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Il n'est pas interdit de voir dans ce second Batman version Nolan le sommet de toute la saga, tant le cinéaste s'approprie la matière mythologique de l'homme-chauve-souris sans une once de second degré, avec une naïveté, un sens du devoir un peu transi qui, loin de contribuer à livrer un monde clé en main (à la manière un peu autiste et cannibale de Burton), semble en permanence ouvert à tous les re-départs, tendu à l'extrême, sur le fil.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
On est ici, maintenant, et l'actualité hurle entre chaque image. (...) The Dark Knight [fait] le choix assumé du sérieux et du premier degré (...) désormais Batman avance dans une nuit épaisse, celle d'un concentré de fiction lourd du poids de l'époque.
A la fois hommage aux grands thrillers paranoïaques des années 70, parabole contemporaine sur l'obsession sécuritaire US, réflexion sur le pouvoir et immense film de super-héros (peut-être le meilleur ?), The Dark Knight n'est rien de moins qu'un authentique chef-d'oeuvre dans un genre habitué à un standard très élevé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Un peu longuet (2h27), The Dark Knight reste une superproduction très honorable avec du fond et de la forme. Il fera un bon divertissement pour la fin de l'été.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
La fascination qu'exerce le film repose en partie sur la performance hallucianante du jeune acteur [Ledger] (...) [le] récit (...) emprunte plus aux codes du thriller qu'à l'univers fantastique (...) Un concentré d'adrénaline.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ce nouveau Batman est passionnant, ambigu, voire dérangeant. Pas du tout pour les enfants. Un peu indigeste, également (...) Un grand film de superhéros malade, quoi !
Avec The Dark Knight, Christopher Nolan et son frère Jonathan ont écrit l'épisode le plus sombre et le plus pessimiste de la saga (...). Heath Ledger crève littéralement l'écran.
The Dark Knight est un film grave. (...) Un héroïsme vraisemblable, réel (...) Christopher Nolan s'est résolu à élire la tyrannie du vrai pour un nouveau gouvernement.
Les incohérences s'accumulent (...), les intrigues se télescopent (...), et pourtant il reste un réel talent : celui de faire de The Dark Knight une bizarrerie à résonances politiques (...) un film à la fois fascinant et frustrant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Avouons d'emblée que ce nouvel opus est inégal. Malgré quelques scènes monumentales, l'ensemble s'avère long et la multiplicité des personnages ne simplifie pas la lecture et la compréhension de l'ensemble
La critique complète est disponible sur le site Première
Sa prestation [Ledger] limite, qui remplit d'une énergie incontrôlable chaque séquence où il apparaît, vide d'autant les scènes où il s'absente (...) Le film prête voix à une sourde demande fascistoïde, l'obsession générale du "nettoyage" de la ville confinant ici au grotesque.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
Il n'est pas interdit de voir dans ce second Batman version Nolan le sommet de toute la saga, tant le cinéaste s'approprie la matière mythologique de l'homme-chauve-souris sans une once de second degré, avec une naïveté, un sens du devoir un peu transi qui, loin de contribuer à livrer un monde clé en main (à la manière un peu autiste et cannibale de Burton), semble en permanence ouvert à tous les re-départs, tendu à l'extrême, sur le fil.
Ciné Live
Voir sur le site www.cinelive.com
Le Journal du Dimanche
Christopher Nolan nous bluffe tout simplement, en réalisant une oeuvre quasi parfaite et totalement originale.
Les Inrockuptibles
On est ici, maintenant, et l'actualité hurle entre chaque image. (...) The Dark Knight [fait] le choix assumé du sérieux et du premier degré (...) désormais Batman avance dans une nuit épaisse, celle d'un concentré de fiction lourd du poids de l'époque.
MCinéma.com
Du vrai grand cinéma de divertissement, et de très loin la meilleure aventure de Batman sur grand écran.
Télé 7 Jours
Sombre, intense et palpitant, voilà l'un des meilleurs films de superhéros.
aVoir-aLire.com
A la fois hommage aux grands thrillers paranoïaques des années 70, parabole contemporaine sur l'obsession sécuritaire US, réflexion sur le pouvoir et immense film de super-héros (peut-être le meilleur ?), The Dark Knight n'est rien de moins qu'un authentique chef-d'oeuvre dans un genre habitué à un standard très élevé.
Brazil
Un peu longuet (2h27), The Dark Knight reste une superproduction très honorable avec du fond et de la forme. Il fera un bon divertissement pour la fin de l'été.
Elle
Machiavélique, émouvant, désespéré. Dans le nouveau "Batman", c'est le Joker qu'on adore.
Le Monde
C'est sans doute là qu'il faut chercher la vraie singularité du film : dans l'intensité et la qualité uniforme de son interprétation.
Le Parisien
La fascination qu'exerce le film repose en partie sur la performance hallucianante du jeune acteur [Ledger] (...) [le] récit (...) emprunte plus aux codes du thriller qu'à l'univers fantastique (...) Un concentré d'adrénaline.
Ouest France
Un épatant duel aux frontières du bien et du mal.
Positif
Captivant et culotté.
Studio Magazine
Voir le site www.studiomag.com
TéléCinéObs
Ce nouveau Batman est passionnant, ambigu, voire dérangeant. Pas du tout pour les enfants. Un peu indigeste, également (...) Un grand film de superhéros malade, quoi !
Télérama
Avec The Dark Knight, Christopher Nolan et son frère Jonathan ont écrit l'épisode le plus sombre et le plus pessimiste de la saga (...). Heath Ledger crève littéralement l'écran.
Cahiers du Cinéma
The Dark Knight est un film grave. (...) Un héroïsme vraisemblable, réel (...) Christopher Nolan s'est résolu à élire la tyrannie du vrai pour un nouveau gouvernement.
L'Obs
Les incohérences s'accumulent (...), les intrigues se télescopent (...), et pourtant il reste un réel talent : celui de faire de The Dark Knight une bizarrerie à résonances politiques (...) un film à la fois fascinant et frustrant.
Première
Avouons d'emblée que ce nouvel opus est inégal. Malgré quelques scènes monumentales, l'ensemble s'avère long et la multiplicité des personnages ne simplifie pas la lecture et la compréhension de l'ensemble
La Croix
Ce nouvel épisode retient l'attention dans la manière dont il aborde la lutte contre le bien et le mal.
Libération
Sa prestation [Ledger] limite, qui remplit d'une énergie incontrôlable chaque séquence où il apparaît, vide d'autant les scènes où il s'absente (...) Le film prête voix à une sourde demande fascistoïde, l'obsession générale du "nettoyage" de la ville confinant ici au grotesque.