce qui va suivre. Plus en pénétrant dans ces méandres, plus il sera pris dans un chemin tortueux diabolisé sanguinaire du non retour, beaucoup de tension hystérique personnifié. Comme sur cette route d’une ligne continue mise en évidence, la distinction avec la réalité et l’autre monde désoriente ses sens réceptifs aux émotions. Un hommage de la réalisation dans sa mise en scène des créatures épouvantables aux auteurs littéraires schizophrènes, le reflet de leurs pensées glauques dans l’incantation de la machine à écrire, le bon vieux temps mécanique. Une part du génie consciencieux chez ces intelligents mots écrits crépusculaires, ils restent plus intensément en envoûtant que les phrases envolées sortant d’une bouche dont personne ne veut le croire, l’expédition à l’asile psychiatrique après la goutte d’eau rouge splash foudroyant. Un visuel qui fascine par sa juxtaposition de ses images sublimes, enfin le chef-d’œuvre pour ce réalisateur. Soient ces artistes célèbres sont des génies malades dans leurs têtes paranoïaques, soient des escrocs, une pensée à Stephen King et compagnie littéraire romanesque en regardant ce film de dingue qui ne fait rien de mal.
    Serpiko77
    Serpiko77

    58 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2019
    Un nouveau petit bijou se série B horrifique signé Big John, ce sera d'ailleurs véritablement son dernier bon film. L'histoire pourrait très bien être tiré d'un roman de Stephen King qu'on serait pas surpris. D'ailleurs Carpenter nous délivre une angoisse un peu plus psychologique que d'habitude. Sam Neil est excellent en détective sceptique, le reste du casting très moyen. Une fin un peu décevante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 décembre 2018
    Sans doute l'un des meilleurs films de Carpenter. Pour une fois, un réalisateur met en scène une histoire lovecraftienne avec succès (il est d'ailleurs injuste que ce maître de l'épouvante ne soit pas cité au générique). Attention, ici, la narration non linéaire ne sert qu'à mieux dérouter le spectateur pour le plonger dans un cauchemar où imagination et réalité luttent pour s'imposer. Sam Neil est extraordinaire de cartésianisme cynique, Jürgen Prochnow incarne parfaitement le prophète du mal, et Julie Carmen est une victime consentante plus que crédible. Le tout est agréablement terrifiant. Un grand film du genre.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    690 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2018
    Il est passionnant de retrouver, dans le travail d’un réalisateur, une même thématique réinvestie et déclinée au fil des films comme le peintre joue de sa palette et des contrastes engendrés pour peindre toujours le même tableau décliné seulement. Car ce qui fascine Carpenter c’est le Mal. Qu’il apparaisse sous un masque blanc ou dans la brume portuaire, le Mal constitue l’invité de choix à la table horrifique d’un cinéaste qui remonte ici aux sources de la Création, tel un démiurge maléfique. Profondément religieux dans sa structure, L’Antre de la folie fonctionne avec Le Village des damnés comme réflexions sur la paranoïa mystique et la manipulation de l’esprit par une instance supérieure, offrant à Carpenter l’occasion de filer une vaste métaphore du pouvoir de création artistique dont nous, spectateurs, sommes les témoins. « J’écris donc vous êtes » affirme l’auteur à succès, lucide quant à la force de la fiction à l’œuvre dans notre réalité intérieure. La Bible guida – et guide encore – l’homme pendant des siècles, or la Bible n’est qu’un assemblage de mots reliés par un auteur divinement inspiré ; d’une fiction sainte à une fiction démoniaque il n’y a qu’un pas, « l’essentiel est la croyance » indique l’un des protagonistes. Il faut donc vivre la folie en refuge, la détention psychiatrique comme incarnation physique de notre détention mentale : confortablement assis dans une salle de cinéma, Trent assiste au film de sa vie remonté pour n’en conserver que les moments de doute, de rejet de ce qui, en apparence, n’est pas réel. Par un montage particulièrement travaillé qui suscite souvent notre égarement, Carpenter brouille les frontières déjà poreuses entre réalité et fiction pour battre en brèche le retour critique à la raison. La seule issue, rire de notre folie et l’accepter, tout comme les monstres venus nous terrifier, ces êtres chimériques sortis du Néant pour nous rappeler que nous ne tarderons pas à y retourner.
    On regarde quoi aujourd'hui?
    On regarde quoi aujourd'hui?

    183 abonnés 130 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 novembre 2018
    L'Antre de la Folie est selon John Carpenter le dernier film de sa trilogie de l'Apocalypse commencé en 1982 avec The Thing, puis suivi en 1988 par Prince des Ténèbres. Le cinéaste a l'expérience de l’art et il le prouve en intégrant dans sa fresque névrotique pour le moins très originale et troublante une multitude d'hommage à Stephen King ainsi que Howard Phillips Lovecraft, un sincère égard et dédicace à la littérature fantastique horrifique.
    Cet oeuvre est certainement la plus inventive et cauchemardesque réalisation de la filmographie de John Carpenter, j'avais encore jamais vu un long métrage de cette ampleur. Une sacrée claque qui nous plonge avec agonie dans un récit ou la frontière entre la fiction et la réalité est quasi nulle, on finis par y perdre toute notion de cohésion et de bon sens, on est égaré dans les abîmes indescriptible du cerveau de Big Jones.
    Une réalisation dingue et un rapport avec la mise en scène impérial qui nous livre une ambiance qui fait toute la puissance de ce film, difficilement descriptible.
    L'atmosphère y est étrange, dérangeante, malsaine, austère, et glauque et nous décris un espace-temps mystiquement irrationnel et cauchemardesque, un véritable délire !

    Le récit joue parfaitement de son intrigue en nous captivant par une enquête originale qui apporte beaucoup de suspens et de moment plus qu'inattendu. On y suis le détective John Trent spécialiste dans l'art de débusquer les arnaques, qui doit retrouver Sutter Cane, écrivain d'un livre pour le moins effrayant, sa quête le mènera à la ville de Hobbs End ou le pauvre bougre (et nous avec) ce retrouvera perdu dans les lymbes de la folie.

    La petite ville est superbement représenté par des décors convaincant remplis de petit détails en tout genre que tout fan de littérature fantastique horrifique devrait apprécier. Elle est recouverte d'un spectre assez mortuaire le tout magnifié par un contraste de la lumière et des ténèbres intuitif qui améliore le format de l'image.
    Le scénario est un point complexe qui met en avant de véritable sujet de fond sur diverse thème de taille comme la religion et son implacable endoctrinement sur l'homme. D'ailleurs j'y vois un très subtil parallèle entre le fameux roman démoniaque de Sutter Cane qui possède les consciences de tout le monde et la Bible.
    On y retrouve également une critique de la mondialisation avec un parallèle sur la sur-consommation et cet aspect insatiable de l'économie qui même avec des problèmes reconnu veulent toujours plus malgré les conséquences qu'il pourrait y avoir derrière car seul le bénéfice compte.

    Techniquement L'Antre de la folie est une véritable démonstration de force d'un cinéaste qui malgré un faible budget peut faire du très lourd. En cela la seule critique que je pourrais lui faire serait d'avoir cette approche de série B au niveau des design des monstres pour cause d'un coup assez dérisoire et il ne fais aucun doute qu'avec de plus gros moyen cela aurait pu visuellement être magnifique. Néanmoins, pour ce qui est du scénario, de l'ambiance, l'ost , le casting, ainsi que la plupart des effets technique tout reste d'un niveau supérieur qui propulse cet oeuvre au dessus de son statut.
    De même, les subterfuges utilisés entre les effets spéciaux et les divers maquillage sont mise en avant dans un contraste sombre pour palier à ce manque de budget, ce qui en soit ajoute de l'inquiétude à ses choses car elles sont assez indicibles et donc notre imagination prend le relais.
    Certaines séquences sont prodigieuse et réellement flippante, je pense en particulier aux fameux passages à vélo qui avec les coups de pédales donne un sérieux malaise ! Mais le plus fort vient de son final, qui livre une dernière séquence culte et épique ou...

    ...ce pauvre John Trent ce retrouve seul dans une salle de cinéma dans l'incompréhension la plus totale et ce met à littéralement péter les plombs en rigolant de désespérance. On partage son fardeau et on finis par en ressortir usé mais fasciné par tant de génie. Chacun ira de son interprétation quand à s'avoir si le héros est réellement fou perdu dans sa folie au fond de sa cellule ou si il a bien eu à faire au véritable mal Sutter Cane ayant mis fin à ce monde de part ses écrits.

    Il y a tellement d'élément et de sens cachés dans ce film qu'il faudrait des pages et des pages pour tout énumérer, en soit les compétences requis pour rester très longtemps dans les mémoires comme une grande oeuvre.

    La bande son est une fois de plus signé Carpenter et comme toujours il nous offrent des titres au synthétiseur à la musique lancinante qui se manifeste par des élancements aigus rock accompagnant toujours aussi bien les scènes de son film. Sa offre un condensé de son empreint à une autre époque 80s qui renforce l'ambiance, je dénote dans sa partition une dérision par les notes de l'esprit de ce pauvre détective.
    Le comédien Sam Neill qui incarne le fameux John Trent y va de son interprétation en livrant un jeu convaincant touchant l'impressionnant lorsqu'il aborde la folie. Il est très malin de la part du cinéaste d'avoir fais de lui une personne rationnelle qui refuse de croire à ce qui ce passe, essayant de se raccrocher à un élément aussi petit soit-il qui pourrai expliqué tout ce qui lui arrive, car de ce fait on s'identifie totalement à lui.

    Et comme lui on finis par perdre la rationalité de manière irrémédiable lentement, une fatalité qui nous marque et nous fatigue, on essaye de justifié mais L’Antre de la folie n’obéit à aucun code en vigueur ce qui en soit en fait une oeuvre intemporelle.

    Pour le reste du casting on retiendra Julie Carmen pour le rôle de Linda Styles, je trouve qu'elle surjoue un peu par moment, mais elle reste suffisamment crédible pour ne pas nous sortir de l'histoire. Elle à un rapport avec la réalité bien moins ferme que Trent et comprend plus rapidement que la fin du monde arrive. Vient ensuite le fameux Sutter Cane incarné par un Jurgen Prochnow qui fais très bien le job, ce que j'aime avec ce personnage c'est qu'il est une sorte de parallèle à Stephen King et son collègue Howard Phillips Lovecraft.

    J'y vois un rapprochement ironique sur la critique abusive faite par bon nombre de critique et d'écrivain comme quoi les romans fantastique horrifique c'est idiot et n'a pas sa place dans la haute sphère, chose à laquelle John Carpenter répond avec un magnifique Fuck avec L'Antre de la folie ! Il ne fait aucun doute que Big Jones à marqué et plus d'une fois le cinéma horrifique et s'impose comme l'un des plus grand précurseur de ce genre souvent bafoué.

    CONCLUSION:

    L'Antre de la Folie est un immense film d'horreur sur la paranoia, à mon sens le plus aboutis de John Carpenter en terme d'ambiance et de sens caché, rendant hommage aux grands écrivains du fantastique horrifique comme Lovecraft et King. Ce long métrage offre une perte de repère cauchemardesque à travers une atmosphère unique qui nous impose une approche éprouvante et illogique par les actions d'un Sam Neil fantastique à qui l'on s'identifie sans mal, pour notre plus grand malheur.
    Le film porte très bien son titre, je dirais même qu'il s'agit avant tout d'une mise en garde ! Un grand classique du cinéma d’épouvante, et un des meilleurs Carpenter qui ici livre une magie réalisatrice dans une filmographie déjà parsemés de plusieurs grand cru. Un grand monsieur !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 septembre 2018
    Après nous avoir fait découvrir Fog, New York 1997, Starman, Christine ou encore The Thing, John Carpenter sort en 1994 le film L'antre de la folie reprenant les codes qu'il à pour habitude de nous montrer le genre horrifique et le genre fantastique.
    Dans celle-ci ou découvre John Trent détective à New York qui part sur la trace d'un célèbre best-seller disparu mystérieusement, accompagné d'une collègue Linda il vont aller jusqu'à Hobb's End, une petite ville si paisible aux premiers abords et qui pourtant va se révéler être un endroit effrayant...

    Remarquable, c'est sans doute l'un des meilleurs films de Carpenter après The Thing, le suspens est à son comble tout au long et le réalisateur prend plaisir à effrayé le spectateur dans des décors et une ambiance oppressante.
    Frontière du réel et de la fiction, au fur et à mesure du film on semble perdu, confus tout comme le personnage central dans un monde parallèle auquel s'amuse l’écrivain Cane (Jürgen Prochnow) .

    Intrigue captivante, musique stressante, mise en scène maitrisé et soigné, on accroche progressivement à l'histoire et sur le sort réservé au personnage John interprété par Sam Neill montrant petit à petit sa descente aux enfers impressionnante.

    Le maitre de l'horreur à su une nouvelle fois captivé en jouant avec le spectateur sur l'aspect psychologique et en s'inspirant par exemple de Stephen King afin d'effrayé et marqué le public dans une œuvre fantastique avec une séquence finale déroutante
    Bijij
    Bijij

    3 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2018
    Bon film d'épouvante qui plonge dans l'univers d'un écrivain d'horreur inspiré de Lovecraft ou Stephen King, dont les créations ne sont pas tant imaginaires.
    pierrre s.
    pierrre s.

    430 abonnés 3 305 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2018
    D'avantage dérangeant et paranoïaque que vraiment horrifique le film de Carpenter s'avère être sympathique sans être inoubliable.
    Aaaarrrrrgh
    Aaaarrrrrgh

    22 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juin 2018
    Une vraie claque ce Carpenter ! L'antre de la folie est tellement glauque, malsain et halluciné que s'en ai difficile de le décrire avec des mots. Étrangement, il existerait plus comme une sensation. Ce film a une consistance, une texture, une odeur et clairement, on aimerait pas l'avoir comme animal de compagnie... Pour ma part, j'ai rarement vu de films comme celui, amenant avec un tel génie l'onirique dans la réalité, mêlant les deux avec une telle cohérence que s'en est déstabilisant... On en ressort malade et fatigué.
    Greg A.
    Greg A.

    48 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 septembre 2018
    Assez spécial comme film , un univers cauchemardesque ou l'on se demande ce qui est réel ou non , et ça pendant tout le film et meme après car au final il est assez dur a comprendre , mais il reste agréable a regardé même s'il a prit un ptit coup de vieux je pense 14/20
    peter W.
    peter W.

    43 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2018
    Un excellent scénario et une entame de réalisation réussie donne au film une bonne accroche dommage qu'il y ait quelques faiblesses dans la réalisation surtout vers la fin. On notera une très bonne prestation de Sam Neil.
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